SC: La nouvelle quête- Chapitre 3: Un parfum de vengeance.

[Zaeed Vakarian]

Chroniques Oubliées

La nouvelle quête

De la campagne l'Ascension du crane noir

Chapitre 3: Un parfum de vengeance.

Par Zaeed Vakarian.

Avec la participation de Malkav, Trissia Kowalski dans le rôle de Cerys, Logan Stryfe dans le rôle de Lionnel et d'Eriela Viymyfae dans le rôle d'Amalasontha.

Nos braves héros viennent tout juste de sortir du Fort de la Côte. Ils aperçoivent une immense plaine à perte de vue. Il y a une route pavée située quelques mètres devant eux. L’air est frais, le ciel est dégagé et à vue de nez le ciel est au zénith, leur indiquant qu'il est aux environs de midi. Et l’air marin chatouille leurs narines.

Un loup blanc arrive à grand pas dans leur direction. L’animal ne montre aucune agressivité.

L'animal s'opproche de la civière portée par Malkav et Lionnel, où git le corps d'Oloneiros. Il lui lèche une main du rôdeur. Mais le demi elfe reste immobile. Le lupus n'a aucun mal à comprendre que son maître est mort . Il se met à hurler à la mort pendant plusieurs minutes. Puis il se couche près de la civière.

Isabella s'approche lentement de l'animal et s'agenouille près de lui. Affichant un visage compatissant, elle lève lentement sa main et l'approche du loup. Il reste immobile et se laisse même caresser par la jeune femme.

[ISABELLA]- Mon pauvre, ton maître est mort. Je suis sincèrement désolée. Tu peux venir avec nous si tu le souhaites?

Harrigan regarde autour de lui, il se retourne et pointe le fort.

Dos à eux le groupe d’aventuriers aperçoivent que le Fort de la côte est en piteux état.

[HARRIGAN]- Oui, c'est bien le Fort de la Côte. Même si il a connu des jours meilleurs. Il se trouve à quelques kilometres de la mer. Les falaises sont hautes et instables. Le seule moyen d'y accéder et la route en face de nous.

Il pointe du doigt la route en face d'eux. La route se trouve à quelques mètres d'eux. Il découvrent une route pavée parfaitement entretenue.

[HARRIGAN]- Normalement ils nous faudrait 2 jours à cheval pour rallier Le fort et Blanchefleur. Mais nous sommes à pied et pas dans la meilleure des formes. Je tablerai sur 3 à 4 jours à pied pour nous y rendre. Si tout se passe bien. Que souhaitez vous faire du corps d'Oloneiros? Vous voulez l'enterrer ici? Ou le transporter jusqu' à Blanchefleur?

[Cerys]

Bien qu'elle semblait être impassible, Cerys était touchée par la réaction du loup blanc. Ils avaient réussi à s'évader du fort mais Oloneiros en avait payé de sa vie. Et bien évidemment il méritait une sépulture décente.

Elle prit quelques secondes pour observer l'extérieur du fort . Elle n'avait qu'une envie c'était de régler leurs comptes aux pirates prisonniers dans leur cellule. Mais cela ne résoudrait pas le problème. Ça ne serait que la vengeance pure et dure. Bien qu'elle se montrait assez souvent impetieuse. Elle voulait savait qu'elle pouvait se montrer réfléchie et faire preuve de sagesse.

Elle regarda brièvement la route que leur montrait Harrigan. Puis elle prit calmement la parole.

[CERYS]- Je pense que nous devrions enterrer Oloneiros ici. Comme l'a dit le capitaine, il nous faudra entre trois et quatre de marche. Hors nous avons connus des jours meilleurs, et la route jusqu'à Blanchefleur risque d'être longue. Et transporter son corps jusqu'au village risque de nous épuiser davantage. Sans compter qu'il va se décomposer, ce qui risque d'attirer des charognards donc combat. Plus d'éventuelles maladies que sa dépouille pourrait nous transmettre.

Puis elle observa le loup blanc quelques secondes.

