[TRAINING] - Jezile Mthunzi Khawula - LGA

[Eriela Viymyfae]

TRAINING
LOUP GAROU APOCALYPSE

par ERIELA VIYMYFAE

Avec l'aimable participation de Jezyle

Une nuit de repos bien mérité, voilà ce à quoi Jezyle aspirait. Une nuit calme, propice à la récupération tant mentale que physique.

Cette nuit de repos permettrai à Jezyle de réfléchir aux différentes implications sur les sujets qu'elle avait en tête.

Jezyle bien qu'endormie bougeait pas mal, agité surement par ses interrogations, ses hypothèses et possibles solutions concernant les sujets de réflexion du moment.

Toute bonne chose ayant une fin, Jézyle sentit une main ferme se poser sur sa bouche l’empêchant de bouger. En même temps qu’elle essaya de crier, elle sentit une piqure et un liquide lui être injecté sur la base du cou en intra musculaire. Son esprit s’embrouilla et elle sombra dans le néant.

...

A son réveil, elle était attachée à une chaise en petite tenue, deux fortes lumières étaient braqués sur elle, l’empêchant de voir ses interlocuteurs. La température n’était pas très chaude et Mélody sentit un frisson la parcourir, sans compter que l’air était en plus humide. Elle patientait ficelée sans pouvoir bouger. L’attente paraissait longue quand une voix, surement d’homme. Une voix autoritaire, avec une pointe de sadisme suintant des paroles.

[VOIX1] – Alors Jézyle, on croyait que quitter Soweto permettra de faire ce que l'on souhaite. Les propos étaient durs et démontrait tout le dédain que la voix ressentait en voyant Jezyle.

Un blanc s’installa avant que la voix ne reprenne

[VOIX1] – Je n'irais pas par quatre chemins. Je vais te poser des questions te je suis sur que tu vas me faire le plaisir d'y répondre.
Certain de tes amis, si on peut vraiment appeler cela des amis. Se laisser si facilement capturer, cela relève de la négligence, voir de l'incompétence pure.
Cathleen et Linden spears ont déjà payés pour cela. Ils serviront pour mes expériences.

Jezyle pouvait voir des ombres bouger derrière les flots de lumière intense qui étaient dirigés vers elle et qui l’éblouissaient. La voix reprit le ton se fit glaçant

[VOIX1] – Je ne me suis pas présenté, je fais partit de la famille Goebells et mon grand père m'a transmis énormément de compétences et connaissances et tu n'as pas idée de son imagination.
Tu es ici car nous avons un soucis de sécurité nationale avec la secte que tu as rejoins.
J'ai toute latitude par mes employeurs pour te faire parler, ainsi que les autres. Vous avez disparu de la surface de la terre, je te laisse imaginer ce que cela implique.

La Voix 1 laisse la peur diffuser avant de reprendre

[VOIX1] – J'ai pu parfaire mes connaissances auprès de sorciers vaudous et de la sentéria, ainsi que bon nombre d'autres sorciers africains, asiatiques, d'amérique du sud. J'ai adoré tant apprendre qu'expérimenter, sachant que je vais encore avoir l'occasion de recommencer.

Un gros blanc se fit, qui dura environ 30 secondes et comme un fait exprès la température chuta aux alentours de 0 degrés celsius.

[VOIX1] – Que sais tu de la secte que tu as intégré, je dois tout savoir. Parle j'écoute et le cas échant je te poserai des questions si cela est nécessaire.
J'attends et j'ai pas toute la nuit.


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Nous voilà dans le départ!



Avant toute chose, je te demanderais de lire ces 10 points de regles

viewtopic.php?f=54&t=14153




Ensuite passons aux regles d écriture. Elles sont simples et identiques quelques soit le forum ou tu joues

Tu écris tes textes à la 3ème personne en essayant d'avoir au moins une 20 aine de lignes.

Afin d'étoffer ton texte, tu peux y inclure les états émotionnels, les ressentit, les introspections de ton personnage, en plus de ses actions physiques visible de tous ou de ses paroles. Il n'y aura qu'en période de combat ou les joueurs sont autorisés à faire des posts plus court détaillant leur mouvement ou technique d'attaque. Nous en reparlerons.

Le MJ peut t'envoyer des informations privées par PM. Tu es libre de les cacher aux autres personnage ou de les leur donner (en les recopiant), mais dans ce cas, ces informations ne peuvent être affichée que en mode parole.

