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DIDLITH, FILLE DE KRALORELA
Joueur: Didlith
BG à venir
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Baldwin, Initiée de Donandar
Joueur: Badwin
La nuit est calme, et les bois silencieux résonnent du crissement des insectes, semblant éclater au moindre hululement de prédateur nocturne… Une petite route de terre serpente au beau milieu des arbres, tellement vieux que nul homme encore en vie ne se souvient de les avoir connu autrement.
L’auberge du Foyer Etincelant, havre de civilisation au milieu de l’obscurité des bois, refuge chaleureux pour les voyageurs égarés, abri pour les marchands qui parcourent les routes, se dresse au bord de la route…
Elle résonne de rires et de chansons, car il n’est pas encore suffisamment tard pour rejoindre les couches et reposer en paix dans la chaleur du foyer, l’heure est à la fête.
« Dégage de là, sale bon à rien !! »
Une lumière apparaît dans l’obscurité de la nuit, tandis que la porte s’ouvre… Un petit être en jaillit, courant à toutes jambes vers le refuge qu’offre les arbres, tandis qu’un homme gigantesque et barbu apparaît à sa suite, lance quelque chose sur le seuil, et hurle, un immense couteau à la main :
Et que je ne te revoie plus, escroc !!! Sinon je me chargerais de t’apprendre à distraire les foules, et les dernières choses que tu amuseras seront les corbeaux qui grignoteront ta dépouille !
Sur ces paroles profondes, l’homme claque la porte… Baldwin sort du couvert salvateur que lui ont offert les arbres centenaires, et va récupérer son sac, tout en marmonnant :
-Je suis sûr qu’un seul corbeau de ce monde a plus de sens lyrique que toute ta famille réunie, arnaqueur d’ivrogne !
Le petit homme époussette son sac, pousse un soupir, et le remets sur son épaule… Puis il se dirige vers les bois, et s’enfonce dans l’obscurité de la forêt, prêt à passer une nouvelle nuit à la belle étoile…
Cela fait longtemps que le troubadour a quitté les siens, tellement longtemps qu’il a oublié jusqu’à leur nom, et comment revenir…
Il se souvient avoir été un gamin des rues, errant parmi ses pairs, en tentant de les distraire, heureux de trouver un sourire parfois un sourire à son attention, parfois une pièce… Il ne se rappelle pas avoir vécu ailleurs que dans la rue, pas plus qu’avoir jamais connu la tendresse du sourire d’une mère, ou la douce chaleur d’un foyer…
Il se souvient juste de la puanteur abjecte des rues la nuit, du vacarme citadin, des silhouettes qui l’ignoraient et le méprisaient… Il se souvient de la peur, de la faim, et de l’incompréhension qui était la sienne en voyant d’autres enfants de son âge avoir une vie confortable et apprendre des choses….
Il se souvient avoir quitté tout cela, mais il a oublié comment, et ne tient pas à s’en souvenir un jour…
Il a erré sur les routes pendant longtemps, sans attaches, sans repères, survivant de la bonté des autres, et des quelques talents de barde qu’il possédait, comme un parasite, suçant le sang des autres pour survivre.
Plus d’une fois, il a haï celui qui lui avait réservé un tel destin, car même pour un garçon de son jeune âge, il savait que quelqu’un, même s’il ne pouvait pas le nommer, devait s’acharner à son encontre…
Mais tout pécheur à droit à une seconde chance, et tout ceux qui errent dans les ténèbres ont toujours le droit de revenir à la lumière…
Dans une auberge, où il mendiait, il a été reconnu par ces gens… Il se souvient de leurs tenues colorées, de leurs grands sourires qui venaient éclairer sa morne vie de mendiant, et il a su ce qu’il voulait devenir…
Il a suivi leur convoi, de loin, comme un animal apeuré, mais ils l’ont très vite trouvé, et tendu la main…
Troubadours, ménestrels, amuseurs, jongleurs, bouffons, acrobates, musiciens l’ont accueilli comme l’un des leurs, et lui ont redonné goût à cette vie qu’il croyait depuis longtemps sans saveur…
Ils lui ont appris à ne plus avoir honte de lui-même, son regard triste a retrouvé la pétillante lumière malicieuse de l’enfance, puis de l’adolescence, et il s’est trouvé un maître et une vraie famille… Jeroc, maître amuseur, et filou patenté, lui a appris l’art du chant (bien que sa voix ne s’y soit guère prêtée), celui de l’amusement, la subtilité de la répartie, la science de la filouterie, et la pratique de ces arts, ô combien subtil, que sont le mensonge et l’éloquence…
-Nous les ménestrels, avait-il un jour dit, avons la plus ingrate des tâches … Nous divertissons les foules, et elles nous acclament tout le temps où nous faisons montre de nos dons… Mais nous récompensent-ils de la joie que nous leur procurons ? Nous félicitent-ils de leur faire oublier pour un temps, les troubles de leur époque, et de leur procurer un spectacle à nul autre pareil en ce monde ?
