Rencontre au cimetière (Alex)

[lydia]

[ hrp : t'inquiète je gère.... je vais tout de même pas vous forcer à vous dire ce qu'il faut lol..; enfin si quand vous aurez pris quelques coups sur la tronche vous le ferez peut-être ]

[Alex]

HRP: Certes, j'avoue que c'est une des raisons pour laquelle Vampire n'a jamais été un de mes univers favoris, et que je n'ai jamais compris non plus l'interet des autres joueurs. C'est comme si tout le monde avait envie de se rassembler pour faire un jeu de role...ou chacun joue en solo!. :-k


Voyant que l'individu n'est pas là, elle met l'argent dans une envellope et le dépose dans la boite au lettre de l'agence.

Après quoi elle rentre chez elle pour aller surfer sur le net. Son intention est de rechercher avant le lever du soleil, soit des articles de journaux de fait divers se passant dans la région est relevant du domaine de l'étrange (que l'on pourrait lier à la "contremagie" existante), ou encore des informations sur les tatouages et les magies tribales.

[lydia]

hrp : l'enveloppe est déposée dans la boîte aux lettres. Tu fait tes recherches diverses je te mp les résultats assez vite.

[Alex]

Le petit matin se lève...

La vie reprend son petit bonhomme de chemin dans la mère russie tandis que Carter dort profondément dans les caves aménagées des quartiers Trèmères. Bien que son corps est inactif, ses neurones eux, travaillent. Dernier vestige de sa vie humaine qui donna suite aux diverses expressions faisant référence aux "grandes idées arrivant au reveil".

Et Carter ne faisait pas exception à la regle.

Sa nuit avait beau etre tourmentée de cauchemard ou elle se voyait avec son cher et tendre, celui qui lui avait fait découvrir une nouvelle vie, loin de ses parents et loin de ce monde aristocrate et superficiel qu'elle ne pouvait supporter. Celui qui l'avait tant chéri et qui avait été là quand elle avait été au plus bas, et celui qui n'était plus là désormait, enlevé par un vampire d'un de ces clans dont elle faisait désormait parti. La mémoire de cet amour disparu la hantait sans cesse et, même s'il avait appartenu à ceux qu'elle connaissait désormait sous le nom de "Sabbat", il n'en est pas moins vrai qu' en sa compagnie, elle avait été une reine au pays des Ombres

Mais parmis toute ses pensées, l'un d'elle arriva tel un éclair tombé du ciel...




Comment cet élément de lui avait pas sauté aux yeux directement ??

Elle redressa le buste à 90° et resta dans son cerceuille, pensive et analytique



* réfléchit Carter Reflechit !….

Tu as découvert la nuit d’avant différents articles faisant référence à des manifestations magiques dans la ville et, curieusement, plus aucun article n’était plus sorti depuis l’arrivée de la caste vampirique dans cette même ville

Mais pourquoi ?!

C’est certes « la » question importante sur laquelle planchent tous les vampires de la ville. Mais se sont ils intéressés à l’origine médiatique du problème ? Savaient ils pourquoi les parutions sur ce sujet avaient cessés et ou les journalistes avaient trouvé leur info ?

J’ai des doutes là dessus et cela ouvre des possibilités assez troublante en soi car si les médias taisent volontairement le problème depuis l’arrivée des vampires, cela veut peut-être dire que les maisons d’édition elles même désiraient ne plus aborder le sujet pour une raison particulière malgré la liberté de la presse. Et dans un système communiste, tout le monde sait que la presse et le gouvernement sont étroitement lié.

Ce qui veut dire que des membres du gouvernement sont peut être au courant !!!!


Après tout, quand nous avons poursuivit les membres du sabbat il y a quelques mois, des militaires étaient impliquées dans le problème et sûrement des scientifiques vu qu’il était question d’une chocolaterie servant d’écran de fumé à une contamination chimique à petite échelle. Hors l’armée et le gouvernement sont tout autant lié que la presse et le gouvernement ! *


Carter sorti d’un bon et se dirigea au pas de course vers son ordinateur, consciente d’être en « petite tenue ». Elle réouvrit tous les articles de journaux découvert la veille au soir et se pris à étudier tous les noms signé au bas des articles. Avec un peu de chance, le fait de mentionner des faits paranormaux serait considéré comme « farfelu » et du coup, le nombre de journalistes osant s’intéresser auw problèmes se compteraient sur les doigts d’une main !


En possession de ces noms et des Journaux de parution, Carter composa le premier numéro pour parler au dit journaliste…