[Les Egouts]Nouvelle nuit vendredi 06 septembre (Erenten)

[lydia]

Ilyana s'éveille de sa journée de repos. Jonathan est à sa disposition. La nuit précédente a été chaude en émotions. Ils ont frolés la catastrophe avec cette magie... Elle doit une fière chandelle à Carter sur ce coup là.

[Erenten]

Iliana convoque Jonathan pour avoir son rapport:

Alors Jonathan des nouvelles sur l'enfoiré que je t'ai demandé de pister?

Jonathan tous souriant:

J'ai réussi a me faire connaître, je suis en contacte avec son équipe. Je leur ai fait un teste sur un échantillon de drogue. En fait ils m'ont mis à l'épreuve.

Iliana retrouve son sourire:

Très bien mon aimé!
Tu vas t'infiltrer et me rapporter le plus d'info que tu trouveras sur lui. Je vais lui pourrir sa non-vie et si je peu lui planter un pieux dans le corps je n'hésiterai pas.

Se rappelant son contact avec l'homme la nuit derniére elle demande à Jonathan:

Connais-tu un produit chimique capable de faire rappeler à quelqu'un une chose qu'il n'arrive pas à se souvenir avec précision?

[Erenten]

Jonathan réfléchit:

Y a bien l'idée de l'utilisation des barbituriques comme l'amobarbital qui peu servir dans certains cas à réveiller des souvenirs enfouis mais bon je ne garantis rien.

[lydia]

Jonathan ponctue sa remarque sur les barbituriques par une note sombre :

Mais si la dose est trop forte, il risque de perdredéfinitivement le sens commun. La folie le guette et il risquerais de ne plus se souvenir du tout.

[Blue Moon]

[reprise RP quand tu veux Erenten]


Durant leurs diverses réflexions et anticipations quant à la manière dont il fallait capturer cet individu apparemment tellement entouré, Illyana et son précieux et unique véritable complice arpentaient de quelques pas nonchalants l'égout principal de la ville, croisant parfois le regard de Nosferatus curieux et préoccupés ou désireux subitement de masquer leur hideuse apparence et tantôt il y avait un rat fuyant poussant de petits cri stridents, tantôt on remarquait que certains passages avait été bouchés récemment.

Arrivé non loin un croisement apparemment tranquille, l'un des lieux où les eaux nauséabondes et polluées de la citée humaine et surpeuplée se rejoignaient, Jonathan qui somme toute se confortait fièrement dans cette entreprise non dénuée d'amoureux intérêts et de confiante responsabilité, s'exclama clairement et posément :

Que faisons-nous ? Dois-je vraiment vous laisser et retourner seul la-bas ? Cet égout là nous éloigne de la cité pour s'en aller vers les faubourgs... nous n'y somme pas en territoire conquis et celui-ci et celui là nous fait regagner la surface progressivement d'où nous pouvons prendre un métro si nous le voulons, mais bien-sûr tout ceci vous le savez.

Il serait peut-être cependant plus prudent de ne pas attirer l'attention sur nous des autres clans et entités, nous avons un avantage et notre plan est parfait, n'est-ce pas très chère ? Le prince sera surpris et redevable de notre ingéniosité... lorsqu'il verra que c'est NOUS qui le lui avons ramené.

Sur cette interrogative affirmation, Jonathan ria d'une manière qui te surpris peut-être étrangement. Il était anxieux et usait visiblement de tous les moyens en sa possession pour te convaincre de l'accompagner. Quoi qu'il en soit sa voix résonna dans l'égout au devant, sombre, sale et gluant, mais quoi pour toi de plus rassurant ?