Non, quand tombe le rideau, et que grondent les estomacs, nous redevenons à leurs yeux de simples manants, dont le travail n’a rien d’utile, car leur soif a été étanchée.
Ils ne nous chassent pas, évidemment, mais leur cœur n’abrite plus que mépris à notre égard, et ils sont heureux lorsque nous partons, car nous mangeons leur pain, et prenons leur or, sans rien donner de tangible en échange, et ne sommes pas d’une grande aide quand vient l’heure du combat…
Oui, bien ironique est le monde dans lequel nous vivons, où joie et émerveillement ne valent pas plus qu’un quignon de pain et quelques piécettes…
Et pourtant nous continuons, animés par la flamme qui embrase le cœur de Donandar, notre seigneur, car les hommes ont besoin qu’une lueur de joie vienne éclairer leur âme, en ces temps de ténèbres qui s’annoncent… Et qui d’autre que nous est à même de le faire ? Qui peut apporter la joie dans le cœur des hommes sinon nous autres, pauvres hommes…
Ne soyez pas trop prompt à les juger, car leur monde n’est pas le nôtre, et leurs soucis nous paraissent triviaux… Nous nous devons d’aimer la vie, pour eux qui ne peuvent s’en réjouir, ou qui ne le veulent pas…
Baldwin a grandi parmi ces troubadours, heureux de cette existence difficile, mais joyeuse et paisible, s'étant enfin réconcilié avec les forces divines, et avec lui même…
Puis un jour, il a senti qu’il devait suivre sa propre voie, et il les a quitté, pour parcourir le monde et découvrir les hommes…
Il a erré longtemps, a contemplé des facettes de l’humanité qu’il aurait préféré ignorer… Il a vu des hommes mourir, et d’autres vivre et naître… Mais jamais il ne s’est départi des enseignements de son maître, ainsi que de son indéfectible optimisme…
Cela s’est passé, il y a prés d’une année… Il parcourait les routes, marchant de village en village, distrayant les foules, et amusant les hommes par son humour, son talent de conteur ou ses dons de passe passe…
Et un jour, le monde l’a rattrapé, et a piétiné ses convictions, à grand coup de bottes cloutées…
Il a vu les envahisseurs démoniaques, les Lunar, arriver dans un petit village, dont il a oublié le nom, mais que par chance, il avait quitté quelques heures plus tôt…
Il les a vu piller les maigres richesses, brûler les chaumières, massacrer les soldats, et exécuter les innocents…
Et il s’est rappelé ses origines, et a été envahi par une horreur sans nom, ainsi que par un sentiment d’inutilité et de faiblesse…
Mais il n’en a pas pour autant décidé d’abandonner.
Il se doit de continuer à porter le message, et de prouver au monde qu’il n’est pas sans valeur…
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Fenris de Fariola, Initiée barbare d'Humakt
DIDLITH, FILLE DE KRALORELA
Joueur: Didlith
BG à venir
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Baldwin, Initiée de Donandar
Joueur: Badwin
La nuit est calme, et les bois silencieux résonnent du crissement des insectes, semblant éclater au moindre hululement de prédateur nocturne… Une petite route de terre serpente au beau milieu des arbres, tellement vieux que nul homme encore en vie ne se souvient de les avoir connu autrement.
L’auberge du Foyer Etincelant, havre de civilisation au milieu de l’obscurité des bois, refuge chaleureux pour les voyageurs égarés, abri pour les marchands qui parcourent les routes, se dresse au bord de la route…
Elle résonne de rires et de chansons, car il n’est pas encore suffisamment tard pour rejoindre les couches et reposer en paix dans la chaleur du foyer, l’heure est à la fête.
« Dégage de là, sale bon à rien !! »
Une lumière apparaît dans l’obscurité de la nuit, tandis que la porte s’ouvre… Un petit être en jaillit, courant à toutes jambes vers le refuge qu’offre les arbres, tandis qu’un homme gigantesque et barbu apparaît à sa suite, lance quelque chose sur le seuil, et hurle, un immense couteau à la main :
Et que je ne te revoie plus, escroc !!! Sinon je me chargerais de t’apprendre à distraire les foules, et les dernières choses que tu amuseras seront les corbeaux qui grignoteront ta dépouille !