[CERYS]- Et si le loup souhaite nous accompagner? Je n'y vois pas d'objection. Bien que je n'ai aucune idée de comment on dresse un loup.

[Malkav]

Malkav observa Le loup, le fidèle compagnon du rôdeur, hurler à la mort. La douleur de l’animal résonnait comme une lamentation primitive qui transcendait les mots. Un respect instinctif se mêlait à la peine que Malkav ressentait pour leur compagnon tombé.

Lorsque Cerys proposa de l'enterrer ici, Malkav fronça légèrement les sourcils.

[MALKAV]- "Les elfes des bois ne l'enterraient pas... Ils rendraient son corps à la nature, au vent, aux arbres, aux racines," murmura-t-il... Son regard se posa sur Le loup, comme pour chercher son approbation...
"Lui laisser le ciel et les feuilles pour l'envelopper serait un dernier hommage digne."

Il se tourna vers Cerys et les autres.

[MALKAV]-"je sais que nous devons agir vite, mais je ne pourrais partir sans honorer cette vie, nos peuples sont différents mais je ferais de mon mieux pour honorer son passage dans le respect de nos tradition commune."

Respectueux des traditions elfiques, Malkav tirant toujours la civières quitta la route pavé pour s'enfoncer dans la nature a la recherche d'un lieu sauvage propice au rite mortuaire des sylvins....

[Lionnel]

Le tieffelin en transportant le corps de leur compagnon, c'était surtout concentré sur la gestion de sa douleur propre. Il n'avait aucune idée de ce qu'il fallait faire de se corps. Il aurait pu le relever pour quelques heures mais cela lui paraissait... Incongru. Un manque de respect pour ce demi elfe qui avait combattu a leur côté.

Lorsqu'il vit le loup blanc son premier réflexe avait été de se rendre. L'aminal aurait pu penser que son camarade était décédé par leur faute et quelques part il aurait eu raison.
Mais quand il vit le lupus comprendre et faire une sorte de cérémonie a son ancien camarade, Isabella pleine d'empathie, il ravala discrètement une larme.

Il se contenta d'écouter ses camarades n'ayant pas réellement d'avis sur la question et tout ce qui fut dit lui parut pertinent. Il était abrutis. Par le chagrin, la douleur et la fatigue des combats menées. Il était midi mais il se sentait épuisé. Il suivit donc bêtement, docilement Malkav qui semblait vouloir procéder à un rituel particulier. Il se contenta de suivre le mouvement ne se posant pas plus de questions que cela. Juste son cerveau avait un peu de curiosité pour ce qu'allait faire Malkav qui le menait vers quelques choses d'inconnus...

[Zaeed Vakarian]

Le loup semble comprendre ce que suggère Malkav. Il leur fait signe de le suivre. La compagnie s'éloigne de la route et suit le loup pendant une trentaine de minutes.

Ils découvrent une petit bosquet de bouleaux. Le moine se dit que se serait l'endroit parfait comme dernière demeure pour Oloneiros.

Malkav porte délicatement le corps du rodeur et le dépose sur le sol avec précautions. Et s'éloigne de quelques mètres.

Un léger vent commence à souffler et des feuilles de bouleaux tombe des differents arbres. Certaines feuilles tombent sur la dépouille du demi elfe. Au bout de 2 heures son corps est totalement recouvert par les feuilles.

Le loup blanc pousse un dernier hurlement comme pour rendre hommage à son défunt maître, et se tait.

Il est environ 14 heures, le soleil brille, et le vent continue de souffler. Harrigan prend la parole .

[HARRIGAN]- Notre camarade et retournait à la terre. Je propose que nous reprenions notre route. J'aimerais que nous avancions avant que la nuit tombe.

[Malkav]

Malkav demeura un moment immobile face à la dernière demeure du rôdeur. Le vent jouait doucement dans les feuilles du bosquet de bouleaux, comme si la forêt elle-même rendait hommage à l'ami tombé. L'image d'une vie dédiée à la liberté et à la communion avec la nature flottait dans l'esprit du moine.

