[TRAINING] - ERIELA

[Eriela Viymyfae]

Eriela dans sa progression, dans le domaine de la connaissance des plantes, découvrit un gros paquet de noix comestibles, qu’elle entreprit de recueillir. Malheureusement constat fait, elle manquait de place dans son sac à dos et ne put prendre l’équivalent que de cinq sacs de noix et laissa donc l’équivalent d’un sac de noix par terre. Se disant qu’elles ne seraient pas perdues et que des écureuils ou autres animaux du même type se chargeraient de les consommer.
En ce qui concernait les noix, elle se dit que le mieux serait de les vende le lendemain à Pont-de-pierre sur la place du marché. Elle en retirerait surement un bon prix.

Après cet intermède et une langue marche, elle arriva à la ferme en ruine pour passer la nuit. Après quelques recherches elle parvint à trouver un lieu qui correspondait à ce qu’elle cherchait en matière de protection. Cependant l’odeur fruitée qu’elle avait sentit et le fait que cela la fit tousser retint son attention.

*Qu’est ce que cela peut être ? En plus cela impacte ma respiration au point de me faire tousser, je dois donc déterminer de quoi il s'agit avant ne serait ce qu'envisager d'y passer la nuit.*

Levant haut sa lanterne, elle tenta de déceler ce qui provoquait cette odeur et la réaction sur sa respiration. Elle fit en sorte de respirer avec précaution, mettant le devant de sa chemise sur son nez et sa bouche pour faire un filtre, tant qu’elle n’aurait pas compris de quoi il en retournait.

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Bon voici les différents jets :
Vigilance : Enregistrement N° : 76586
Autre jets de 25d6 pour le cas où : Enregistrement N° : 76587
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[Astro Buck]

Eriela inspecte minutieusement l'espace entre les quatre murs de bois. Le plancher poussiéreux est parsemé de brins de paille sèche. Fermés chacun par un petit portillon dont le loquet est rouillé, les compartiments qui servaient à séparer les porcs sont composés de quelques planches grossièrement clouées, s'élevant à mi-hauteur. Ils comportent chacun une auge en pierre et sont longés par une rigole dont le fond est couvert de tuiles incurvées, qui devait servir d'abreuvoir commun. Les auges ainsi que la rigole sont totalement vides.

Toute citadine que soit Eriela, elle sait bien que la forte odeur fruitée qui imprègne les lieux n'est pas celle qui règne d'ordinaire dans les porcheries... Les seuls indices que trouve la jeune femme pour expliquer ce phénomène sont des noyaux et des pépins parfaitement secs qui jonchent le sol. Cela ne prouve rien, mais permet de former des conjectures. Par exemple, cela aurait pu être le fait d'un animal fructivore, mais Eriela ne voit pas de déjections, ni de galerie, or avant qu'elle n'entre, la porte était fermée de telle sorte que seule une créature humanoïde aurait pu l'ouvrir. L'hypothèse la plus vraisemblable est sans doute que la porcherie ait été convertie en grenier et qu'elle ait servi occasionnellement à entreposer des réserves de fruits.

[Eriela Viymyfae]

Eriela inspecta minutieusement la pièce et ne constata rien de particulier, si ce n’était la présence de noyaux et de pépins de fruits au sol.

Elle tenta de déterminer de quels types de fruits il s’agissaient

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Jet de connaissance des plantes : Enregistrement N° : 76588
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*Bon alors réfléchissons à ce qui peut avoir mangé les fruits.
Un animal, non, la porté était fermée. Un animal ne devrait pas réussir ce type de tour.
Quelqu’un surement, mais depuis quelques temps du fait des noyaux et pépins secs. Visiblement pas revenu depuis quelques temps également.*

Le constat n’était pas fameux, trop de zones d’ombres restaient en suspends. Avec l’aide de sa lanterne elle chercha un objet suffisamment lourd pour bloquer la porte de l’intérieur, tel un morceau de bois qu’elle cala sous la porte. Une fois le système en place, elle ramassa des noyaux et des pépins et les mis dans son sac à dos, au moins 3 de chaque.