Sur ces paroles profondes, l’homme claque la porte… Baldwin sort du couvert salvateur que lui ont offert les arbres centenaires, et va récupérer son sac, tout en marmonnant :
-Je suis sûr qu’un seul corbeau de ce monde a plus de sens lyrique que toute ta famille réunie, arnaqueur d’ivrogne !
Le petit homme époussette son sac, pousse un soupir, et le remets sur son épaule… Puis il se dirige vers les bois, et s’enfonce dans l’obscurité de la forêt, prêt à passer une nouvelle nuit à la belle étoile…
Cela fait longtemps que le troubadour a quitté les siens, tellement longtemps qu’il a oublié jusqu’à leur nom, et comment revenir…
Il se souvient avoir été un gamin des rues, errant parmi ses pairs, en tentant de les distraire, heureux de trouver un sourire parfois un sourire à son attention, parfois une pièce… Il ne se rappelle pas avoir vécu ailleurs que dans la rue, pas plus qu’avoir jamais connu la tendresse du sourire d’une mère, ou la douce chaleur d’un foyer…
Il se souvient juste de la puanteur abjecte des rues la nuit, du vacarme citadin, des silhouettes qui l’ignoraient et le méprisaient… Il se souvient de la peur, de la faim, et de l’incompréhension qui était la sienne en voyant d’autres enfants de son âge avoir une vie confortable et apprendre des choses….
Il se souvient avoir quitté tout cela, mais il a oublié comment, et ne tient pas à s’en souvenir un jour…
Il a erré sur les routes pendant longtemps, sans attaches, sans repères, survivant de la bonté des autres, et des quelques talents de barde qu’il possédait, comme un parasite, suçant le sang des autres pour survivre.
Plus d’une fois, il a haï celui qui lui avait réservé un tel destin, car même pour un garçon de son jeune âge, il savait que quelqu’un, même s’il ne pouvait pas le nommer, devait s’acharner à son encontre…
Mais tout pécheur à droit à une seconde chance, et tout ceux qui errent dans les ténèbres ont toujours le droit de revenir à la lumière…
Dans une auberge, où il mendiait, il a été reconnu par ces gens… Il se souvient de leurs tenues colorées, de leurs grands sourires qui venaient éclairer sa morne vie de mendiant, et il a su ce qu’il voulait devenir…
Il a suivi leur convoi, de loin, comme un animal apeuré, mais ils l’ont très vite trouvé, et tendu la main…
Troubadours, ménestrels, amuseurs, jongleurs, bouffons, acrobates, musiciens l’ont accueilli comme l’un des leurs, et lui ont redonné goût à cette vie qu’il croyait depuis longtemps sans saveur…
Ils lui ont appris à ne plus avoir honte de lui-même, son regard triste a retrouvé la pétillante lumière malicieuse de l’enfance, puis de l’adolescence, et il s’est trouvé un maître et une vraie famille… Jeroc, maître amuseur, et filou patenté, lui a appris l’art du chant (bien que sa voix ne s’y soit guère prêtée), celui de l’amusement, la subtilité de la répartie, la science de la filouterie, et la pratique de ces arts, ô combien subtil, que sont le mensonge et l’éloquence…
-Nous les ménestrels, avait-il un jour dit, avons la plus ingrate des tâches … Nous divertissons les foules, et elles nous acclament tout le temps où nous faisons montre de nos dons… Mais nous récompensent-ils de la joie que nous leur procurons ? Nous félicitent-ils de leur faire oublier pour un temps, les troubles de leur époque, et de leur procurer un spectacle à nul autre pareil en ce monde ?
Non, quand tombe le rideau, et que grondent les estomacs, nous redevenons à leurs yeux de simples manants, dont le travail n’a rien d’utile, car leur soif a été étanchée.
