L'histoire de Snaga
(pour les fan de bouquin fantastique il est possible de retrouver des mots ou noms déjà vu )
** ** **
Quand j'ouvris les yeux pour la première fois sur ces terres, un profond trouble m'envahit. C'était comme si je venais de naître à cet instant. Tant de questions venaient à mon esprit ...
Passé, présent, avenir tout m'était inconnu...
Je devais trouver la réponse a ces questions !
Il me fallait pour cela, déjà découvrir ou je me trouvais, je commençais donc l'exploration de ces terres inconnues. Quand d'un coup un groupe de pillards m'attaqua !
D'abord apeurée, je me lançais a corps perdu dans la bagarre pour sauver ma vie, et découvris avec surprise que je possédais un don pour les sciences et l'art du combat. Je réussis à mettre en déroute mes ennemis.
Après un bref moment de repos je repris mon exploration, me tenant sur mes gardes, mais je ne croisais que des animaux sauvages. Quand un matin, à l heure ou l'aube pointait, je fus assaillie par la même bande de pillard que j'avais force à fuir.
Je venais ainsi de prendre la 1ere leçon de ma nouvelle vie, " ne jamais laisser la vie a un ennemi " .
Je me jetais de nouveau à corps perdu dans la bataille, mais alors que je pensais avoir la situation en main, je sentis une douleur envahir ma poitrine. Mes oreilles bourdonnaient, le sang battait à mes temps. Alors que je voyais ma fin arriver, je vis mes ennemis fuirent, sans en comprendre la raison. Mes jambes vacillèrent, je mis genoux a terre. Ma vue se brouillait, je commençais à sombrer dans le néant, ma vie m'abandonnait lentement. C 'est alors qu'à travers un brouillard, j aperçus des créatures féeriques pailletées d'or, je me disais que c'était la fin, que j hallucinais. Une autre de ces créatures aussi blanche que les neiges éternelles s'adressa à moi. Le temps sembla suspendu, la mort semblait attendre avant de faire son office.
_ " Hailene rhyagelle corenne marath'damane Snaga sei'taer, hailene rhyagelle gaidin far dareis mai, mandarb d'siswai'aman, tai shar shadar logh, aan'allein al'Snaga shadar haran. Al'aldieb seia doon duadhe mahdi'in ji'e'toh tarmon gai'don chambayan... saa shar hadori ashandarei choedan kal, cuande mar'baha daes dae'mar atha'an miere cuendillar."
Je ne su pourquoi, je compris parfaitement son langage.
_ "Bienvenue pour ton retour chez toi jeune Snaga, au regard fier, bienvenue parmi les tiens petite soeur de batailles, vierge de la lance, lame des lances du dragon, vrai sang de Shadar Logh derniere représentante des shadar haran.
Le vent d'ouest t'a amenée parmi nous une nouvelle foi mais tu n'es plus la petite fille de mes souvenirs...
Tu es l'un des nôtres alors bienvenue chez toi à Tai'dashar."
Le dragon blanc m'enveloppa de son souffle. La douleur disparaissait, faisant place à un léger chatouillis. Tout devient noir, mais la peur n était plus la, faisant place à un état de sérénité bienveillante, je sombrais lentement dans un sommeil sans rêve.
Les années passèrent, pendant lesquelles j étudiais l'art de la guerre, auprès des dragons et des elfes dans la cité de Tai'Dashar Ou les licornes m apprenaient à devenir maître de moi.
Mais cette vie ne me suffisait plus ...
Jal'Karu le dragon blanc qui m avait sauvé la vie, ressentit ma détresse. Il m autorisa à partir découvrir le monde, et me demanda si je souhaitais connaître mon passé. Il n'avait jamais voulu me le faire connaître jusqu'à présent, il était enfin temps que je sache.
Il m'apprit que je venais des terres d'Erathia, je revécu en qq secondes le début de ma vie.
J'appris que ma mère Lanfear, était une elfe d une beauté inouïe, et que mon père Heartfang était un jeune nécromancien.
Jal'Karu me confia que Lanfear m'avait confiée aux dragons, lors des guerres sur erathia, avant le grand rassemblement et l'émigration de tous les peuples vers de nouvelles terres.
C'est ainsi que je vécus mon enfance auprès des dragons, qui me choyèrent et m'éduquèrent, loin des guerres destructrices qui semèrent la mort sur Erathia. J appris avec tristesse que mes parents périrent pendant celles ci.