Elle mit de l’ordre dans un des box, le plus éloigné de la porte, pour établir le lieu ou elle dormirait. Une fois cela établit, elle mangea le rognon, même si cela n’était vraiment pas fameux.

*Mieux vaut dormir le ventre plein, même si c’est dégueulasse, que et dormir le ventre vide. Telle est la devise de Cyc et je le crois sur parole.*

Après une dernière inspection, elle se permit d’écouter le bruit de la forêt et ce qui environnait l’abri, avant de s’endormir, afin de s’assurer que la nuit serait calme Tout au moins l’espérait elle.
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Jet de Vigilance : Enregistrement N° : 76590
Si d’autres jets voici un ensemble de 25d6 pour pas cher : Enregistrement N° : 76591
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[Astro Buck]

Eriela n'est pas certaine de savoir s'il s'agit de pépins de poires, de pommes ou de coings. Quant aux noyaux, elle n'est pas non plus certaine de savoir s'ils proviennent d'abricots ou de prunes. Mais il doit s'agir de l'un ou de l'autre de ces fruits.

Le rognon n'est effectivement pas goûteux, il ne l'était pas lorsqu'il était encore frais, il l'est moins encore après avoir voyagé quelques heures de son sac. Il reste comestible et digeste, mais Eriela a eu raison de le consommer en priorité, car même cuit il aurait rapidement fini par s'avarier dans ces mauvaises conditions de conservation. Si elle en avait pris le temps, elle aurait peut-être trouvé quelques herbes aromatiques pour l'agrémenter. Après avoir goûté à la bonne cuisine de Yaztromo, le contraste est criant, ce dîner paraît d'autant plus fade !

Après avoir pris ses précautions, elle s'allonge sur le vieux plancher vermoulu et finit par s'endormir. Cette fois, rien ne dérange son sommeil, elle traverse la nuit sans incident. Ce sont les rayons obliques du soleil levant qui, passant à travers les planches fendues, sont venus chatouiller ses paupières pour la réveiller.

Il lui reste encore de la route à faire. Mais en marchant d'un bon pas, et à supposer qu'aucun événement fâcheux ne la retarde, elle pourrait arriver à Pont-de-Pierre en fin de journée.

[Eriela Viymyfae]

Eriela ne sut pas vraiment ce qu'étaient les noyaux et pepins. Elle se dit qu'elle avait encore à apprendre pour parvenir au niveaude son maitre, mais il est vrai qu'elle était encore jeune et ne pouvait pas tout savoir, bien qu'elle aurait aimé que ce fut le cas.

Après avoir diné d'un repas sommaire, elle s'en fut dormir du sommeil du juste. Si elle rêva elle ne s'en souvint plus au réveil. C'était d'ailleur les rayons du soleil qui lui firent ouvrir les yeux.
Elle se sentit bien fraiche et dispo et entreprit de commencer la journée par le dernier repas qu'elle avait dans son sac, accompagné d'une bonne rassade d'eau de sa gourde.

Elle s'assura d'avoir tout son équipement avec elle, tel l'épée de Cyc. Celle qu'elle devait donner dans le cadre de l'hommage à chardo, ainsi que le document que Yaztromo lui avait donné, afin de montrer aux autres nains ou se situait la dépouille de leur ami "grosmollets". Assuré que tour était en place, elle se prépara au départ.

Elle quitta l'abri, non sans jeter un regard consciencieux sur ce qui l'environnait.