Dans tes écris,vérifie bien ton orthographe et ton texte avant d'envoyer, et utilise les balises comme expliqué ci dessous :

1. les paroles du personnage seront écrites en mode NORMAL, précédées par un "[NOM DU PERSONNAGE] - " (en majuscule + tiret )
   
   [NOM DU PERSO] - blablabla
   
   
   
   S'il crie ou chuchote, tu peux jouer avec la taille de police => balise [ size=75] [/size]
   
   [NOM DU PERSO] - je chuchotte
   
   
   [NOM DU PERSO] - Je crie ou JE CRIE!
   
   
   
   
   
2. Toute description sera faite en italique. Balise [i ][/i]
   
   Par description on sous-entend tout ce qui concerne les actions physiques du perso, ses attitudes de mouvement et éventuellement des détails liés au décors qui l'entoure et qui pourraient faire vivre l'ambiance...Attention toutefois à ne pas faire avancer le scénario et ne pas avantager le personnage (Donc on peu décrire un oiseau qui passe, un chat qui miaule, mais pas un inconnu qui te donne une arme, un billet qui traine sur la table etc..)
   
   
   Tu peux également mettre des réflexions personnelles non perceptibles par les autres participants à la scène. Mais attention à ne pas influencer le RP des autres joueurs en divulguant des infos secrètes( ex. Il savait que le coffre était piégé et préférait attendre que quelqu'un d'autre l'ouvre => Aucun joueur n'aura envie d'ouvrir le coffre )
   
   
   
   
3. Une pensée sera placée entre " * " (astérisque)
   
   *CA ME GONFLE CES REEEEGLES*
   
   Ici aussi, on peut marquer les pensées intimes du perso mais attention à ne pas influencer le RP des autres joueurs en divulguant des infos personnelles( ex. *Putain, dés qu'il a le dos tourné, je le bute!!!* => Le dit joueur ne te tournera curieusement jamais le dos )
   
   
   
   
   
4. Une expression ( un ton ou un geste particulier) pourra être placé entre " " (guillemets)
   
   
   
   
5. Les discussion HRP se font dans le salon de la taverne ainsi que les jet de dés (ou par PM)
   
   

Voilà, tu sais tout, c'est va etre à toi!

Dans ce premier post, commence par décrire physiquement ton personnage de façon précise, ce qu'on voit en la regardant et tu rajoutera toujours la photo de l'avatar pour appuyer ton texte (et non pas le remplacer). Durant l'aventure, il te faudra utiliser ce meme post à chaque fois que tu croisera un nouveau joueur et il te suffira de faire un "copier coller" du texte pour représenter ton personnage aux autres

Voici un petit exemple lié à un autre training. Lis le premier post du joueur pour te faire une idée de comment faire les présentations du personnage


http://forum.ventsombre.net/viewtopic.php?f=289&t=15056&start=0



Clique sur le bouton Répondre et construit ton texte (fais le d'abord en Word pour éviter les accidents qui viendraient à effacer ton texte. C'est arrivé à plusieurs reprises!)

C'est à toi!






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[Jezile Khawula]

De taille moyenne, la silhouette de Jezile est souple est plutôt musclée, bien que les vêtements qu’elle porte habituellement, tenues de bedouin, ou boubous africains n’aident pas à se faire une idée précise de son physique.

Elle porte également de façon quasi permanente un chèche qui lui dissimule une partie du visage et est souvent affublée de lunettes de soleil.

Et il y a une excellente raison à cela : Jezile, bien que noire, est albinos. La pigmentation de sa peau, de ses cheveux, et même de ses pupilles est exempte de mélanine. Elle est donc extrêmement sensible aux rayons du soleil, ce qui est, il faut bien l’avouer, un peu ballot lorsqu’on est né en Afrique du Sud.

Ce seul aspect physique justifie le port du chèche et des lunettes de soleil, mais il se trouve qu’en plus, son visage porte des cicatrices de violentes brûlures sur tout un côté.



Entre sa matinée de cours à Johannesburg et son après-midi à sillonner le parc Kruger, la journée avait été bien remplie et Jezile n’aspirait qu’à une bonne nuit de repos.

C’est donc avec un plaisir non dissimulé qu’elle s’était mise au lit ce soir-là, savourant par avance cet instant de calme et de repos.