Les dragons partirent donc, me transportant sur leur dos, de terres en terres, afin de trouver celle qui pourra nous accueillir dans la paix.
Mais un jour, alors que les dragons volaient au-dessus d'un océan sans fin, une terrible tempête éclata, les eaux et les cieux se déchaînèrent, c'est alors que le dragon sur lequel j'étais fut frappé par la foudre, et nous entraîna au milieu des vagues monstrueuses. Je fus engloutie, perdant connaissance.
Les dragons fidèles à la promesse faite a Lanfear, me cherchèrent sans relâche, au niveau des flots et des terres, redoutant le pire. C'est ainsi qu un jour ils me retrouvèrent face à face aux pillards.
Je savais enfin qui j'étais, d'où je venais, il était tant de partir vers ma destinée.
Le départ fut sonné, les jeunes gens en age de quitter le nid protecteur bien qu'instructif des dragons étaient tous là. Et nous entreprîmes le long chemin qui menait à la ville. Nous savions que désormais bien que les dragons veilleraient de loin sur nous, nous ne pourrions plus rejoindre la citè cachée de Tai'Dashar sans l'aide de ces derniers.
Le soleil entamait sa lente descente des cieux lorsque au loin nous aperçûmes les tours de la ville. Je ne pu m'empêcher d'en admirer sa beauté.
Aux portes de la ville, nous nous séparâmes, chacun partant vers son destin, certains seuls, d autres non. Je choisis de continuer ma route en compagnie de mon ami Uhad Tori.
Ce dernier se dirigea vers une taverne, après un moment d'hésitation je me précipitais pour le rejoindre à l'intérieur.
Dès mon entrée je vis un jeune homme me fixer, avec un regard étonné, tout en chuchotant quelque chose a ses amis.
Je rejoignis mon ami Uhad Tori a sa table, sans rien laisser paraître du trouble que je ressentais, sentant toujours sur moi le regard de cet inconnu.
Uhad Tori et moi même , restâmes des heures a discuter de notre passé commun au camp des dragons, et notre avenir sur ces terres que nous foulions enfin.
La nuit était entièrement tombée sur la ville, lorsqu' Uhad Tori sorti en me demandant de l'attendre ici.
Au bout d'un moment je sortis pour me dégourdir les jambes, c'est alors que je sentis une main se poser sur mes épaules tout en murmurant doucement " Lanfear, Lanfear est ce bien toi ?
En entendant ces mots, je me retournais rapidement mais sans crainte, cette personne connaissait ma mère. Je reconnus le jeune homme qui m'avait fixé dans la taverne, et le regarda dans les yeux. Nous nous dévisageâmes longuement avant que je me décida a parler.
_ Je suis sa fille, que vous voulez vous, d'où connaissez vous ma mère ?
Nous restâmes une partie de la nuit à discuter, il m'apprit avoir été un grand ami de mon père défunt, et qu il pensait que moi aussi j avais péri lors du grand chambardement. Il m'interrogea sur ma vie durant toutes ces années et moi sur mes parents et mon ancienne patrie. Je finis par apprendre que les survivants des grandes guerres s'etaient alliées et avaient trouves refuge sur de nouvelles terres, qu ils avaient surnommes Morlandor.
Uhad Tori revint enfin me chercher puis sans un regard envers l'inconnu qui se tenait à mes cotés, me dit qu il fallait partir. Malgré les regards furieux de mon ami elfe, le jeune homme nous accompagna jusqu'aux portes de la ville. Il me chuchota qu'il attendrait ici jusqu'au 1eres lueurs du jour, avant de repartir vers Morlandor.
Je lui adressais un au revoir, puis rejoignis Uhad Tori. Mais déjà ce dernier avait compris que je voulais retourner auprès de l'inconnu. Nous continuâmes notre chemin, quand arrivé à la lisière de la forêt je pris ma décision. Je voulais rejoindre mon peuple, celui de mes ancêtres.
Uhad Tori tenta de m'en dissuader, mais je savais que je devais suivre mon destin, et que celui ci était à Morlandor, avec les survivants, avec ceux qui avaient connu mes parents.
Je dis au revoir a mon ami, et fis marche arrière, en cours de chemin j'eu la surprise de voir Jeande'en, la licorne avait qui je me sentais si proche et qui avait partagée tant de choses avec moi auprès des dragons. Elle me dit, quelle avait sentie que je ne reviendrais jamais, et que j avais trouvé ma voie, qu'elle avait demandé la permission de me rejoindre pour m'aider dans mes batailles et parfaire mon éducation de guerrière.