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jet de vigilance : Enregistrement N° : 76592
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Elle se disait que si elle ne voyait rien d'anormal, alors elle partirait sur le chemin qui conduisait à Pount-de-pierre. En effet, elle avait encore du chemin et arriverait le soir. Autrement elle aviserait

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jet de 25d6 pour le cas où : Enregistrement N° : 76593
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[Astro Buck]

Eriela peut se féliciter d'avoir pensé à remplir sa gourde chez Yaztromo avant de repartir. Elle n'a en effet pas croisé de source d'eau depuis son départ de la tour. Après avoir vérifié son équipement, elle se remet en route en direction du nord. Bien qu'il fasse jour, la luminosité est encore relativement faible : la plaine est assombrie par les ombres que projettent les Collines de la Pierre-de-Lune derrière lesquels le soleil se lève peu à peu. Le sentier qui longe la lisière de la Forêt des Ténèbres n'est pas entretenu et son tracé devient parfois presque invisible.

En milieu de matinée, Eriela atteint une prairie envahie de grandes herbes qui, par endroits, s'élèvent jusqu'à la hauteur de sa taille. Quelque chose masque momentanément le soleil. Levant la tête, elle aperçoit un grand rapace qui vole en direction de l'ouest. A son envergure de près d'un mètre, son bec noir recourbé et son plumage noir de jais, Eriela l'identifie sans difficulté : c'est un Faucon de la Mort. Cela lui rappelle l'histoire que lui a contée Yaztromo au sujet de l'aigle du seigneur Nain d'Eau-de-Boue qui a volé le marteau du roi Gillibran avant de le lâcher dans la Forêt des Ténèbres, surpris par l'attaque d'un Faucon de la Mort. Le rapace disparaît bientôt derrière les hauts arbres.

Quelques minutes plus tard, Eriela entend un appel provenant de la lisère de la forêt :

[VOIX] - Gromollet, Gromollet, où es tu ?

[Eriela Viymyfae]

Eriela partit en direction du nord avec une visibilité faible, malgré que le soleil commença à pointer le bout de son nez. Ceci venant du fait de l’impact des collines de la Pierre-de-lune, dont elles entravaient le chemin du soleil. Cela avait un impact notoire sur la visibilité, sachant que le tracé n’était pas entretenu.

Cela ne l’empêchait pas d’avancer. Cela lui permit d’arriver, vers le milieu de matinée, face à une prairie envahie de grandes herbes, pouvant atteindre la hauteur de sa taille, ce qui ne l’enchantait guère, car cela pouvait receler des pièges.

Ella avança précautionneusement et vérifia que les herbes ne vinrent pas à bouger dans la direction qu’elle prenait et étudia ces dernières sur un angle de 180°. En effet, elle estima qu’un mouvement des herbes pourrait induire une tentative d’approche la concernant, pouvant conduire à une éventuelle attaque.

Elle en était là de ses recherches, lorsque dans le ciel elle aperçu un grand rapace venant de l’est et se dirigeant vers l’ouest. Elle chercha à distinguer ce que cela pourrait être, quand elle comprit que cela ne pouvait être qu’un Faucon de la Mort.

*Serait celui qui a attaqué l’aigle du seigneur nain d’Eau-de-boue ?*

Le voyant partit, elle reprit son avancée, lorsque soudain elle entendit un appel derrière elle, ne la concernant pas directement, mais étant en lien direct avec la quête que lui a confiée Yaztromo.
Elle se souvint du nom de la personne cherchant « grosmollets », son nom était « Luc Staminaskill ». Cela ne faisait aucun doute, il ne pouvait s’agir que de lui.

Elle fit volte face et retourna en direction des cris et estimant être suffisamment proche, elle cria

[ERIELA VIYMYFAE] - Luc Staminaskill, je sais ou est grosmollet et j’ai un message de la part du mage Yaztromo. Je ne représente aucun danger pour vous.

Ses sens restèrent en activité afin de déceler tout danger, elle avait fois en ses capacités.