Ils ne nous chassent pas, évidemment, mais leur cœur n’abrite plus que mépris à notre égard, et ils sont heureux lorsque nous partons, car nous mangeons leur pain, et prenons leur or, sans rien donner de tangible en échange, et ne sommes pas d’une grande aide quand vient l’heure du combat…
Oui, bien ironique est le monde dans lequel nous vivons, où joie et émerveillement ne valent pas plus qu’un quignon de pain et quelques piécettes…
Et pourtant nous continuons, animés par la flamme qui embrase le cœur de Donandar, notre seigneur, car les hommes ont besoin qu’une lueur de joie vienne éclairer leur âme, en ces temps de ténèbres qui s’annoncent… Et qui d’autre que nous est à même de le faire ? Qui peut apporter la joie dans le cœur des hommes sinon nous autres, pauvres hommes…
Ne soyez pas trop prompt à les juger, car leur monde n’est pas le nôtre, et leurs soucis nous paraissent triviaux… Nous nous devons d’aimer la vie, pour eux qui ne peuvent s’en réjouir, ou qui ne le veulent pas…
Baldwin a grandi parmi ces troubadours, heureux de cette existence difficile, mais joyeuse et paisible, s'étant enfin réconcilié avec les forces divines, et avec lui même…
Puis un jour, il a senti qu’il devait suivre sa propre voie, et il les a quitté, pour parcourir le monde et découvrir les hommes…
Il a erré longtemps, a contemplé des facettes de l’humanité qu’il aurait préféré ignorer… Il a vu des hommes mourir, et d’autres vivre et naître… Mais jamais il ne s’est départi des enseignements de son maître, ainsi que de son indéfectible optimisme…
Cela s’est passé, il y a prés d’une année… Il parcourait les routes, marchant de village en village, distrayant les foules, et amusant les hommes par son humour, son talent de conteur ou ses dons de passe passe…
Et un jour, le monde l’a rattrapé, et a piétiné ses convictions, à grand coup de bottes cloutées…
Il a vu les envahisseurs démoniaques, les Lunar, arriver dans un petit village, dont il a oublié le nom, mais que par chance, il avait quitté quelques heures plus tôt…
Il les a vu piller les maigres richesses, brûler les chaumières, massacrer les soldats, et exécuter les innocents…
Et il s’est rappelé ses origines, et a été envahi par une horreur sans nom, ainsi que par un sentiment d’inutilité et de faiblesse…
Mais il n’en a pas pour autant décidé d’abandonner.
Il se doit de continuer à porter le message, et de prouver au monde qu’il n’est pas sans valeur…
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Fenris de Fariola, Initiée barbare d'Humakt
PJ = Fenris
Fenris est une jeune femme dont la jeunesse a été des plus dur. Issue d'une famille riche, ses parents se sont fait assassinés sous ses yeux lorsqu'elle n'avait que 14 ans, alors qu'ils étaient arrêtés aux bord de l'eau. Fenris a été emmené avec le groupe de mercenaire afin de devenir la maîtresse du chef de clan et après maintes tentatives de fuite, elle n'eut d'autre choix que de se résigner. Pendant 5 ans, elle profita de son lien avec le chef de clan afin de demander aux autres membres du groupe de lui apprendre certaines technique de combat. Elle n'avait qu'un rêve en tête....Venger la mort de ses parents.
Un jour ou elle croisa un groupe de voleur, elle sympathisa avec un jeune homme qui lui appris appartenir au Temple de Humakt. Ce dernier s'était infiltré dans le groupe de voleur afin de découvrir leur chef accusé de meurtre. Lorsque Fenris lui raconta son histoire, il fut émut et lui proposa de rentrer sous les ordres d'Humakt, dieu de la Mort. Fenris accepta et due passer une épreuve afin de prouver son courage.
Le soir même, elle mit du poison dans la nourriture des membres de son clan et elle parti rejoindre son 'maître' dans sa tente afin de se lancer dans une nuit tumultueuse comme il les aimait tant. Alors que celui-ci était sans défense, elle prit une de ses broches à cheveux et la lui planta dans le coeur.
A daté de ce jour, elle rentra dans le temple et son mentor lui enseigna les divers ficelles du métier.
Aujourd'hui elle est âgée de 25 ans, elle a reçu l'ordre de ramener un assassin assez jeune qui a quitté sa tribu....
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Valerius Ternak, Guerrisseur Civilisé
Valerius Ternak, Guerrisseur Civilisé
PJ = Valerius
Valérius est né au Dôme du Soleil dans le royaume de TARSH, il y a 41 ans maintenant.
Issu de l'amour de Marvial de son père, guérisseur lunars qui, de passage dans le Dôme du Soleil, s'est amouraché de Monnéa, Initié au service de Dendara la bonne déesse guérriseuse, qui devint plus tard sa femme et la mère de Valerius
Vivant non loin du 'pic' des Teauraux Tempête, Valerius a passé son enfance bercé par les rumeurs de toute région. Une attaque d'un monstre chaotique par ci, un dragon par là. Le spectacle des exécutions de rebelles. Enfin bref, le tumulte d'une grande ville.