L'aube pointait, j eu peur de ne pas arriver a temps pour rejoindre l'homme de Morlandor. Mais Jeande'en, me fit découvrir les ailes que les dragons lui avaient offertes et s'envola, m'emportant sur son dos.
Nous atteignirent les portes de la ville, ou l'ami de mon père nous attendait avec un large sourire. Je savais que tu reviendrais, me dit il.
Partons, les survivants de Morlandor t'attendent, ta place est parmi eux.
C'est ainsi que je rejoignis les miens, et embrassais la cause de Morlandor.
Passé, présent, avenir tout m'était inconnu...
Je devais trouver la réponse a ces questions !
Il me fallait pour cela, déjà découvrir ou je me trouvais, je commençais donc l'exploration de ces terres inconnues. Quand d'un coup un groupe de pillards m'attaqua !
D'abord apeurée, je me lançais a corps perdu dans la bagarre pour sauver ma vie, et découvris avec surprise que je possédais un don pour les sciences et l'art du combat. Je réussis à mettre en déroute mes ennemis.
Après un bref moment de repos je repris mon exploration, me tenant sur mes gardes, mais je ne croisais que des animaux sauvages. Quand un matin, à l heure ou l'aube pointait, je fus assaillie par la même bande de pillard que j'avais force à fuir.
Je venais ainsi de prendre la 1ere leçon de ma nouvelle vie, " ne jamais laisser la vie a un ennemi " .
Je me jetais de nouveau à corps perdu dans la bataille, mais alors que je pensais avoir la situation en main, je sentis une douleur envahir ma poitrine. Mes oreilles bourdonnaient, le sang battait à mes temps. Alors que je voyais ma fin arriver, je vis mes ennemis fuirent, sans en comprendre la raison. Mes jambes vacillèrent, je mis genoux a terre. Ma vue se brouillait, je commençais à sombrer dans le néant, ma vie m'abandonnait lentement. C 'est alors qu'à travers un brouillard, j aperçus des créatures féeriques pailletées d'or, je me disais que c'était la fin, que j hallucinais. Une autre de ces créatures aussi blanche que les neiges éternelles s'adressa à moi. Le temps sembla suspendu, la mort semblait attendre avant de faire son office.
_ " Hailene rhyagelle corenne marath'damane Snaga sei'taer, hailene rhyagelle gaidin far dareis mai, mandarb d'siswai'aman, tai shar shadar logh, aan'allein al'Snaga shadar haran. Al'aldieb seia doon duadhe mahdi'in ji'e'toh tarmon gai'don chambayan... saa shar hadori ashandarei choedan kal, cuande mar'baha daes dae'mar atha'an miere cuendillar."
Je ne su pourquoi, je compris parfaitement son langage.
_ "Bienvenue pour ton retour chez toi jeune Snaga, au regard fier, bienvenue parmi les tiens petite soeur de batailles, vierge de la lance, lame des lances du dragon, vrai sang de Shadar Logh derniere représentante des shadar haran.
Le vent d'ouest t'a amenée parmi nous une nouvelle foi mais tu n'es plus la petite fille de mes souvenirs...
Tu es l'un des nôtres alors bienvenue chez toi à Tai'dashar."
Le dragon blanc m'enveloppa de son souffle. La douleur disparaissait, faisant place à un léger chatouillis. Tout devient noir, mais la peur n était plus la, faisant place à un état de sérénité bienveillante, je sombrais lentement dans un sommeil sans rêve.
Les années passèrent, pendant lesquelles j étudiais l'art de la guerre, auprès des dragons et des elfes dans la cité de Tai'Dashar Ou les licornes m apprenaient à devenir maître de moi.
Mais cette vie ne me suffisait plus ...
Jal'Karu le dragon blanc qui m avait sauvé la vie, ressentit ma détresse. Il m autorisa à partir découvrir le monde, et me demanda si je souhaitais connaître mon passé. Il n'avait jamais voulu me le faire connaître jusqu'à présent, il était enfin temps que je sache.
Il m'apprit que je venais des terres d'Erathia, je revécu en qq secondes le début de ma vie.
J'appris que ma mère Lanfear, était une elfe d une beauté inouïe, et que mon père Heartfang était un jeune nécromancien.
Jal'Karu me confia que Lanfear m'avait confiée aux dragons, lors des guerres sur erathia, avant le grand rassemblement et l'émigration de tous les peuples vers de nouvelles terres.
