RENOMMEE - CHAP VII : La fin n'est que le commencement
Posté: Lun 23 Fév 2009 22:11:23
Scénario :
RENOMMEE
Chapitre 7
RENOMMEE
Chapitre 7
trois bruits mat résonnent sur la porte de la chambre...
- BOUM BOUM BOUM!
Non loin, dans le lit de la modeste chambre de la taverne, un corps se tourne sous les draps...
* grremblm #!?'@ *
- BOUM BOUM BOUM!
Des bras émergent en retirant les draps nerveusement afin de découvrir une tête aux yeux endormit
- #!?'@....Woué. Par la barbe de l'enfer qui va là?!
Une voix fémine résonne derrière la porte...
- Service d'étage monseigneur. J'apporte de quoi vous sustenter au lever de Yelm, comme vous l'avez demandé Mon Seigneur
* - #!?'@....Pas moyen de dormir tranquillement! * - Woué j'arrive!
D'un mouvement de bras, les draps sont retirés et un homme s'assoit sur le rebord du lit, nu comme un vers
* ...Tiens, ou sont mes vetements? ...C'est bien la première fois que je m'endors nu...*
Dans un état encore comateux, il parvient à apercevoir son équipement soigneusement rangé dans l'armoire, ouverte.
* aaaah j'aime mieux ca!. Bon allons d'abord.....*
- BOUM BOUM BOUM!
Toujours à moitié endormis l'homme se tape le front de la paume de la main, comme s'il venait d'oublier la présence de cette femme de chambre
- Ca va je suis là, je suis lààààà!
En cachant sa nudité, il entre ouvre la porte nerveusement avec l'envie subite d'envoyer cette femme se faire voir dans les temples de la Déesse de l'Amour. Mais au lieu de ça, il reste bouche béé face à la vision d'une troupe de mercenaires dont l'un d'entre eux tenait levée la crosse d'une arbalète, et frappa son crane de toute ses forces.
***
Lorsqu'il réouvrit les yeux, c'était pour consater qu'il était dans une cellule de prison en compagnie d'étrangers dont la vie en était consomée à peine de moitié, à l'exception d'un homme dont les cheveux poivre et sel prouvaient le contraire. Mais après quelques regards furtifs, il était évident que l'on reconnaissait certains de ces étrangers. Worst, Gawen, Valerius, Tahir, Aslhey.
Enfin, il y avait aussi 4 pauvres erres dans les cellules voisines....Mais, bien que tout sur eux montrait qu'il ne s'agissait que de pauvres ivrognes s'étant sans doute trouvé mélé à une baggare de taverne, c'était surtout leur attitude térrorisée qui était surprenante. Leur yeux appeurés étaient figés sur la cellule voisine dans laquelle résidait Fenris de fariola encore vétue de son armure de métal et de ses habits de cuir, avec sa chevelure auburne déposée sur les épaules. Elle commencait à reprendre conscience en se redressant péniblement en se massant la nuque.
De toute évidence, la journée avait mal recommençé....