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jet de vigilance : Enregistrement N° : 76594
pack de 25d6, on ne sait jamais : Enregistrement N° : 76595
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[Astro Buck]

Il est pour le moins étonnant qu'Eriela semble croire qu'il puisse s'agir de Luc Staminaskill. En effet, d'après Yaztromo, c'est Staminaskill qui a dessiné la carte et y a indiqué d'une croix l'emplacement de la tombe de Gromollet. Et bien plus encore : c'est même lui qui a trouvé le corps de Nain et l'a enterré ! Alors pour quelle raison, Staminaskill pourrait-il rechercher Gromollet ? Peut-être Eriela présume-t-elle qu'entretemps Staminaskill serait devenu fou ou amnésique et qu'il aurait oublié ce qui est advenu de Gromollet ?

En s'approchant du lieu d'où provenaient les appels, écartant quelques hautes herbes, elle aperçoit un Nain chauve et trapu, à longue barbe en broussaille. Yaztromo lui a dit que Staminaskill était un humain, ce ne peut donc pas être lui, à moins qu'il ait subi une métamorphose. Assis sur une bûche, le Nain affûte la lame de sa hache de guerre. Il porte une cotte de mailles sur sa tunique, une cape et de grandes bottes marron. A côté de lui sont posés une arbalète et un bouclier en bois cerclé de fer. Le Nain ne semble pas s'inquiéter de la soudaine apparition d'Eriela.

D'une voix tonitruante il s'exclame fièrement :

[NAIN] - Que vous ne représentez aucun danger pour moi, le fer de ma hache suffit à m'en assurer !

Il pointe sa pierre à affûter en un geste accusateur vers la jeune femme et lève un sourcil méfiant en la considérant des pieds à la tête :

[NAIN] - Par contre, que vous ne soyez pas un danger ne me dit pas si vous êtes une amie ou une ennemie !

Mais tout à coup son visage s'éclaire et ses traits se détendent, laissant place à un large sourire :

[NAIN] - Mais vous avez dit que c'est Yaztromo qui vous envoie. Yaztromo est le grand ami des Nains de Pont-de-Pierre. Par conséquent vous ne pouvez être qu'une amie !

Il se lève pour aller à la rencontre d'Eriela et lui tend cordialement sa main.

[NAIN] - Bonjour, chère inconnue. Je m'appelle Grandnez et, comme vous l'aurez sans doute déjà remarqué, je mérite bien mon nom ! Je suis le cousin issu de germain de Gromollet de Pont-de-Pierre qui a, hélas, disparu. Depuis, je le recherche désespérément, parcourant sans trêve la Forêt des Ténèbres et ses environs. Mais on dirait que Sindla ([hrp]déesse de la chance et du destin[/hrp]) me sourit en m'ayant donné l'occasion de faire votre heureuse rencontre, puisque j'ai cru vous entendre dire que vous savez où est Gromollet ?

[Eriela Viymyfae]

Eriela s’approcha au plus prêt et après avoir écarté des longues herbes, elle distingua ce qu’elle croyait être Luc Staminaskill et tomba sur os, euh non un nain. Ce dernier ne ressemblait pas à la description de Luc Staminaskill que lui avait décrit Yaztromo. Par contre le nain paraissait cordiale, tout au moins pas agressif. Il ne pouvait s’agir d’un nain d’Eau-de-boue.

La surprise fut plus grande quand elle entendit les explications du nain et sa filiation avec Grosmollets. Elle resta appuyer sur l’épée enveloppée et regarda le nain se lever et lui tendre la main en se présentant ave un air benêt. En effet, elle venait de constater sa méprise et les risques inconsidérés qu’elle avait pris. Elle se dépêcha de fermer sa bouche, ne voulant pas paraître encore plus idiote avec de la bave lui coulant sur le menton.

Elle lui tendit la main en retour avec fermeté et lui répondit en ces termes

[ERIELA VIYMYFAE] – Bonjour Maitre Grosnez, je suis Eriela une apprentie du mage Yaztromo et également une apprentie du forgeron Cyc par chez nous et plus connu par chez vous par Grosoeilrond.

Elle laissa l’information être digéré par le nain avant de continuer.