C'est ainsi que je vécus mon enfance auprès des dragons, qui me choyèrent et m'éduquèrent, loin des guerres destructrices qui semèrent la mort sur Erathia. J appris avec tristesse que mes parents périrent pendant celles ci.
Les dragons partirent donc, me transportant sur leur dos, de terres en terres, afin de trouver celle qui pourra nous accueillir dans la paix.
Mais un jour, alors que les dragons volaient au-dessus d'un océan sans fin, une terrible tempête éclata, les eaux et les cieux se déchaînèrent, c'est alors que le dragon sur lequel j'étais fut frappé par la foudre, et nous entraîna au milieu des vagues monstrueuses. Je fus engloutie, perdant connaissance.
Les dragons fidèles à la promesse faite a Lanfear, me cherchèrent sans relâche, au niveau des flots et des terres, redoutant le pire. C'est ainsi qu un jour ils me retrouvèrent face à face aux pillards.
Je savais enfin qui j'étais, d'où je venais, il était tant de partir vers ma destinée.
Le départ fut sonné, les jeunes gens en age de quitter le nid protecteur bien qu'instructif des dragons étaient tous là. Et nous entreprîmes le long chemin qui menait à la ville. Nous savions que désormais bien que les dragons veilleraient de loin sur nous, nous ne pourrions plus rejoindre la citè cachée de Tai'Dashar sans l'aide de ces derniers.
Le soleil entamait sa lente descente des cieux lorsque au loin nous aperçûmes les tours de la ville. Je ne pu m'empêcher d'en admirer sa beauté.
Aux portes de la ville, nous nous séparâmes, chacun partant vers son destin, certains seuls, d autres non. Je choisis de continuer ma route en compagnie de mon ami Uhad Tori.
Ce dernier se dirigea vers une taverne, après un moment d'hésitation je me précipitais pour le rejoindre à l'intérieur.
Dès mon entrée je vis un jeune homme me fixer, avec un regard étonné, tout en chuchotant quelque chose a ses amis.
Je rejoignis mon ami Uhad Tori a sa table, sans rien laisser paraître du trouble que je ressentais, sentant toujours sur moi le regard de cet inconnu.
Uhad Tori et moi même , restâmes des heures a discuter de notre passé commun au camp des dragons, et notre avenir sur ces terres que nous foulions enfin.
La nuit était entièrement tombée sur la ville, lorsqu' Uhad Tori sorti en me demandant de l'attendre ici.
Au bout d'un moment je sortis pour me dégourdir les jambes, c'est alors que je sentis une main se poser sur mes épaules tout en murmurant doucement " Lanfear, Lanfear est ce bien toi ?
En entendant ces mots, je me retournais rapidement mais sans crainte, cette personne connaissait ma mère. Je reconnus le jeune homme qui m'avait fixé dans la taverne, et le regarda dans les yeux. Nous nous dévisageâmes longuement avant que je me décida a parler.
_ Je suis sa fille, que vous voulez vous, d'où connaissez vous ma mère ?
Nous restâmes une partie de la nuit à discuter, il m'apprit avoir été un grand ami de mon père défunt, et qu il pensait que moi aussi j avais péri lors du grand chambardement. Il m'interrogea sur ma vie durant toutes ces années et moi sur mes parents et mon ancienne patrie. Je finis par apprendre que les survivants des grandes guerres s'etaient alliées et avaient trouves refuge sur de nouvelles terres, qu ils avaient surnommes Morlandor.
Uhad Tori revint enfin me chercher puis sans un regard envers l'inconnu qui se tenait à mes cotés, me dit qu il fallait partir. Malgré les regards furieux de mon ami elfe, le jeune homme nous accompagna jusqu'aux portes de la ville. Il me chuchota qu'il attendrait ici jusqu'au 1eres lueurs du jour, avant de repartir vers Morlandor.
Je lui adressais un au revoir, puis rejoignis Uhad Tori. Mais déjà ce dernier avait compris que je voulais retourner auprès de l'inconnu. Nous continuâmes notre chemin, quand arrivé à la lisière de la forêt je pris ma décision. Je voulais rejoindre mon peuple, celui de mes ancêtres.
Uhad Tori tenta de m'en dissuader, mais je savais que je devais suivre mon destin, et que celui ci était à Morlandor, avec les survivants, avec ceux qui avaient connu mes parents.
