SC: Le monde est... : Chap 1: La rencontre

[Lepropre]

On a déja de nombreux éléments. Je souhaiterais interroger la concièrge pour connaitre un peu mieux l'inspecteur Jackson, ainsi que son dossier. Un flic ne devient pas maitre chanteur du jour au lendemain et puis tout cela est vraiment étrange.

HRP : Edit c'était bien une parole. petite erreur de m part toutes mes excuses.

[Alex]

Nos quatres amis se retrouvent dans le salon arretant leur analyse des lieux. Cette petite odeur de desinfectant clinique régnant toujours dans ce lieu ou s'est déroulé un drame. Une legere tache subsiste sur le mur mais de toute évidence cela a été néttoyé



HRP: Lepropre, est ce une pensée ou un dialogue? Car mit en italique personne n'entend ce que tu pense.

Pour les autres, n'oubliez pas que vous ne recevez des indices (pour autant qu'il y en ai) que des zones que vous mentionnez, en précisans ce que vous cherchez. Bon, dans le cas présent, vous l'aurez compris, il n'y a pas grand chose ce qui facilite les recherches. Mais l'appartement n'est pas non plus vide au sens propre du terme

[Pike Matton]

HRP : Oui, désolé

Est ce que quelqu'un a fouiller sous les matelas ?

Le journaliste joint le geste à la parole en s'approchant du lit.

Et sous les coussins du canapé ? A défaut d'indice, on trouvera peut-être un peu de monnaie...

[Tlatloc]

Le Professeur Cristobal observe la tache sur le mur, en sifflant entre ses dents : en tout cas moi, je suis bien content de ne pas avoir été là quand cette tache a été faite...

Puis il se rend à la cuisine pour fouiller les meubles et regarder la poubelle...

[Lepropre]

Très bonne idée pour le matelas. les gens y cachent souvant leur économies. Je vais vous aider à les soulever.

Lepropre se dirige alors vers la chambre avec le journalise et soulève le matelas pour le laisser regarder dessous.

[Erenten]

Le professeur Delombre range les documents puis se dirige vers la chambre au lit double:

"Je vais chercher dans cette chambre!"

Je soulévele matelat du lit et regarde le sommier, ainsi que le matelat. J'inspecte les placards.

[Alex]

La chambre est relativement propre mais prouve néanmoins que quelqu'un y a habité. La garde robe est remplie de vétement, de valise et autre babiole utile dans le quotidien

Nos trois amis s'approchent du lit aux draps impecablement tiré et soulève le matela pour regarder en dessous.


Placée au niveau du centre, donc visible uniquement si on soulève le matela à deux, se trouve plusieurs farde cartonnées en papier. Une fois ouvert, on peut constater deux choses...

Le premier contient le dossier de police d'un dénommé Cristobal Tlatloc. Il y a la photo du dénommé, en plus de quelques mention d'amende reprise dans des années antérieur. Une annotation est entourée en rouge et reprend un rapport de police remontant à 5 semaines dans lequel le professeur Cristobal Tlatloc est venu à la police pour annoncer la découverte d'un cadavre déchiqueté.

Le deuxieme dossier reprend une dizaine de pages, tirées de différent de rapport de police, une carte de la ville de Paris sur laquelle sont collés des post-it. Une lecture rapide des rapports permet de constater qu'il s'agit de décés dont les victimes ont toutes été déchiquetée par un chien sauvage qui court actuellement dans Paris. L'une des pages mentionne la découvert d'un homme dans un fouré et une annotation en rouge indique "Victime découverte par Tlatloc", tandis qu'un autre rapport mentionnant la mort d'un étudiant déchiqueté dans les toilettes d'une école comprend la mention "Décès à quelques pas de la classe de Tlatloc".


Les autres rapport comprennnent juste des numéro allant de 1 à 15 et on peut découvrit que des numéros identiques ont été mentionné sur la carte de Paris.

Les posts-it reprennent les info
" Ou était le professeur Tlatloc le 20 Février? Demander au directeur de l'école",


"Tous les meurtres sont apparus dans les environs proches de son appartement et de son travail"

" Allez chercher d'autre témoignage de sa présence sur les lieux",

" Troisème étudiants décédés sur le lieu de travail de Mr Tlatloc".

Pourquoi la police a t-elle gardé cela secret!? ",




Une dernière feuille photocopiée se ballade dans la meme farde

Tlaloc est le dieu de la pluie et de la végétation qui tient un rôle prépondérant dans la mythologie aztèque. Son nom signifie « celui qui fait ruisseler les choses », « celui qui sème » en nahuatl.

Dans les diverses civilisations de la Mésoamérique, il existe fréquemment un dieu de la pluie représenté généralement avec un masque qui possède de long crocs et des yeux ronds semblables à des lunettes. Cette représentation est étonnamment ressemblante à celle du dieu Chac, le dieu maya de la pluie et remonte au moins à la civilisation de Teotihuacan entre le IIIe siècle et le VIIIe siècle. Tlaloc est la principale divinité des tribus sédentaires et rurales du Mexique central jusqu'à l'arrivée vers le XIe siècle/XIIe siècle de tribus guerrières venues du nord. Celles-ci apportent deux cultes nouveaux, celui du Soleil (Huitzilopochtli) et le culte du ciel nocturne étoilé (Tezcatlipoca).

