Las de ses pérégrinations dans les ruines obscures et mystérieuses, Winthorn cherche une sortie et parvient finalement par distinguer la lueur d'une flamme qui éclaire les pierres poussiéreuses. Ce n'est qu'un mince filet de lumière, mais il porte en lui tout les espoir du moine égaré dans le dédale de l'ancienne bâtisse.
S'approchant, soulagé, le moine du Laurier Blanc, aux vêtements passablement usés par cette exploration, perçoit bientôt le souffle frais et délicat caractéristiques du courant d'air, nouveau signe d'une délivrance toute prochaine.
Enfin, il atteindre l'ouverture, mais celle-ci se trouve être une petite interstice au milieu d'un ébouli. Il peut y passer un bras mais guère plus. Il va lui falloir dégager ce passage pour être enfin libéré.
Observant l'extérieur par ce trou, il distingue son compagnon, entouré de petits foyers mourrants et assailli par des araignées de la taille d'un lièvre, il en compte six en tout. Le pistolero noir hurle des mots incompréhensibles aux araignées. Mantras? Incantations ? Et si le pistolero était en fait un jeteur de sorts ?
Peu importe pour l'instant ! Il faut sortir ! Dégager cet eboulis sans qu'il ne s'écroule sur lui, et sortir !