[ERIELA VIYMYFAE] – J’ai en effet, une quête que m’a confiée le mage Yaztromo concernant l’endroit ou est enterré Grosmollets.

Eriela défit son paquetage et sortit la carte qu’elle tendit à Grosnez.

[ERIELA VIYMYFAE] – C’est en fait Luc Staminaskill qui a fait la carte et qui enterré sommairement votre parenté. Depuis il est partit à la recherche de l’artefact permettant de protéger Pont-de-pierre.
Pour ma part je dois me rendre prestement à pont de pierre pour assister à l’enterrement de Chardo. Grosoeilrond m’a chargé de cette quête à sa place et j’ai ici un présent que qui servira d’hommage de Grosoeilrond à Chardo son maitre.

Elle avait repris du poil de la bête et restait come toujours aux aguets, bien que parlant avec le nain.

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Jet de vigilance : Enregistrement N° : 76596
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Si le nain était bien celui qu’il prétendait être elle lui poserait plusieurs questions.

[ERIELA VIYMYFAE] – Si vous voulez je peux vous accompagner et vous aider à amener la dépouille de votre parenté à Pont-de-pierre.
Par contre je n’ai plus de vivre, il va falloir que j’aille en récupérer, ainsi que de l’eau.
Souriez vous ou trouver un cours d’eau potable et des victuailles le cas échéant ? Autrement il me faudra partir vers Pont-de-pierre

Elle resta à l’écoute de sa décision pour envisager la suite à entreprendre, notamment utiliser sa compétence connaissance des plantes pour tenter de trouver une plante comestible.

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Jet de connaissance des plantes : Enregistrement N° : 76597
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[Astro Buck]

Le visage de Grandnez se décompose quand Eriela lui apprend ce qu'elle sait au sujet de son cousin issu de germain. Il bafouille sous le coup de sa vive émotion :

[GRANDNEZ] - En... enterré ? Vous voulez dire que... Grom... Gromollet est mort ?

Il plaque ses paumes sur ses yeux et se tait quelques instants, tandis que son corps est secoué de sanglots. Du revers d'une main il essuie ses yeux rougis par les larmes, qui semblent provoquées par un mélange de tristesse et de rage impuissante.

[GRANDNEZ] - Mon cher cousin... Kerillîm [[hrp]la Déesse de la Terre, que les Humains appellent Throff[/hrp]] l'a rappelé auprès d'elle.

Il brandit un poing menaçant et s'écrie :

[GRANDNEZ] - Maudits soient les Nains maléfiques d'Eau-de-Boue ! Tout est de leur faute !

Son visage devient tout à coup rouge comme une pivoine. Il saisit sa hache et, à plusieurs reprises, l'abat puissamment sur le tronc sur lequel il était assis. Il frappe à coups redoublés jusqu'à ce que le bois soit rompu en deux. Puis il s'éponge le front et halète, le temps de prendre sa respiration, avant de revenir vers Eriela.

[GRANDNEZ] - Veuillez me pardonner cet accès de fureur, ô amie de mon ami Yatromo. Il me faudra du temps pour digérer cette affreuse nouvelle. Je vous remercie de votre proposition, mais je ne vais pas transporter le corps de Gromollet. Je dois d'abord poursuivre sa quête. C'est ce qu'il aurait attendu de moi.

Il pose sa hache et sort de sa poche un carré de tissu dans lequel il se mouche bruyamment.

[GRANDNEZ] - Je savais que Gromollet et son équipe avaient été attaqués, car j'ai retrouvé les corps morts de nombreux frères... mais pas celui de Gromollet . Aussi je caressais l'espoir que...