Las, les dieux – mais lesquels ? – en avaient décidé autrement et non seulement sa nuit fut agitée mais en plus elle prit fin brutalement par une immobilisation et injection dans le cou.

Un peu bêtement, Jezile se posa la question de l’intérêt de l’endormir alors qu’elle dormait déjà, mais se demanda aussi, de façon plus pertinente cette fois, comment des gens avaient pu pénétrer chez elle sans que quiconque les repère…

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Si l’agression dans son lit fut brutale, le réveil ne l’est pas moins : attachée sur une chaise, à moitié à poil – ce qui donne d’ailleurs à d’éventuels spectateurs la possibilité de remarquer que le cors de Jezile comporte d’autres cicatrices, des tatouages et des scarifications de diverses origine – et des lumières dans la tronche. Clairement, elle a connu mieux !

Bien entendu, en un réflexe, elle tire un peu sur ses liens pour en tester la solidité mais surtout, elle fait silence et essaye de circonscrire son environnement.

Mais une voix finit par se faire entendre, et le moins qu’on puisse dire, c’est que la personne à qui elle appartient aime bien s’entendre parler. La raison en est dévoilée quelques temps plus tard, lorsque mon interlocuteur se présente : Goebbels. Pas étonnant donc pour un descendant du chef de la propagande du régime nazi.

Evidemment, le discours est plein de sous-entendus et de menaces, mais il se trouve que Jezile s’est déjà trouvée dans de biens sales situations et qu’elle sait ce qu’est la douleur. Peu probable donc que le laïus de bébé Goebbels arrive à lui instiller de la peur.

[JEZILE] – Bah, je ne sais pas de quoi tu parles lorsque tu évoques une secte, même si je t’avoue que le milieu universitaire que je fréquente en partie pourrait y être assimilé, mais je suis certaine d’une chose, c’est que ton grand-père ne t’as pas appris la politesse élémentaire. Détache-moi, rends-moi mes vêtements et mène-moi dans un endroit propice à la discussion et je consentirai à échanger avec un psychopathe tel que tu semble être, tu vois mon ouverture d’esprit ?

[Eriela Viymyfae]

[HRP Je comprends que cela puisse être frustrant, notamment pour l'avoir vécu, mais il semble que les posts doivent s'enchainer et que donc il n'est pas possible de rappeler ou d'intervenir sur ce qui c'est passé pendant le post précédent.[/HRP]


[hrp]POINT DE REGLE: LE JET DE CARACT
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Ton PJ veux briser ses liens. C'est donc un jet de caract

fait moi un jet de Force pure pour tester la solidité des liens. Seuil 8


Comment faire ?

Tu utilise le générateur loup garou

Tu additionnes le nombre de points que tu as en force.
Tu utilises le simulateurs de dés en choisissant dans la partie "type de dés" le D10 et dans la partie "nombre de dés", le nombre de dés obtenus des points de force.[/hrp]

La voix 1 se mit à rire, d'un rire de sadique de première.

[VOIX 1] - Alors là j'adore votre humour et je vais vous présenter le miens. Je conçoit que nos humours réciproques puissent diverger.

La voix 1 donna un ordre aux autres personnes présentes

[VOIX 1] - Gut, holt mir meine Lieblinge, meine schönen kleinen Rosen, wir werden sie füttern müssen. Die Armen müssen hungrig sein, hungrig wie ein Wolf, ahahah. Ich liebe meinen Humor.


Des ombres quitte la pièce par une porte qui se referme aussitôt après leur départ.



[hrp]POINT DE REGLE: LA REUSSITE SIMPLE ET LES CRITIQUES
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Tu peux me faire un jet d'intelligence+linguistique afin de voir si tu comprends ce qui vient d'être dit. Sachant que tu connais la langue allemande, une réussite simple sera suffisante. Le seuil est à 6




Qu'entend t on par réussite simple.?
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Tu aditionnes le nombre de points que tu as en intelligence + ceux de linguistique.
Tu utilises le simulateurs de dés en choisissant dans la partie "type de dés" le D10 et dans la partie "nombre de dés", le nombre de dés obtenus après l'addition des points d'intelligence et de linguistique.


REUSSITE CRITIQUE ET FUMBLE
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un 10 est une réussite critique, tu peux en avoir plusieurs au niveau du tirage de dés
un 1 est un échec critique, tu peux aussi en avoir plusieurs lors du tirage de dés.
tout nombre égal ou supérieur au seuil (ici 6) est compté comme une réussite.
un 1 annule un 10.