Il s'accroupit silencieusement, arrachant une fine mèche de ses cheveux qu'il tressa avec une mèche prélevée discrètement du rôdeur. Ce geste, simple mais sacré, symbolisait leur lien et la promesse que la mémoire de leur compagnon ne se dissoudrait pas dans l'oubli. Avec respect, il noua cette tresse autour d'une branche robuste et la déposa sur le lit de feuilles qui recouvrait le défunt.

Malkav se releva calmement, sans un mot et rejoignit ses compagnons, ses pas alourdis par son nouveau devour de mémoire mais ancrés dans la certitude d'avoir offert un hommage juste et digne. Le vent emporta avec eux la promesse discrète d'un souvenir éternel.

Malkav rejoignit la route de blanche fleurs ...

[Lionnel]

Bien qu'il n'avait eu l'occasion de connaître en profondeur le défunt, la tristesse de sa perte était vive pour le demi démon. Un camarade de plus perdue sur le champs de bataille qu'avait toujours été sa vie. Et pourquoi ? La connaissance ? Le savoir ? La compréhension d'un acte lors de sa naissance ? La recherche de l'amour? De la vengeance ? De la haine peut être ?
L'ineptie de ses questions restées sans réponse, sa stupidité et son manque de jugement lors de la bataille qui avait coûté la vie au demi-elfe lui sautait au visage.

Mais peu à peu grâce au rite sacré de Malkav deux nouveaux sentiments furent écho a sa propre tristesse :
D'abord la paix. Celle qui désormais serait le lot de cette homme. Il l'enviait presque, presque car sa quête lui mangeait toujours l'esprit. Il était passé a deux doigts de le rejoindre mais il avait encore quelques choses a accomplir et il ne pouvait décemment reposé en paix tant que cela ne serait pas fait.
Puis le sentiment du devoir accompli envers le rôdeur. Ils lui avaient offert une dernière demeure et l'avais accompagné dignement.
C'était donc cela le rituel sépulcrale des elfes.

Il était désormais tant de partir et Harrigan en brisant le silence respectueux n'avais fait qu'annoncé ce que tous savais déjà.
Toujours en silence il se rangeat au côté des autres prêt au départ...

[Cerys]

Cerys ne versa aucune larme pour Oloneiros. Elle était attristée par sa mort. Mais ne laissa rien transparaître. Elle était malheureusement habituée à enterrer des camarades, Krar et Ingrid ses mentors, Alcide Cherche-Cerf, et maintenant le rôdeur Oloneiros.

Elle était restée silencieuse et immobile pendant les deux qu'avait duré la "cérémonie". Deux heures qui lui parut interminables. Elle avait fais l'effort de ne rien dire par respect au demi elfe mort au combat.

Le vent caressant son visage et balayant ses longs cheveux roux. La guerrière ne voulait plus enterrer qui que soit. Elle commençait à s'attacher au moine, ainsi qu'à Seraphina, Harrigan et Isabella. Elle toléra la présence du Thieffelin, bien qu'étrange il s'était rendu utile. Elle accepta au fond d'elle de lui accorder le bénéfice du doute.

Harrigan ayant rompu le silence en leur proposant de suivre la route pavée. La rousse suivit le mouvement sans dire un mot.

[Zaeed Vakarian]

Nos courageux aventuriers arpentent la route pavée dans un silence quasi religieux. Seules les bruits du vent et de la faune locale se font entendre. Le bruit métallique des bottes de Cerys viennent perturber les sons de la nature.

L'air printanier réchauffe le cœur meurtri de notre coterie encore bouleversé par la mort du rodeur. Il fait environ 19 degrés, et un vent léger leur chatouille le visage.

Ils continuent d'avancer Harrigan en tête et Cerys en arrière. La guerrière en queue de peloton. Cela fait presque 4 heures qu'ils marchent et Cerys commence à tirer la langue, son armure commence à se faire sentir lourde. Le loup marchant à côté de Harrigan s'avance de quelques mètres, puis quelques dizaines, et quelques centaines de mètres.

