Les deux historiens retournent à la gare. Un brouillard dense envahit les rue du port, qui se pare d'un manteau de mystère. Quelques silhouettes furtivent se hâtent contre les murs, des hommes sans visage traversent sans bruit les ruelles vides. Seuls les claquements des voiles et les cris des oiseaux marins rompent un silence pesant.
Cherchant un vain un panneau indiquant "gare SNCF" dans une brume maléfique, les scientifiques tournent en rond, glissant sur les pavés luisant d'humidité.
Que barbaridad! C'est quoi ce temps? Dans une minute j'appelle un taxi...