Aaron écoute attentivement Mirkà, avant de répondre :[AARON D'GAR] - L'artisanat n'est pas ma spécialité. Mais concernant l'énigme, votre ami ici présent - Il désigne Gorgorx - me paraît plein de bon sens. Il a dit à propos de l'Elfe "Elle a volé quelque chose à quelqu'un puis il lui a rendu". Mais il oublie qu'elle a commencé par dire qu'on lui a pris ce qu'elle a ensuite volé. Alors que lui a-t-on pris ? On ne sait pas ce que c'est, mais on sait qu'il y en a au moins deux, puisqu'elle dit "Si on ne m'en avait pris qu'un..." Alors que lui aurait-on pris, au nombre de deux ou plus ?
Il réfléchit en tirant sur les mèches blanches, emmêlées, de de sa chevelure hirsute.[AARON D'GAR] - Vous avez parlé d'un joyau. Alors soit il ne s'agit pas de joyau puisque d'après vous il n'y en a qu'un et que l'Elfe a dit qu'on lui avait pris au moins deux "choses". Soit il s'agit bien de joyau, mais alors il n'y en aurait pas qu'un seul...
Raaah !Le cri par lequel il ponctue son discours semble suscité par l'agacement devant le caractère apparemment insoluble de l'énigme.[AARON D'GAR] - C'est encore un coup de ce satané Zagor ! Après avoir tourmenté mon corps, il tourmente mon esprit avec ses insondables énigmes !
Pendant ce temps, tout en parlant, le groupe a quitté le couloir est, dans lequel Gorgorx a déterré les instruments d'orfèvrerie, puis a emprunté le passage qui s'enfonce tout droit vers le nord. Il aboutit bientôt à une porte solide. Cette dernière comporte une poignée mais, n'ayant pas de serrure, ne doit probablement pas être verrouillée, à moins de comporter un loquet de l'autre côté.