Il revient une dizaine de minutes plus tard, et leur fais signe de le suivre. Ils quittent la route et marchent une 20 aine de minutes découvrent une grande plaine herbeuse.

Le loup blanc s'arrête devant Isabella qui le caresse gentiment sur la tête pour le récompenser.

Le ciel est clair et dégagé. Au vue de la position du soleil, il est environ 18 heures. Et la nuit devrait tomber dans un peu moins de 2 heures.

[HARIGAN]- C'est un bon endroit pour camper je trouve. Par chance le fort conserver du bois de chauffage. Nous allons pouvoir faire un feu pour la nuit. Sortez vos couvertures et mangeons un morceau.

[Cerys]

Cerys était contente de faire une pause. Ces quatre heures de marche l'avait éreintée. Bien qu'elle soit habituée à porter des armures lourdes, la guerrière n'était plus habituée à marcher autant avec.

Elle respirait l'air printanier à plein poumon. Et complenta quelques secondes la plaine qui se présentait à elle. Elle trouva l'endroit joli. Mais n'était pas sûr que ce soit le meilleur endroit pour camper.

[CERYS]- Capitaine, vous êtes sûr que c'est un bon endroit pour camper ? Il n'y a rien pour non protéger des intempéries. Et nous sommes complètement exposés.

[Lionnel]

Lionnel était épuisé. Les combats précédent les quatres heures intense de marche tout en étant blessé. Bien qu'il ait reçu des soins il était loin d'être en pleine forme.

Lorsqu'ils s'arrêtèrent ses jambes flageollaient et manquèrent de se dérober sous lui. Il avait dans le regard une forme de remerciement pour Harrigan qui avait arrêté son calvaire et l'avait de fait gracié. Il n'avait rien dit, ne s'était jamais plaint mai transpirait a grosse goutte sous l'effort et la souffrance. Il avait clairement besoin de repos et cet arrêt était un aubaine.

Il respirait, lentement tentant de retrouver un peu de force pour s'exprimer :

[LIONNEL] - Bien que... Dame Cerys est raison! A un niveau stratégique... Je ne crois pas être capable de continuer a... Ce rythme soutenu... Plus avant.
... Vous m'en voyez... Navré !
... Si nous établissons le campement ici... Avec des tours de garde? Je vous en serez grée.

il était manifeste qu'il reprenais son souffle et souffrait. Il lâcha son fardeau brutalement et s'assit sans ménagement dans l'herbe récupérant et espérant qu'ils ne doivent poursuivre ...

[Malkav]

Malkav, toujours discret, s’éloigna légèrement du groupe pour observer l’horizon. Loin de la tension et du deuil, il cherchait à capter l'équilibre naturel du lieu. Après un instant de silence méditatif, il ramassa quelques pierres pour renforcer leur futur foyer improvisé, puis retourna s'occuper de ses bandages avec une sérénité apparente, bien que ses blessures tiraillerent encore.

Malgré sa douleur la perte de son rouleau lui pesait, plus d'une fois il regarda en arrière même qd la silhouette de la forteresse disparu son regard gravait le lieux dans sa mémoire...il reviendra chercher son bien.

Mais le devoir et la vie de ces compagnon exigeait se sacrifice, et il savait que chaque instant de repos comptait pour préparer la prochaine étape de leur périlleux voyage.

La remarque de Cerys le tira de ces questionnements....

[MALKAV]- le loup est animal sauvage et méfiant ...celui ci était sans nul doute. L'ami de Oloneiros... Et c'est lui qui nous proposé ce lieux... Je choisis de faire confiance au sens aiguisé de ce loup qui nous fait cette faveur...

Malkav clôtura son intervention par un lent et respectueux salut envers l'animal...
Il aurait aimé s'approcher de l'animal mais son maître le lui avait suffisamment repéré tu ne dois pas imposer ta présence les animaux perçoivent le monde differament et c'est à faire le chemins a leur manière....