S'il reste un 1 non annulé par un 10, c'est un échec critique
S'il reste un 10, cela compte comme deux réussites
Il faut donc arriver à avoir une réussite pour comprendre ce que dit la voix 1[/hrp]

[Jezile Khawula]

Jet de force : Enregistrement=77891, 1 réussite critique a priori
Pour la linguistique, dans la version 20e anniversaire, ce sont des avantages : 1 pt d'avantage = 1 langue connue. Pas de jets (faut d'ailleurs que je me trouve des handicaps pour compenser, j'ai zappé sur la fiche.
Si tu préfères comme c'était avant, tu me dis et je modifie. En terme de coûts, ça me reviendra au même de toute façon, ou peu s'en faut.

Et c'est bien noté, pour ne pas reprendre des éléments du post précédent, j'ai tendance à faire ça pour contexttualiser de temps en temps, mais pas de souci.

[Eriela Viymyfae]

[hrp]Je ne connais pas le version 20ème anniversaire. Oui on va considérer que si tu connais la langue tu la comprends ce sera plus simple, moins de jet de dés.
Tu as pu tester tes liens et tu auras la réponses dans le post[/hrp]

Jezyle put tester les leins et ils se révèlèrent particulièrement bien fait. Ils ne cédèrents pas, pas plus qu'ils ne se détendirent, ne serait ce qu'un petit peu.

Le Dr Goebbels ou qui que ce soit qui s'exprime par la voix 1 venait de dire en allemand les phrases suivantes

[VOIX 1] - "Bon, allez me chercher mes chéris, mes belles petites roses, il va falloir les nourrir. Les pauvres doivent être affamés, affamés comme des loups, ahahah. J'adore mon humour."

L'ombre qui s'exprimait avec la voix 1 indiqua à Jezyle la chose suivante :

[VOIX 1] - Je vais devois faire une petite incision, rien de bien méchant, mais pour cela je vais attendre l'arrivée de mes très chères roses

Peut de temps après que la voix 1 ait prononcé cette phrase, les autres personnes pénètrèrent dans la pièce en poussant un chariot relativement lourd.

[VOIX1] - Je souhaite à ce que vous assistiez à ce qui va arriver, le nourrisage de mes roses est particulier et pour moi un plaisir immense.

La lumière fut baissée à un niveau acceptable et donc permit à Jezyle de voir le Docteur dans toute son horreur.

https://i.pinimg.com/originals/82/21/ba ... 67f5f3.jpg


Les autres personnes avaient réussis à se positionner derrière Jezyle, l'adapatation au changement de luminosité ne lui ayant pas permit de voir qui étaient les autres.

[VOIX 1 - Dr GOEBELS] - Vous voyez comme je ressemble comme deux gouttes d'eau à mon grand père.

Le Docteur s'approcha de Jezyle et lui prit une main et étudia longuement les doigts. Il lui posa une question

[VOIX 1 - Dr GOEBELS] - Quels sont les doigts de votre main qui vous sont nécessaires, vous ne pouvez en choisir que quatre. Sans choix de votre part je choisierai pour vous.
Vous voyez nous n'avons pas le même humour visiblement.

[Jezile Khawula]

Décidément oui, baby Goebbels aime beaucoup s’entendre parler, et on ne peux pas dire que sa conversation soit la plus agréable du monde.

Evidemment, Jezile comprend bien qu’elle a affaire a un véritable psychopathe, néanmoins il doit bien fonctionner sous une certaine logique. Certes très probablement tordue, mais qui sait si ce ne serait pas quelque chose d’exploitable.

Elle va donc essayer de trouver laquelle, et répond - en allemand elle aussi -  à son geolier

[JEZILE] – Je crois qu’au moins pour cette fois, je vais être d’accord avec toi Doktor Todt : en effet, nous n’avons pas le même humour. Mais tu vois, je peux tolérer la différence, moi.

Par contre, je ne vais pas rentrer dans ton jeu. Il n’y a pas d’intérêt pour moi à te dire quel doigt tu vas me couper pour nourrir ta ou tes bestioles car de toute façon, c’est toi qui choisiras et ce serait rentrer dans le schéma mental que tu essaies de m’imposer.