Il est ensuite entrée dans l'école des guérisseurs mais en suivant le Panthéon adoré part sa mère au lieu de celui de son père. Il resta alors au Dôme du Soleil jusqu'à) l'âge de son Initiation à 25ans et partis alors dans l'Empire Lunars du fait que son Père venait d'être rappeler à Bout Du Monde. C'est là qu'il acquis un peu d'expérience et qu'il connu ses premières sorties avec des soldats lunars. Valerius vécu une petite tranquille et ordinaire jusqu'à l'âge de 39 ans. L'âge fatidique ou il eu un hic. Un énorme hic même.
A 39 ans Valérius se retrouva en contact pendant 2 semaines avec un professeur qu'il croisa à la bibliothèque. Un érudit lunars qui, bien que très patriote, commença a lui parler de certain fait troublant qu'il avait remarqué dans son périple et qui tendait à prouver une certaine tendance des Lunars à utiliser des créatures peut recommandable, pour ne pas dire chaotique. Evidement, Valérius, comme tout habitant de la région avait croisé une ou deux fois ces immenses créatures des Enfers appelées, "Chauves Souris Pourpre", et il n'était pas rare d'entendre des ragots sur le fait que les Lunars soient responsables des mfaits commis par l'un ou l'autre créature chaotique sévissant dans les environs. Il n'était pas rare non plus de voir les lunars profiter de magie Chaotique afin d'accroitre leur puissance, et de paraitre Démoniaque aux yeux des barbares....
Mais cet Erudit prétendait que les forces Lunars semblaient mélées à détranges affaires qui lorsqu'on entre croisait les faits, les associait directement avec des créatures des Enfers. Cet homme avait des écrits concernant certaines observation qu'il avait fait et, même si Valerius ne fut pas plus convaincu qu'il n'aurait voulu le paraitre, le doute s'immica dans son esprit.
Celà devint alors un grand sujet d'intérêt pour Valérius.
Malheureusement pour lui, ne sachant pas tenir sa langue, Valérius se mis à en parler autour de lui et étant entouré principalement de Lunar patriote ou de sympathisant appeuré, il ne se fit plus beaucoup d'ami en moins d'un an. Pis, on le regarda comme s'il était atteint de la peste et Valerius sut que seul son titre d'Initié et le status de son Père lui permettait d'avoir encore accés à certaine information
Tout a fini par déraper lors de sa dernière mission pour l'Empire. Téléporté "par erreur" dans une région hostile de Maniria, il s'est retrouvé à aider deux habitants des forets afin de les aider à guerrir une foret contaminé et, surtout, par intérêt pour une jeune fille de 10 ans du nom de Lili d'Artigus qui accompagnait ce duo après que ses parents se soient fait tué. Après mainte péripétie, la mission fut couronnée de succés et la foret guérrit mais Valérius en garda un gout amer dans la gorge...
Et pour cause, Valerius avait découvert qu'en arrêtant l'empoisonnement de la source des rivières, il avait contre-carré du même coup les plans de l'Empire. Non pas un plan qui devait avoir lieu hier , aujourd'hui ou demain, mais un plan qui n'apparaitrait que dans une bonne 20 aine d'année dans le futur! En réalité, il s'était retrouvé face à des Mercenaires touchés par le Chaos qui étaient sur le point de dérober une puissante magie temporelle afin de l'apporter à la Déesse Rouge, sans se soucier des dommages collatéraux que ce vol avait sur les autres époques, et surtout sur la foret et ses habitants. Mais le pire fut sans doute le fait qu'une Prêtresse de Temps lui appris qu'il serait tué dans son futur par des Lunars désireux de le faire taire à jamais....
Tout cela laissa un gout amer dans la gorge...
A la fin de cette aventure, Valerius revint à Bout du monde sous bonne escorte Lunars. Mais il découvrit que pendant qu'il combattait les deux Mercenaires...20 ans s'étaient écoulés! Probablement à cause de l'artefact que les Mercenaire avaient activé afin de le dérober.
Quoi qu'il en soit, Valerius garda le souvenir de son assassinat probable et demanda de regagner la terre de ses Ancêtres. Le Dôme du Soleil. Mais il n'y resta que peu de temps car, à peine arrivé, il eu vent de différentes rumeurs le concernant qui eut le chic de ternir sa réputation. Le prêtre du Dôme lui demanda alors poliement de quitter les lieux afin de ne pas apporter la désolation sur le temple en lui même
Valérius se mit alors à sillonner les routes au service du plus offrant jusqu'à se retrouver à la Citadelle Blanche ou il fut accusé du meurtre de Lili d'Artigus, la jeune fille qu'il avait rencontré quelques mois au paravant alors qu'elle n'était agée que de 10 ans....