Je dis au revoir a mon ami, et fis marche arrière, en cours de chemin j'eu la surprise de voir Jeande'en, la licorne avait qui je me sentais si proche et qui avait partagée tant de choses avec moi auprès des dragons. Elle me dit, quelle avait sentie que je ne reviendrais jamais, et que j avais trouvé ma voie, qu'elle avait demandé la permission de me rejoindre pour m'aider dans mes batailles et parfaire mon éducation de guerrière.
L'aube pointait, j eu peur de ne pas arriver a temps pour rejoindre l'homme de Morlandor. Mais Jeande'en, me fit découvrir les ailes que les dragons lui avaient offertes et s'envola, m'emportant sur son dos.
Nous atteignirent les portes de la ville, ou l'ami de mon père nous attendait avec un large sourire. Je savais que tu reviendrais, me dit il.
Partons, les survivants de Morlandor t'attendent, ta place est parmi eux.
C'est ainsi que je rejoignis les miens, et embrassais la cause de Morlandor.
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Petit poème aussi; écrit il y à quelques années. Il y aura surement des répétition qui ne me sont pas flagrante, mais j'ai toujours préféré laisser les poèmes tel que je les avait écrit.
Un petit pour la route !
Khronika
Il était une fois une petite fille,
Doux fruit d'un amour de ville,
En début de printemps elle a vu le jour,
Sous une mauvaise étoile elle court.
Un peu bizarre parfois,
Maintenant elle sait pourquoi,
Moitié fille, moitié bête,
Moitié garçon, moitié benête,
Moitié folie, moitié jolie.
Son enfance loin d'être une fête,
Des souvenir brûlés dans la chair,
Ils sont restés dans sa tête,
Oublier elle n'as pas pu faire.
Ce n’est pas faute d'avoir voulu,
Mais la petite mignonnette,
Après avoir tant parcouru,
Mais la petite fillette,
Avec ses idées saugrenues,
Les a encore et toujours gardés,
Chaque fois elle y repense,
Enfoui sous le poids des années,
Elle voit petit à petit que ça n’a pas de sens,
Alors oui moitié stupide, moitié raté,
Elle abandonne, ils ont gagnés,
C’est fini, plus d'enfance,
Les yeux troublé, plein de nuances,
Allez vous en, ne revenez jamais,
Pas de soucis pour elle, elle a bien noté,
Allez vous en, laissez la,
Et surtout oubliez la.
Il était une fois une fille,
Elle avait un peu grandie,
De grands yeux candides,
Une douce âme ébréchée,
Au coeur d'une âme volée,
Une vie abandonnée,
Une enfance effacée.
Les tourments se sont fait dur,
Réfugiée dans un terrible amour,
L'édifice semblait plus sur,
Chaque jour devenait velours;
Elle montait toujours plus haut,
Sans voir que la petite hirondelle,
A vouloir garder sa tête hors de l'eau,
S'en était brisée les ailes.
Elle y croyait dur comme le fer,
Les yeux fermés, se laissaient guidée,
Ne pas les ouvrir pour voir se briser le verre,
D'un rêve trop de fois manipulé,
Prise de conscience mortelle,
Choc violent trop attaché
Brisées les ailes,
Sous l'eau reste clouée.
Il était une fois une demoiselle,
Doux fruit d'une naissance trop vite achevée,
A force de regarder derrière elle,
La petite hirondelle a fini par couler,
Elle a préféré laisser sa chance,
Les couleurs ont fané avec le temps,
Du blanc, du noir, aucune ressemblance,
Le gris partit danser dans le vent,
Une douleur sourde dans son être,
Douce musique qui lui vrille les veines,
Elle s'incline devant son maître,
S'enchaîne au délicat son de la peine,
Jette la clé au fond du précipice,
Trop tard pour aller la chercher,
Regard candide s'emplit de vice,
L'être se ferme, la vipère vient contrôler,
Le long de la chanson glisse,
Sur le sacrifice des années,
Vient chanter son hymne,
Elle qui à gagné.
Elle a brisé tous les liens
Plus rien ne la retient
Pas encore prête pour l’instant,
Mais elle sais qu’elle à le temps,
Que cette situation n’est que temporaire,
Et que viendras vite le temps de faire,
Car elle est fatiguée de la vie,
L’ombre jetée sur son cœur
Reine sous une ère de malheur,
Cachant par un faible voile la sourde douleur.
Chaque seconde elle à crue mourir,
Chaque respiration une torture infligée par la vie,
Douce vengeance personnelle,
Elle n’avait pas pris conscience de la valeur
De ces mots qui la hantaient, veillaient sur elle,
Elle, lentement se fatigue, on lui dit d’être forte mais la vipère sais,
Sais qu’Elle en assez, qu’elle n’a plus la force,
Qu’elle a perdue la foi, abandonné le combat,
Que pour elle, ça n’en vaut plus la peine.