Sa voix s'étrangle, il ne parvient pas à finir sa phrase. Mais il se reprend et poursuit :

[GRANDNEZ] - Je connais ce Staminaskill dont tu me parles. Cet Humain peut se vanter lui aussi d'être l'ami des Pont-de-pierrains. Oui car Stubb Coupe-Hache - un Nain de Pont-de-Pierre - avait disparu pendant des années, si longtemps qu'on le croyait mort. Et puis un jour Staminaskill nous l'a ramené d'on ne sait où. Ce jour-là, Stubb a été notre héros, il est arrivé au moment où le village subissait un raid de Trolls des Collines et, avec ses deux compagnons, nous a débarrassé de ces maudites créatures. Mais il y a quelque qui me hérisse la barbe quand j'y pense, quelque chose de bizarre...

Grandnez s'approche d'Eriela et parle à voix basse comme s'il craignait d'être entendu :

[GRANDNEZ] - Stubb Coupe-Hache était le meilleur ami de mon regretté Gromollet. Sitôt arrivé à Pont-de-Pierre, alors qu'il était éprouvé par un long voyage, apprenant nos malheurs, il n'a pas hésité une seconde : il est reparti avec mon cousin en quête du marteau de Gillibran. Jusque-là, rien de bizarre...

Mais quand je me suis mis sur leur trace quelques jours plus tard, j'ai trouvé une tombe sur le bord du chemin. Sur cette tombe, un nom, écrit de la main de Gromollet - je reconnaîtrais son écriture entre mille ! - le nom : STUBB COUPE-HACHE. Ainsi, Stubb est mort peu après être reparti, tout près de Pont-de-Pierre ! Je ne sais pas ce qui lui est arrivé. Peut-être avait-il été blessé lors de l'échauffourée contre les Trolls et est-il mort des suites de ses blessures ? Mais alors pourquoi n'aurait-il pas pris le temps de se soigner avant de partir ? Il était brave, mais pas stupide ! Il y a là un mystère que je ne m'explique pas. En tout cas, il est mort bien avant que les autres ne se fassent attaquer.

En effet, c'est beaucoup plus loin, dans la Plaine de l'Est, aux abords de la Forêt des Ténèbres, que j'ai trouvé les corps des autres compagnons. Ils n'avaient pas été enterrés et étaient criblés de flèches. Ce sont les Sauvages des Collines qui les ont pris en embuscade, j'en suis certain, puisque j'ai aussi retrouvé le corps de l'un d'entre eux.

J'ai enseveli tous les compagnons de Gromollet. C'est horrible, avec toutes ces tombes, la Plaine de l'Est est devenue un immense cimetière pour les Nains...

[hrp]Il est étonnant qu'Eriela dise qu'elle n'a plus de vivre, alors qu'avec toutes les noix qu'elle a ramassé elle a de quoi faire 5 repas. C'est voulu ?[/hrp]

[Eriela Viymyfae]

Eriela Ecouta le désespoir de Grosnez, après qu’il eu appris la nouvelle de la mort de son cousin germain. Elle compatît avec lui et le laissa évacuer sa colère sur le tronc d’arbre.
Quand il revint, elle lui posa délicatement la main sur l’épaule et lui dit

[ERIELA VIYMYFAE] – Je suis de tout cœur avec vous et compatit à votre douleur. Perdre un membre de sa famille, surtout s’il est très proche doit être quelque chose d’horrible.
Grosoeilrond avait le même regard de désespoir, mêlé de peine, lorsqu’il me confia la quête concernant son maitre de forge Chardo.

Elle écouta la suite des explications concernant aussi bien Luc Staminaskill, que du nain, également décédé, se prénommant STUBB COUPE-HACHE et tenta de trouver une explication quand à la mort de ce dernier.

* Y aurait-il des espions nains qui ont infiltré le groupe de nains et fournis des informations pour tendre une embuscade par les Sauvages des collines, si tant soit peu que ce soit bien eux ?
Au vu de la description de Grosnez, il devait y avoir beaucoup de nains ? Alors comment auraient ils pu succomber aussi nombreux ?*

Elle laissa retomber sa main au bout d’un moment et posa de nouvelles questions, alors qu’elle ne connaissait rien au domaine de la stratégie, ou de la tactique.