Après, ne me crois ni insensible, ni plus courageuse qu’une autre, hein. C’est juste que je connais ce genre de mécanismes et que, comme tu peux le voir sur mon corps, puisque je suis à moitié à poil, j’ai déjà subi une certain nombre d’avanies.

Et je sais également que, sous la torture, tout le monde finit par parler… au point d’ailleurs qu’on raconte n’importe quoi juste pour que ça cesse, et que donc les informations données sont souvent inutiles.

Donc je vais te reproposer quelque chose : tu me détaches, tu me donnes mes vêtements, tu m’expliques mieux ce que tu veux, et pourquoi et si jamais cela me convainc, je te réponds. Tu ne prends que le risque que tout se passe bien.

L’autre solution, c’est juste que tu aimes faire du mal et que tu souhaites « expérimenter » sur moi. Donc je vais pleurer, crier, dire n’importe quoi et tu n’auras pas de réponses non plus. Mais tu te seras fait plaisir, ce qui est important, j’en conviens.

Bien entendu, ma proposition 1 comporte l’avantage que si jamais tu n’es pas satisfait, tu peux toujours recourir à la solution 2. C’est juste différer un peu ton plaisir finalement…

[Eriela Viymyfae]

Le Dr Goebells répondit avec un sourire peu engageant

[DR GOEBELLS] - Bien alors je vais choisir quels doigts vont servir à nourrir mes petites roses protégées

Le Dr prit la main droite de Jezyle et commença à réciter très doucment ce qui ressemblait à une lithanie. Peut être cela avait à trait de l'aider à choisir le premier doigt qu'il allait couper.
Il s'arrêta ainsi sur le majeur de la main droite

[DR GOEBELLS] - Voici le premier doigt qui aura l'heureux privilège de servir le dessin de nourrir mes roses. Ne vous inquiétez pas il vous en restera 19 pour assouvir leurs besoins.

Il ramena le chariot proche de Jezyle. Il était facile de constater que les roses étaient rouge carmin, comme le serait la couleur d'une goutte de sang. De plus, l'odeur qu'elles éxallaient était entêtante, ave une arrière odeur cuivrée. Dans la terre il était facile de voir également des restes de phalanges diverses et variées qui pointaient entre les roses.

[DR GOEBELLS] - Alors prête pour l'extase ? Vous verrez comme elles sont heureuses une fois le don effectué. Vous pourrez les voir bouger, cela est stupéfiant.

Le Dr sortit de sa poche droite un sécateur à section de force. Ce dernier semblait suffisant pour sectionner facilement un pouce.
Il ramena le sécateur avec lequel il caressa le dessus de la main de Jezyle afin de faire durer son plaisir et augmenter le stress chez sa victime.

Au moment ou il commença à prendre la main de Jezyle dans la sienne, un bruit de porte qui se fracasse se fit entendre derrière le Dr.

Un bruit d'arme automatique partit de l'endroit situé près de la porte fracassée. Jezyle sentit le déplacement de l'air des balles juste à la droite de sa tête et entendit derrière elle quelque chose qui éclata comme un fruit mur. Une sensation désagréable de projections chaudes attérirent sur ses épaules, son cou et derrière sa tête. Le Dr Goebbels étant toujours dans son chant de vision Jezyle ne voyait toujours pas de ce qui se passait.

Une deuxième rafalle d'arme automatique partit de l'entrée du couloir et toucha l'autre assistant du docteur. Celui ou celle qui venait de tirer devait avoir une crinière blonde.

Le docteur d'un mouvement rapide et souple s'élança par dessus Jezyle et réussit à passer la porte qui était situé derrière elle.

[DR GOEBELLS] - Scheisse

Il claqua la porte et la verrouilla

Jezyle voyait de vant elle deux personneq qu'elle connaissait et qu'elle ne s'attendait à voir, principalement du fait que le docteur avait annoncé les avoir tué.