Tlaloc est un dieu redouté. Il possède le pouvoir d'envoyer la pluie, la foudre, la tempête ou la sécheresse et par conséquent la famine. Certaines maladies lui sont attribuées comme l'hydropisie. Aussi les morts décédés de ces maladies, frappés par la foudre ou noyés ne sont pas incinérés mais enterrés pour rejoindre le Tlalocan ou Tlaloc qui leur accorde une bienheureuse vie éternelle. Pour éviter les colères de ce dieu redoutable les aztèques lui offrent, ainsi qu'à ses compagnons les Tlaloque qui résident aux sommets des montagnes, des sacrifices humains, généralement des enfants, offerts le premier mois des dix-huit que comporte l'année rituelle.

À Tlaloc est associé sa compagne Chalchiuhtlicue (Celle qui porte une jupe de jade) qui est la déesse des eaux douces et des torrents.
.

***

Cristobal quant à lui rentre dans la cuisine et inspecte les lieux. A première vue tout semble en ordre. La poubelle est vide et lave vaisselle comprend quelques assiette. Deux verres se trouvent retourné sur l'égoutoir de l'évier et sont propres.

Les armoires ne révélent rien de particulier si ce n'est de la nourriture en quantité. Le frigo et le congélateur sont plein et prouve que la victime était un bon vivant connaisseur de nourriture. une bouteille de Martini est dans la porte du frigo et le reste des bouteilles sont du Cola Coca, et autre soda pétillant

[Tlatloc]

Le Professeur Tlatloc est un peu déçu, mais il se sert un petit verre de Martini. Alors qu'il ignore encore l'apparition des fardes, il maudit la fructueuse expédition à la toilette alors que lui n'a rien trouvé endéans l'heure. Il n'allait tout de même pas ramener deux fricadelles et un rouleau d'essui-tout au autres.

L'espace d'un instant, il se dit qu'il ferait mieux d'aller acheter une couque avec son Proton, que les autres pouraient bien le ressonner tantôt sur son GSM. En plus dans sa frénésie de recherche il avait bouger le frigo, et maintenant il ne savait plus ouvrir la porte de la cuisine.

Godferdom! fit le Professeur, avant de violemment dégager la porte pour faire irruption dans la salle où les autres regardaient les dossiers, médusés.

[Lepropre]

Messieurs, vpous comprendrez aisément que je conserve ces dossiers pour les besoins de l'enquête.

Lepropre ramasse les différents papiers

HRp : en tant qu'inspecteur j'ai entendu parlé de cette histoire ?

[Tlatloc]

Ah vous avez trouvé quelque chose? Je peux y jeter un coup d'oeil?

Les yeux du professeur s'arrondirent de surprise quand il vit de loin le plan de son quartier, aisément reconnaissable...

[Erenten]

Delombre regarde son homologue, et lui répond:

"Oui un petit récit de vos turpitudes. D'ailleurs nous devrions avoir une réelle conversation concernant cela ou du moins sur ces rumeurs."

[Tlatloc]

Je vous laisse le soin de commencer cette conversation, fit le professeur en levant les yeux au ciel, mais j'ai bien peur que vous vous adressiez -au mieux- à la mauvaise partie de moi-même. Pour être franc, je pense tout à fait que vous perdez votre temps.

Le professeur s'approche des dossiers et les examine sans cesser de parler.

Vous vous doutez bien que je suis le premier concerné, et que donc ces questions je me les suis posées bien avant vous. Or, autant que je sache, j'ai pour certain de ces crimes des alibis qui me font penser que je n'y suis pour rien. Prenons, si vous le voulez bien, l'exemple sordide du professeur Duchmin que j'ai retrouvé mort dans le square Caulaincourt. Pour étrange qu'aie été cette soirée, où un mystérieux coup de fil me fit me rendre dans un troquet local pour un hypothétique rendez-vous qui jamais n'eu lieu, elle est tout le temps resté claire dans mon esprit et lorsque je retrouvai ce corps dans un état indicible, il était déjà presque froid. L'avantage d'avoir passé la soirée dans un bar, c'est que je n'y étais pas seul. Au moment où ce meurtre en particulier a été commis, j'étais assis sur la banquette de Francis la Butte, et je sirotait un demi en lisant "le Courrier". Donc si je suis responsable de ces crimes, j'arrive à mon tromper moi-même, cela est certain, mais je trompe également tout le quartier...

Il planta ses yeux dans ceux de l'Inspecteur.

En revanche, je suis parfaitement d'accord avec la description, quoi qu'un peu fruste, de Tlaloc. Ma maison est placée sous la protection tutélaire de cette divinité. Ce qui fait qu'en notre ville de Cholula courrent multes légendes aux sujets de mes aieux... Mais il s'agit d'anciennes fables...

[Erenten]

En tout cas cher professeur, l'inspecteur Jackson était fortement intéressé par votre personne.

[Lepropre]

Je trouve ces écrits passionnant.De deux chose l'une, soit vous avez quelque chose à vous reprocher, soit quelqu'un vous en veux.
Dans tous les cas vous eveillez ma curiosité.

[Erenten]

a-t-on tout fait dans l'appartement?
Parceque sinon nous pourrions sortir et continuer cette discussion ailleurs.

Le professeur Delombre regarde dans les piéces de l'appartement.

C'est pas bien grand! alors inspecteur, on fait quoi?