[ERIELA VIYMYFAE] –Tu m’as indiqué que beaucoup de nains sont morts. Combien étaient-ils ? Et quel genre d’armée est en capacité de vaincre un aussi grand nombre de personne ?

Après réflexion elle s’était dit ne pas avoir été assez clair, alors elle affina sa question

[ERIELA VIYMYFAE] – Je repose ma question. Peux-tu me dire comment un aussi fort groupe aurait pu tuer seulement un sauvage des collines ?
Le reste de la question risque d’être désagréable, mais il faut aller jusqu’au bout du raisonnement afin de ne pas louper une piste, surtout une fausse.
Si un grand groupe comme tu l’as décrit n’a pu tuer qu’un seul sauvage des collines, alors tu devais les surestimer, ce que je ne pense pas.
Ou alors ils ont été tué par autre chose et on a maquillé leur mort en les criblant de flèches des sauvages des collines en en laissant un sur le lieu du combat pour leur faire porter le chapeau.

Elle précisa un constat qu’elle avait déjà fait

[ERIELA VIYMYFAE] – En ce qui concerne les flèches, est ce que les endroits ou elles étaient fichées saignaient, y avait il des traces de sang coualntes même séchées, ou bien n'y avait il pas de sang du tout ?
Comme vous le voyez mes mains sont couverte se cicatrices et lorsque je me coupe, je saigne. Par contre je coupe la viande sur un animal mort, le sang ne sort pas par la plaie, car il est déjà mort au moment ou j'entaille la viande. Je ne suis pas experte, c'est juste un constat.
Comprenez-vous ou je veux en venir ?

Elle continua sa réflexion

[ERIELA VIYMYFAE] – Il semblerait que vous connaissiez bien les sauvages des collines. Pourriez-vous me dire comment ils agissent aussi bien pour une embuscade, que pour le reste. Je me pose la question, mais c’est purement mercantile. Si j’ai gagné une bataille et qu’il ne reste plus d’ennemi sur le champ de bataille, je m’empresse de récupérer le butin, à savoir l’équipement des ennemis, ainsi que récupérer mes morts et mes flèches. Enfin moi j’agirai de la sorte. Comment agiraient-ils dans pareil cas ?

Elle regardait Grosnez avec intensité pour évaluer ses réactions, tout en faisant fonctionner ses méninges.

[ERIELA VIYMYFAE] – Ne serait il pas plutôt possible que ce soit ceux d’Eau-de-boue qui aient agis de la sorte pour vous emmener vers une fausse piste, leur permettant ainsi d’aller récupérer le marteau pour eux, comme l’aigle n’avait pas pu le rapporter ?

[ERIELA VIYMYFAE] - Par contre qu'en est il des faucons de la mort. Peuvent ils être apprivoisés par les sauvages des collines pour vous épier ? Et dans ce cas prévenir leur troupe pour qu'ils vous tendent un piège ? Si cela peut être le cas, j'en ai vu un partir de l'est et aller vers l'ouest pas plus tard qu'il ya quelques dizaines de minutes.

[ERIELA VIYMYFAE] – Je suis désolé de vous amener à pareil réflexion dans la situation qui est la vôtre, mais si votre quête est si importante, alors vous devez laisser de côté dans votre tête la mort de votre cousin et vous focaliser sur la réussite de la quête, tout en essayant de garder la tête froide. Je reconnais une jeune fille devrait apprendre à se taire, car que connait elle de ces choses me direz vous.

Elle resta en vigilance constante afin d’évaluer les réactions du nain, surtout après l’avoir vu se défouler sur le tronc d’arbre.

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Jet de vigilance : Enregistrement N° : 76609
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Par contre elle savait avoir de la nourriture, à savoir les noix, mais avait peur de tomber sur un paquet qui ne soit pas bon et en payer les conséquences. Par contre sa réserve d’eau n’était plus complète et il faudrait qu’elle y pourvu.

[Astro Buck]

En réponse aux questions d'Eriela, Grandnez secoue la tête énergiquement.