Une jeune femme d'environ de 30 ans. mesurant environ 1,80m et pesant dans les 75kg. Elle est blonde cheveux longs. Elle a les yeux bleus. Elle est svelte et porte une tenue de type treillis et tiens entre ses mains un fusil d'assaut de type Steyr Aug A2. A son attitude elle sembalit savoir s'en servir. Son nom Jezyle le connaissait il s'agissait de Cathleen Ridder



L'autre personne au sol était un homme tout en muscle et pourtant rapide et souple. Il mesurait plus d'1,90 mètre et devait peser dans les 130kg. Sa chevelure était brun coupée en brosse, ses yeux bleus. Lui aussi était vétu d'un treillis veste et pantalon, ainsi que de rangers. Il tenaitlui aussi un Steyr Aug A2 en main et semblait également savoir s'en servir. Par contre il vait une profonde estafilade sur le torse qui saignait visiblement beaucoup. Il ne pouvait s'agir que de Linden Spears qu'elle cotoyait chaque jours depuis un peu moins d'un an, car lui aussi faisait parti du seth.

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Linden et Cathleen se déplacèrent pour se couvrir l'un l'autre en direction de la porte par laquelle venait de pénétrer le docteur et sitôt que Cathleen se trouva proche de Jezyle, tenant de la main gauche son fusil, elle sortit son poignard de commando de la main droite pour couper prestemant les liens qui retenait Jezyle.

[CATHLEEN] - Prend ma veste, ou prends des vêtements sur les deux cadavres à tes pieds si l'odeur du sang ne te déranges pas. Comment vas tu ? Je te laisse le soin de regarder s'ils sont armés et de t'équiper en conséquence.

Cathleen lança un regard de connaisseuse afin d'évaluer les éventuels dégâts que Jezyle pourraient avoir subis et ne constat rien de visible en tout cas.

[Jezile Khawula]

C’est peu dire que Jezile fut contente de voir des sauveteurs arriver, et encore plus lorsqu’elle s’est aperçue que c’étaient sa sœur et son frère de meute, fusil d’assaut au poing. Et elle a eu un sourire carnassier en sentant le sang des personnes qui se tenaient derrière l’éclabousser.

Il faut dire que même si elle a taché de n’en rien faire paraître, les derniers instants en compagnie de Doktor Goebbels furent riches en émotions négatives, y compris un soupçon – trois fois rien hein – de peur.

Pendant que ça continue à défourailler, Jezile prie pour ne pas recevoir une balle perdue et dès que Cathleen l’eut libérée, son premier réflexe est de mettre un énorme coup de pied au chariot supportant les fleurs spéciales du taré, mais elle se retient in-extremis et, tout en remerciant chaleureusement Linden et Cathleen, elle fait ce que lui demande cette dernière et commence à fouiller les morts.

Juste avant, elle enfile la veste tendue par l’Enfant de Gaïa et qu’il y ait du sang dessus ou pas, elle prélèvera un pantalon sur l’un des cadavres.

Bien entendu, elle fait tout cela le plus rapidement possible car une chasse l’attend désormais : sus au tortionnaire.

Elle se met donc à suivre ses deux compagnons en leur demandant en quoi elle peut leur être utiles. Ce sont des combattants chevronnés, et si je me débrouille pas trop mal en combat, je n’ai jamais été soldat et mener un assaut n’est pas du domaine de mes compétences.

Pour autant, le stress de sa « conversation » avec Goebbels junior, cumulé à l’excitation de la possibilité de le retrouver pour lui faire payer ce qu’il a voulu lui faire subir, met Jezile dans un état proche de la Rage et si elle retrouve le bon Doktor, il n’est pas certain qu’elle ait la présence d’esprit de l’épargner pour tenter de savoir e que signifie tout ce bordel…

[Eriela Viymyfae]

Maintenant que Jezyle pouvait parcourir la pièce du regard, elle constata que cette dernière faisait au bas mot environ 50m², soit un rectangle de 5x10m.
Au centre tronait une grande table d'un seul tenant d'un blanc immaculé faisant 4x2,5m et une dizaine de chaises métalliques l'ornaient, dont une ayant servie pour attacher Jezyle.
Les murs sont blanc et eux aussi immaculés. Le plafond est à une hauteur d'environ 3 mètres et on pouvait y voir 4 gros extracteurs ou ventilateurs encastrés dans le plafond. Quant au sol, il est recouvert d'un sol plastifié ou équivalent, mais qui semblait d'une solidité à toute épreuve. Ce qui pouvait paraitre surprenant c'est que le sol remontait sur les murs d'environ 20cm, épousant étroitement la jointure mur/sol. Le sol était d'une propreté étonnante, en dehors des traces du chariot qui avait été ammené par les sbires du docteur et des traces de sang au sol,visiblement laissées par Linden. La porte, située au Sud, par laquelle étaient rentrés Linden et Cathleen reposait sur le côté, les chanières totalement défoncées comme si un bulldozer venait de lui rentrer dedans. Enfin les lumières étaient maintenant activées et provenaient du plafond. Les deux lumières utilisées lors de l'interrogatoire de Jezyle ataient toujours allumées, mais leur lumière ne pouvait concurrencer celle en provenance du plafond qui était forte, blanche et froide. Sur les murs Est et Ouest étaient visibles des grandes étagères métalliques vides et de chaque côté une armoire métallique renforcée fermée par un digicode. Au delà de la porte défoncée située au sud, est visible un couloir allumée prtant d'Est en Ouest.