Oubliez la pour votre salut,
Oubliez la, n’y pensez plus,
Bientôt Elle s’en ira,
Ne laissera que les marques,
De la douleur qui fut,
Et qui pour toujours sera.
Alors surtout ne venez pas,
Mettre de petits flocons dans son enfer,
Ni enlever la solitude qui la serre.
Doux fruit d'un amour de ville,
En début de printemps elle a vu le jour,
Sous une mauvaise étoile elle court.
Un peu bizarre parfois,
Maintenant elle sait pourquoi,
Moitié fille, moitié bête,
Moitié garçon, moitié benête,
Moitié folie, moitié jolie.
Son enfance loin d'être une fête,
Des souvenir brûlés dans la chair,
Ils sont restés dans sa tête,
Oublier elle n'as pas pu faire.
Ce n’est pas faute d'avoir voulu,
Mais la petite mignonnette,
Après avoir tant parcouru,
Mais la petite fillette,
Avec ses idées saugrenues,
Les a encore et toujours gardés,
Chaque fois elle y repense,
Enfoui sous le poids des années,
Elle voit petit à petit que ça n’a pas de sens,
Alors oui moitié stupide, moitié raté,
Elle abandonne, ils ont gagnés,
C’est fini, plus d'enfance,
Les yeux troublé, plein de nuances,
Allez vous en, ne revenez jamais,
Pas de soucis pour elle, elle a bien noté,
Allez vous en, laissez la,
Et surtout oubliez la.
Il était une fois une fille,
Elle avait un peu grandie,
De grands yeux candides,
Une douce âme ébréchée,
Au coeur d'une âme volée,
Une vie abandonnée,
Une enfance effacée.
Les tourments se sont fait dur,
Réfugiée dans un terrible amour,
L'édifice semblait plus sur,
Chaque jour devenait velours;
Elle montait toujours plus haut,
Sans voir que la petite hirondelle,
A vouloir garder sa tête hors de l'eau,
S'en était brisée les ailes.
Elle y croyait dur comme le fer,
Les yeux fermés, se laissaient guidée,
Ne pas les ouvrir pour voir se briser le verre,
D'un rêve trop de fois manipulé,
Prise de conscience mortelle,
Choc violent trop attaché
Brisées les ailes,
Sous l'eau reste clouée.
Il était une fois une demoiselle,
Doux fruit d'une naissance trop vite achevée,
A force de regarder derrière elle,
La petite hirondelle a fini par couler,
Elle a préféré laisser sa chance,
Les couleurs ont fané avec le temps,
Du blanc, du noir, aucune ressemblance,
Le gris partit danser dans le vent,
Une douleur sourde dans son être,
Douce musique qui lui vrille les veines,
Elle s'incline devant son maître,
S'enchaîne au délicat son de la peine,
Jette la clé au fond du précipice,
Trop tard pour aller la chercher,
Regard candide s'emplit de vice,
L'être se ferme, la vipère vient contrôler,
Le long de la chanson glisse,
Sur le sacrifice des années,
Vient chanter son hymne,
Elle qui à gagné.
Elle a brisé tous les liens
Plus rien ne la retient
Pas encore prête pour l’instant,
Mais elle sais qu’elle à le temps,
Que cette situation n’est que temporaire,
Et que viendras vite le temps de faire,
Car elle est fatiguée de la vie,
L’ombre jetée sur son cœur
Reine sous une ère de malheur,
Cachant par un faible voile la sourde douleur.
Chaque seconde elle à crue mourir,
Chaque respiration une torture infligée par la vie,
Douce vengeance personnelle,
Elle n’avait pas pris conscience de la valeur
De ces mots qui la hantaient, veillaient sur elle,
Elle, lentement se fatigue, on lui dit d’être forte mais la vipère sais,
Sais qu’Elle en assez, qu’elle n’a plus la force,
Qu’elle a perdue la foi, abandonné le combat,
Que pour elle, ça n’en vaut plus la peine.
Oubliez la pour votre salut,
Oubliez la, n’y pensez plus,
Bientôt Elle s’en ira,
Ne laissera que les marques,
De la douleur qui fut,
Et qui pour toujours sera.
Alors surtout ne venez pas,
Mettre de petits flocons dans son enfer,
Ni enlever la solitude qui la serre.