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Le CapitoleTandis que Nadja se nourrit Anna réalise que des corps sensés être morts sont en train de se relever... la vitesse n'est pas leur priorité.
S'étant repue de cette délicieuse proie, Nadja sort de derrière le comptoir où elle s'est nourrie copieusement.
Nadja considère un moment les morts qui se mettent à remuer.
Elle est formidable ! Je n'aurais même pas besoin de le faire moi même. Entrant dans l'ascenseur, elle appuie sur le bouton d'ouverture forcée en attendant qu'Anna la suive -Die Insect-
Anna rejoint Nadja quelques instants avant la fermeture de la porte d'ascenceur. Elle est visiblement agitée.
Nerveusement elle se saisit de son PDA: "ils se relèvent et semblent faire obstruction à l'entrée, je crois qu'ils nettoient..." Après quoi elle le range et se resaisit de son arme.
L'ascenceur commence donc à descendre, puis se stoppe, il n'a parcouru qu'un mètre ou deux. Il ne resterait qu'une petite ouverture de quarante ou cinquante centimètres, de quoi se faufiler en somme...
Les portes étant fermées et la cage d'ascenceur insonorisée, il est impossible de savoir ce qui se passe en dehors.
Anna fait semblant de soupirer. Décidement, les tiques humains restent et ont la vie dure. Glissant son arme dans son holster, elle commence à examiner la cage d'ascenseur, cherchant une eventuelle trappe au plafond, ou d'autres trucs.
Si elle ne trouve rien, elle cherche à ouvrir manuellement la porte de l'ascenseur, pour savoir un peu ce qui se passe dehors. ~ I am the Instrument of my Will. ~
Une trappe est effectivement visible au plafond, quant à la porte de l'ascenceur elle semble difficile à ouvrir. La descente préalablement entamée y est pour quelque chose.
La trappe s'ouvre sans difficulté, L'attention d'Anna est attirée, par le noir à une dizaine de mètres au dessus d'elle. Le souffle du vent est audible, seul bruit au sein de cette obscurité.
Anna, investit de nouveaux de son comportement de femme d'action se hisse par la trappe. De là, elle détaille son environnement immédiat en tentant de percer l'obscurité autant via la vue que via l'ouie.
'Peut-être que je peux trouver une autre sortie... ou ouvrir la porte.' Joignant le geste à la parole, elle cherche à ouvrir la porte de l'ascenseur, maintenant qu'elle est remonté, un meilleur positionnement lui permettra peut-être d'y arriver. ~ I am the Instrument of my Will. ~
Au milieu de la fantasmagorie familière, l'esprit de Camille discerne de mieux en mieux les choses grises qui se traînent vers les portes de métal. Des fils semblent maintenant émaner d'eux, comme s'il s'agissait de pantins désarticulés.
Heuuuu... Zombies on dirait. Des mecs morts mais qui bougent encore, avec des fils qui leurs sortent des oreilles. Une douzaine. Ca te va ? De sa voix d'enfant exude une peur naissante, bien que cachée sous un masque maladroit de désinvolture. L'odeur étrange qui émane du lieu captive ses sens. Un peu comme une signature... Musquée, attirante, mais avec une composante effrayante de danger immédiat et de charogne. De quoi faire clignoter tout les voyants de son tableau de bord, surtout celui le gros qui dit "BARRE TOI !!" Mais il y a Sarah. Et merde. Bon. Emmène moi à l'ascenseur, faut pas traîner ici. Et il lui demandait : « Quel est ton nom ? » L'homme lui répond : « Je m'appelle Légion, car nous sommes beaucoup. »
Evangile de saint Marc, chapitres 3,13-5,43.
Tandis qu'elle ouvre la porte, la jeune femme d'une trentaine d'années tombe nez à nez avec un jeune garçon. Une dizaine d'années tout au plus.
Tandis qu'elle maintient la porte de l'ascenceur ouverte, une autre personne se fait entendre dans la cage en dessous. Les deux individus de part et d'autre de l'ascenceur reconnaissent en celui qui leur fait face une nature vampirique... L'heure est aux présentations... ou pas !
Alors qu'elle maintient la porte ouverte, elle aperçoit le jeune garçon. Pendant un court instant, la surprise se peint dans ses yeux marron. Sa bouche se plie dans un rictus d'étonnement. Mais bien vite, ses réflexes prennent le dessus.
Elle plaque rapidement son épaule contre l'une des portes de l'ascenseur, et bloque l'autre porte avec son pied - après avoir tapé deux fois du talon sur l'ascenseur. Malgré sa taille moyenne, elle semble doté de suffisamment de force pour exécuter ce manège. D'un geste rapide, presque indiscernable, elle dégaine de son holster - caché sous sa chemise sombre - un pistolet, qu'elle pointe vers le garçonnet. D'un hochement de menton, qui provoque un balancement de ses cheveux mi-longs et fait naître quelques reflets châtain clair, elle interroge l'autre vampire. Son apparence décontractée - jean, basket, débardeur, chemise - est en totale contradiction avec l'air impérieux, concentré, professionnel, de ses yeux. Son doigt, lové contre la détente, ne tremble pas. Elle est visiblement prête à faire feu au moindre signe hostile. ~ I am the Instrument of my Will. ~
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