Après cette inspection rapide des lieux, il fallait voir l'autre porte, située au Nord, celle par laquelle était sortit le Docteur Goebells. Elle était en métal, tout comme l'armature sur laquelle elle était fixée, et le tout ne présentait aucun angle d'attaque. en effet, la porte fermée semblait faire partie intrégrante du mur. Au centre de la porte était un hubleau dans un verre épais transparent.



A droite de la porte était fixé un lecteur de badge et d'empreinte du réseau veineux de la main.

Linden venait de faire les mêmes constatations que Jezyle sur l'environnement, lorsque d'un micro très bien dissimulé, la voix provenant du plafond, un message du Docteur leur parvint.

[DR GOEBELLS] - Bien vous avez gagner une bataille, mais pas la guerre. Vous ne parviendrez pas à ouvrir cette porte, j'ai donc tout le temps de vous observer et voir comment vous allez réagir à mes nombreux pièges et mes troupes.
Je sais également que la grosse brute que vous employez à récurrer les chiottes et autres travaux dégradant se nomment Linden Spears n'aura que le besoin de tout détruire. Normal sdon cerveau étant celui d'un petit poid. D'ailleur n'est ce pas la raison qui l'a conduit à détruire l'intégralité de sa section, soit 120 hommes dans une crise de rage profonde ! N'est ce pas la raison pour laquelle il a fuit comme un lâche !
Voyez je connais tout de vous et je vous promet que l'on se retrouvera et là je vous attendrai comme il se doit.

Linden entendant les insultes proférées par le Docteur ne put que réagir violamment. Il prit une chaise en l'envoya voler contre la porte. Le choc fut tellement violent que la chaise se tordit et que deux des pieds se brisèrent. Par contre la porte n'eut rien, le verre ne fut même pas fissuré.
constatant l'innéficacité de la chaise, Linden se précipita sur la porte, laissant des tâches de sang au sol suivant le tracé de sa lancée. Il s'arqueboutta sur la poignée, ses deux mains tenant fermemant la poignée, tandis que ses pieds posés de part et d'autre de la poignées lui fournissaient un appui pour que de ses jambes et sa force il tente d'arracher la porte dans un grognement féroce tant son énergie était utilisé et canalysée sur ce qu'il entreprenait.

Un liquide rouge formait une flaque au sol, qui grossisait rapidement

[DR GOEBELLS] - Vous voyez ce que je disais, ce idiot est en train de se vider tout seul sa vie. Ne serait ce pas une mort stupide, ahahahahah, le rire était sinistre et moqueur. N'envisagez pas de tirer avec vos armes auomatiques, non seulement vous ne pourriez pas entamer la porte, mais en plus les balles vont rebondire. Enfin je vous l'ait dit, mais faite comme si je n'avais rien dit, je continue à observer et voir si votre bon sens prendra le dessus ou si au contraire condsidérant que je cherche à vous mentir, vous chercherez à faire ce que je vous coneille de ne pas faire.

[Jezile Khawula]

L’examen de la salle fait immédiatement penser à Jezile qu’elle se trouve dans une pièce d’hôpital, ou de laboratoire, avec ces sols plastique qui remontent sur les murs pour les rendre étanches et facile à laver, mais elle n’a pas vraiment le temps de s’appesantir sur la question, avec Linden qui se vide a priori de son sang en s’acharnant inutilement sur la porte.

Jezile s’approche donc de lui avant de lui dire gentiment.

[Jezile] - Arrête Linden, ça ne sert à rien. Il cherche à te pousser à bout, il est fort pour ça. Regarde la porte. Si vous n’avez pas d’explosifs, nous n’en viendrons pas à bout.

Jezile réfléchit un instant avant de reprendre la parole.

