SC : LES MAîTRES DE L'ÉPREUVE - CH4 : La Montagne de Feu

[Mirkà]

Mirkà ayant constaté que les objets ne présentent pas de danger, elle laisse Gorgorx les déterrer.

Elle écoute ce qu'en dit Eriela et est fortement surprise de constater que les inscriptions sont en elfique.

[MIRKA] - Est ce que ces objets sont de conceptions récentes selon vous ? Ou est cequ'ils sont fatigués par les ans passés ?
Je m'explique, suite aux propos de l'elfe qui a donné sa vie pour protéger un joyau de son peuple et du mien; ne pourrait ce pas être un indice permettant de nous conduire à la résolution de l'énigme ?
Qu'en pensez vous ?

*Je vais rester ouverte à toute forme de proposition, il faut juste que je puisse trouver et ramener le joyau et le corps de ma consoeur à mon peuple.*

[Gorgorx51]

Avant de les ranger dans son sac Gorgorx permet à Mirka de regarder de plus près les objets .

[Astro Buck]

Aaron écoute attentivement Mirkà, avant de répondre :

[AARON D'GAR] - L'artisanat n'est pas ma spécialité. Mais concernant l'énigme, votre ami ici présent - Il désigne Gorgorx - me paraît plein de bon sens. Il a dit à propos de l'Elfe "Elle a volé quelque chose à quelqu'un puis il lui a rendu". Mais il oublie qu'elle a commencé par dire qu'on lui a pris ce qu'elle a ensuite volé. Alors que lui a-t-on pris ? On ne sait pas ce que c'est, mais on sait qu'il y en a au moins deux, puisqu'elle dit "Si on ne m'en avait pris qu'un..." Alors que lui aurait-on pris, au nombre de deux ou plus ?

Il réfléchit en tirant sur les mèches blanches, emmêlées, de de sa chevelure hirsute.

[AARON D'GAR] - Vous avez parlé d'un joyau. Alors soit il ne s'agit pas de joyau puisque d'après vous il n'y en a qu'un et que l'Elfe a dit qu'on lui avait pris au moins deux "choses". Soit il s'agit bien de joyau, mais alors il n'y en aurait pas qu'un seul... Raaah !

Le cri par lequel il ponctue son discours semble suscité par l'agacement devant le caractère apparemment insoluble de l'énigme.

[AARON D'GAR] - C'est encore un coup de ce satané Zagor ! Après avoir tourmenté mon corps, il tourmente mon esprit avec ses insondables énigmes !

Pendant ce temps, tout en parlant, le groupe a quitté le couloir est, dans lequel Gorgorx a déterré les instruments d'orfèvrerie, puis a emprunté le passage qui s'enfonce tout droit vers le nord. Il aboutit bientôt à une porte solide. Cette dernière comporte une poignée mais, n'ayant pas de serrure, ne doit probablement pas être verrouillée, à moins de comporter un loquet de l'autre côté.

[Gorgorx51]

Se remémorant les paroles d' Aaron le chasseur se demande si ce n'est pas des objet qu'il vient de trouver dont l'énigme parle.

*Après tout il y en a deux et ce sont des objets elfiques. dommage que Mirka ne les aient pas observés de plus près, peut être les inscriptions elfiques lui auraient dit quelque chose.*

Mais sachant que ce n'est plus le moment et qu'il leur faut continuer d'avancer, il se garde d'en parler aux autres pour le moment et les sais en sécurité dans son bagage.

Il garde sa position dans la file et vois maintenant que l'elfe s'arrête devant lui.
Il en fait de même et attend son diagnostique.

*Purée que j'aime pas ce genre de labyrinthe*

]GORGORX] - Que fais t'on ?

[Mirkà]

Mirkà après avoir écouté ce que vient de dire Aaron se tourne vers Gorgorx

[MIRKA] - Peux tu me montrer les deux équipement qui se trouvaient au sol, j'y ai vu des marque elfique. Il se peut que cela appartienne à l'elfe qui a été torturée, il faudra que ces équipements soient remis à mon peuple si nous ne pouvons retouner le corps.

Après vérification, elle réfléchit à l'autre parti du discours d'Aaron.

*Bon il va falloir réfléchir à la suite, mais plus tard. Allons plus loin dans le couloir*

Mirkà avance lentement toujours en cherchant à trouver un éventuel piège.

Arrivé devant la porte sans serrure, Mirkà pose son oreille à la porte pour voir si elle peut entendre un bruit de l'autre côté.

Si elle n'entend rien, elle ouvre tout doucment la porte et tout en se servant de la porte comme un bouclier, elle cherdhe à voir ce qui se trouve au delà de la porte.

[Eriela Viymyfae]

Eriela ne répondit rien, elle écouta les différents échanges et suivit la progression la lanterne à la main.

[Astro Buck]

L'examen de l'écriture elfique n'apprend pas grand-chose à Mirkà. Tout ce qu'elle déchiffre, ce sont deux lettres entrelacées, G et L, qui doivent correspondre aux initiales du nom de l'artisan à qui appartenaient ces outils.

Jusqu'a la porte, Mirkà ne détecte aucun piège et, en collant son oreille contre le panneau de bois, n'entend pas le moindre bruit provenant de l'autre côté. Elle pousse la porte à demi et jette un coup d’œil dans la pièce.

C'est une petite salle rectangulaire. Personne n'y est présent. Cependant l'endroit est abondamment éclairé par une grosse lampe à huile et des chandelles. La pièce comporte notamment une bibliothèque encombrée d'ouvrages, des tentures accrochées le long des murs, des tapis sur le sol et quatre chaises. Sur un guéridon est posé un buste tout à fait identique à celui qui trônait sur le bureau de Grishak.

Une longue table en bois est recouverte d'un amoncellement d'objets : rouleaux de parchemins à moitié déroulés, sur lesquels figurent des cartes ; maquettes de paysages comportant des arbres et divers édifices, dont une grande tour, ainsi que des figurines dont il est difficile de percevoir sans s'en approcher ce qu'elles représentent. Il s'agit à l'évidence de plans de bataille.

Dans un autre coin de la pièce, suspendue au plafond comme un mobile, se trouve une curieuse installation faite de trois sphères de diverses dimensions, gravées de symboles, reliées les unes autres par des tiges métalliques.

Au fond de la pièce, dans le mur nord, se trouve une autre porte.

[Gorgorx51]

Arrivé derrière Mirka , le chasseur jette un petit coup d'œil dans la salle.

[GORGORX] - Wahou, mais qu'est ce que c'est que tout ce fatras ?

Il s'adresse à Mirka :

[GORGORX] - Tu veux sécuriser la pièce avant qu'on ne fouille plus en profondeur ?

Il bloque sur le buste.

[GORGORX] - Nous devrions commencé par retourner cette statue dans le doute qu'il puisse nous observer à travers ses yeux !

Puis il attend patiemment le top avant de pouvoir admirer les cartes de plus près.