[Zaeed Vakarian]

Harrigan prit la parole en posant au sol un grand sac à dos. Et en sortit une sorte de grande toile en fourrure mesurant environ 3 mètres de long pour 2 de large, et quelques morceaux de ficèles.

[HARRIGAN]- J'en convient que ce n'est pas l'endroit le plus stratégique pour passer la nuit. Mais si le loup nous l'a recommandé, c'est qu'il doit avoir ses raisons. J'ai trouvé ce morceau de fourrure sur la grande table du fort. Elle devait servir de nappe. Je vais tendre cette toile et relier à chaque extrémité le bâton de Malkav, celui de Lionnel, la claymore de Séraphina et un bout de bois que nous trouverons dans les parages. Le but est d'en faire une sorte de tonnelle, afin de nous protéger de la rosé du matin.

Le loup s'éloigne et revient quelques secondes plus tard en tenant dans sa gueule un grand bâton mesurant environ 1m50 de long. Harrigan semble impressionné par l'intelligence de l'animal. Il fait une caresse sur le front du loup blanc.

[HARRIGAN]- C'est un bon loup ça.

Sans dire un mot et sans attendre chacun aide de son mieux dans l'assemblage de la tonnelle de fortune. Au bout d'environ 20 minutes. La toile est tendu est parfaitement fixée. Ca ne les protègera pas d'une tempête, mais ils seront au sec lorsque que tombera la rosé du matin. Il y a environ 1m20 de hauteur sous la tonnelle, il faut s'y accroupir ou marcher à quatre pour se glisser en dessous.

[HARRIGAN]- Et pour les tours de garde c'est une excellente idée. Je prendrais le premier quart avec Cerys. Malkav et Séraphina le second, Lionnel et Isabella le troisième. Et le loup si tu en es capable tu prendras le quatrième et dernier quart. Asseyons nous et commençons à diner.

[Lionnel]

Le fielon suivit les ordres a la lettre et aida du mieux qu'il pût dans son état : blessé et épuisé. Il se ménageait chacun de ses mouvements étaient calculé et lent afin de conserver ses forces. Il gardait le silence, la mine renfrogné par la douleur, l'air maussade et broyant du noir.
Lors du repas il piquait du nez dans son assiette il se sentait rincé. Il irait se coucher dès que possible pour être en forme pour son quart de garde. Il n'avait même pas relevé qu'il allait être en tête à tête avec une quasi inconnue.

[Malkav]

Malkav accepta la répartition des tours de garde sans discuter, bien que cela lui importait peu. La discipline martiale du moine lui avait depuis longtemps appris à veiller sans véritable besoin de repos profond.

La préparation du camp finit Malkav se retira un instant à l'écart du camp pour méditer. Assis en tailleur dans l'herbe fraîche, il fit le vide en lui, laissant son esprit embrasser la sérénité nécessaire pour surmonter la douleur de ses blessures et apaiser son esprit tourmenté par la perte de son rouleau. Le souvenir du rôdeur lui revenait en boucle, mais il le laissa flotter comme une feuille portée par le vent sans s’y attacher.

Peut-être qu'il devait se présenter correctement a sa futur binôme se dit Malkav intérieurement... Il rejoignit Seraphina avec une démarche souple et silencieuse. La jeune femme était encore affaiblie, mais il apprécia son courage de se présenter malgré sa convalescence. Il se plaça à une distance qui respectait son besoin d'espace, et la prudence, prêt à réagir à toute alerte.

Son ouïe fine captait les bruissements de la prairie et les légers craquements des tiges d’herbe pliées par la brise nocturne et ses yeux percevait les ombres dans l'obscurité, chaque détails comptais...

Si Malkav parlait rarement, il savait que veiller signifiait aussi prendre soin de l’équilibre intérieur autant que physique...

[MALKAV]- Seraphina, les évènements se sont un peu précipité nous allons être de garde ensemble aussi l'usage voudrait que je me présente convenablement....
Je suis Malakim Kavervelenn et je viens de la montagne bleu dsans la forêt sacré des 7 pics.... Et je suis en pèlerinage a la recherche de mes origine...

Et toi comment vas tu ?