[Jezile] -  J’ai peut-être une idée. Mais avant tout, Cathleen, tu veux bien essayer de localiser les caméras et les shooter ? Et toi Linden, tu veux bien me montrer où tu es blessé ? Je ne sais pas si je pourrais t’aider mais on pourrait peut-être au moins essayer d’enrayer ton hémorragie non ?

Dans l’attente d’une éventuelle obtempération de ses deux camarades, Jezile retourne auprès des cadavres pour vérifier s’ils n’ont pas un badge qu’elle pourrait essayer sur le lecteur de la porte, et, dans tous les cas, elle les traînera près du lecteur d’empreinte pour essayer aussi de mettre leur paume dessus… sait-on jamais

[Eriela Viymyfae]

Jezyle en fouillant les corps découvrit sur chaque cadavre les vêtements habituel pantalon,ceinture, slips, chaussettes, chaussures, chemise et blouses comme effectivement requis dans le cadre médical. Les deux cadavres étaient des hommes enfin ce qu'il en restait, le premier avait eu les trois quart du visage emporté, le deuxième avait un énorme trou au niveau du cou, la tête ne restant tenu que par quelques lambeaux de chairs. Jezyle trouva en plus des badges au revers de leur blouse, deux stylos dans leur poches de blouses, un paquet de chewing-gum. Pas de téléphone, pas de papier d'identité et pas d'armes.

Pendant ce temps Cathleen comprit aux insultes sous entendu de la part du Docteur que Linden aurait du mal à se contrôler, elle se releva prestement avec une rapidité surprenante de la part d'une femme aussi musclée et arriva rapidement auprès de Linden et arriva en même temps que Jezyle.

[CATHLEEN] - Linden arrête tu vas aggraver ta blessure. Veux tu paraître tel que ta décrit ce monstre. Si tru continue ta va rompre ta ceinture abdominale et là je ne pourrais plus rien faire. Je ne veux pas perdre un frère d'arme, pas ainsi.

Elle posa sa main sur l'avant bras de Linden tentant de lui imposer ce qu'elle ressentait.

[CATHLEEN] - Arrête tes conneries je connais bien ce type d'installation c'est du BSL4 et à moins qu'on ai une bombe, tu n'arriveras à rien sauf à te tuer, ARRETE je t'en conjure.

Le cri fusa dcomme un ordre subliminal et Linden relacha la pression et s'écroula au sol, son visage commençant à prendre une tinte livide, son vêtement et pantalon étant complètement couvert de sang.

Sans préter attention à Jezyle, elle allongea du mieux qu'elle pu Linden au sol, sortit un poignard commando et entreprit de découper les vêtements pour voir l'état de la blessure.

Cel se présentait mal, effectivement l'éventration était évidente et le sang sortait à gros boullion.

Cathleen savait qu'elle ne pourrait rien faire, n'ayant ni les outils, ni les moyens nécessaire au soins d'urgence nécessaire dans le cadre de ce type d'intervention.

Elle prit la main droite de Linden et la serra fort, tout en essayant de faire en sorte que ce dernier se réveilla.

Il fallu un certain temps et Linden ouvrit les yeux au moment précis ou du sang commençait à couler de sa bouche

[LINDEN] - Ce n...est p..as gr..ave....................................... une quantité de sang plus important sortit de sa bouche l'empéchant de parler

Il reprit

[LINDEN] - On se re...ve...............raaaaaaaaah, la tête de Linden partit en arrière les yeux dans le vague. La fin était venue.

[CATHLEEN] - Adieu mon ami et mon frère, nous te t'oublierons jamais.

[DR GOEBELLS] - Ouarf, mais quel crétrin, terminé comme cela, je me marre, c'est trop drôle.

Cathleen positionna les mains de Linden sur son ventre et le mis de tel façon à ce qu'il repose en paix. Elle ne tint pas compte des propos du Docteur, récupéra les munitions, les armes de Linden.

Elle passa à Jezyle une arme de poing, un Sig Sauer P226 avec un viseur lazer situé en dessous du canon.



[CATHLEEN] - Il n'en aura plus besoin. Sais tu te servir de ce type d'armes, je peux te passer son fusil d'assaut également et son couteau de commando.
Dis moi quand tu es prête, il faut qu'on dégage d'ici rapidement.

Le fusil d'assaut ressemblait à cela