SC: Le monde est... : Chap 1: La rencontre

[Erenten]

Nous sommes messieurs Tatloc, Pike et Delombre.
Répond le professeur

[Alex]

Après une seconde la voix retentie dans l'appareil, suivit d'un BUZZZZZ éléctronique de la porte.

Entrez messieurs



D'après la sonnette, il s'agit de l'appartement 3B, donc troisieme étage

Nos amis prennent l'ascensseur et arrive à l'étage en question. Là un homme les attend sur le palier

[Erenten]

Le professeur Delombre s'avance, précédant ces compagnons:

Monsieur Alonzo j'imagine!

[Lepropre]

En face du professeur se trouve un homme avec un physique imposant qui laisse entrevoir un début d'embonpoint. Crane chauve, nez applati des boxeurs et arcades proéminantes lui donne une dureté et un air mauvais.

L'homme après quelques secondes d'hésitations prend enfin la parole.


Entrez je vous prie

[Tlatloc]

Y ahora es otro tipo de cabron...

Le professeur entre en grommellant dans l'appartement.

Alors, monsieur, qu'est-ce que vous nous voulez avec vos ontages d'héroic fantasy? Je suis très curieux de connaître ce qui vous à pousser à nous contacter...

[Alex]

Le trio passe la porte et arrive dans un couloir en diagonale, de près de trois mètres de long de part et d'autre du quel se disposent des pièces dont les portes sont fermées. Au bout de celui ci se trouve le salon salle à manger dans lequels ils entrent

Tout dans ce lieu montre que la construction est fraichement rénovée. Une légére odeur de 'déthol', un produit médical dont l'odeur rappele celle des cliniques, flotte dans l'air...

[Erenten]

Monsieur Alonzo, pourquoi nous avoir convoqué ici tout les trois?
Et qu'avez vous à ajouter à votre courrier?

Le professeur Delombre jette un regard dans l'appartement.

[Lepropre]

Lepropre leur désigne des chaises autour de la table

Prenez places, messieurs, je me rpésente, inspecteur Lepropre.

[Tlatloc]

Muy bien, Inspecteur. Et?

Le professeur Tlatloc réajuste sa veste.

Nous ne sommes pas venu de si loin pour se contenter de votre patronyme. Vous savez, je n'ai que peu de respect pour les envois anonymes, et j'ose espérer que vous ne cachez rien de criminel... Et je vous suggère d'aller droi tau but, car comme vous semblez le savoir, j'ai manifestement des sautes d'humeur fatales ces derniers temps... Et là, je m'impatiente...

[Erenten]

Delombre essai de ramener un peu de calme avant que cela n'envenime.

Plus clairement, inspecteur Lepropre, nous voudrions savoir pourquoi nous avoir envoyé un courrier signé d'un faux nom...a moins que monsieur Alonzo ne soit pas encore arrivé?

[Tlatloc]

Si, claro!... Fernando Alonzo... et pourquoi pas Yannick Noah ou David Beckham tant qu'on y est.

Bizarrement le professeur sent ses poils se hérisser à mesure que la colère l'emplit. Il essaye de penser à autre chose, un couché de soleil sur la baie de Puerto Angel, les Monarques dans les forêts de Morelia, les singes hurleur à Palenque... Mais il est toujours un peu énervé...

[Lepropre]

Messieurs du calme, l'affaire est plus grave que vous le pensez.
Asseyez vous, s'il vous plait.

Lepropre laisse planer le silence avant de reprendre

Avant tout chose j'ai besoin de voir cette lettre, si mes hypothèses sont exactes vous avez été abusé.

[Pike Matton]

sans aucun doute...

Pike remet l'enveloppe à ce Mr. Lepropre.

Si ça ne vous ennui pas, est-ce qu'il serait possible d'avoir une preuve de votre identité ? Sans etre paranoïaque, le climat est à la prudence, si vous voyez ce que je veut dire.

[Lepropre]

Tout en sortant sa carte de police Lepropre s'installe pour lire la lettre.

[Alex]

Pike tend l'envellope dans laquelle il y a une feuille déchirée à la va vite avec les annotations suivantes griffouillées à la main.

Bonjour

J’aimerais vous parler de ça

Merci de venir demain à midi à mon appartement, 12 rue des Longues Raies -
Senneville sur Fecamp.

Fernando Alonzo

En annexe se trouve une serie de cliché représentant un homme qui semble se "métamorphoser" en quelque chose. Curieusement, l'individu est facilement reconnaissable...Il s'agit de Tlatloc!

De son coté Pike regarde la carte. Il s'agit bien d'une carte d'inspecteur, d'un bureau de Paris