[GRANDNEZ] - Non, non, non ! Je me suis mal fait comprendre. Les compagnons de Gromollet et Stubb ne formaient pas vraiment ce qu'on peut appeler une armée. Ce n'étaient pas non plus des guerriers chevronnés. Il était hors de question de priver Pont-de-Pierre de ses meilleurs soldats, le village en avait trop besoin pour se défendre contre les Trolls. L'équipe de Gromollet et Stubb ne comptait qu'une demi-douzaine de Nains, plus habitués à manier les outils de la mine que les armes.

Quand la jeune femme fait part de ses analyses, le Nain l'écoute attentivement, mais son visage exprime une certaine surprise.

[GRANDEZ] - Vous avez l'air de vous y connaître en batailles et en cadavres... Après tout, c'est préférable : quand on voyage seule comme vous, il vaut mieux être aguerri dans ce domaine. Le comportement des Sauvages de Collines n'est pas toujours très rationnel. Quand ils dépouillent un cadavre, ils ne prennent que ce qui peut leur être immédiatement utile. Si l'ennemi qu'ils ont vaincu transportait un sac rempli de pièces d'or ainsi qu'une gibecière remplie de perdrix, ils prendront les perdrix et laisseront l'or.

Il prend un temps de réflexion en se caressant la barbe.

[GRANDNEZ] – Quant à votre hypothèse qu'il pourrait s'agir d'une mise en scène par les Nains d'Eau-de-Boue... Je ne dis pas que c'est impossible, car dès qu'il s'agit de nous causer du tort, ces misérables sont capables de tout.

Il commence à ramasser ses affaires et à ajuster son équipement, visiblement animé par l'intention de se remettre en route.

[GRANDNEZ] - Je suis d'accord avec vous, amie humaine : je dois me concentrer sur la quête du marteau de Gillibran. Il me faut repartir à sa recherche sur le champ. Je suis enchanté d'avoir croisé votre chemin, car c'est une noble quête que vous accomplissez vous aussi, au nom de Grosoeilrond.

Il s'apprêtait à jeter son sac derrière ses épaules, mais suspend son geste et demande à Eriela :

[GRANDNEZ] - Ne m'avez-vous pas dit tout à l'heure que vous n'avez plus de vivre ? C'est fâcheux ! Je peux partager avec vous quelques rations. J'ai une gourde de bière, ainsi que quelques biscuits secs, un peu durs mais très nourrissants, dont ma grand-mère a le secret. Et aussi un mélange d'herbes à fumer, ça ne nourrit pas mais ça donne du courage.

[Eriela Viymyfae]

Eriela fut surprise de la réaction du nain, elle s’attendait à une réaction vindicative, voire inamicale, du fait qu’elle avait la langue un peu trop pendue, mais cela ne fut pas le cas.

Son attitude se détendit vis-à-vis du nain, restant quand même en vigilance constante pour ce qui les environnait. Pour une fois ses propos ne l’avaient pas entrainé dans une bagarre comme cela était le cas dans son adolescence. Elle constata que les adultes étaient moins susceptibles que les adolescents.

[ERIELA VIYMYFAE] – Je comprends mieux, ils n’étaient pas aguerris. Donc six et un homme des collines à terre, cela pourrait être possible en fait. Mes suppositions n’étaient que des suppositions, rien d’autre. Par contre oui je connais bien les batailles surtout à mains nues et les cadavres que très rarement, le dernier était une bête hérissée qui traine le long du chemin entre la tour de Yaztromo et Calice. Au moins la bête m’a t elle permit de comprendre comment débuter à l’épée.

Elle se rappela tout à coup qu’elle ne l’avait pas nettoyé et que cela présagerait une oxydation de la lame. Elle frappa son poing droit dans sa main gauche tendue et jura.

[ERIELA VIYMYFAE] – Purée, je suis une mauvaise apprentie. Si Grosoeilrond était là il me tirerait les oreilles et me passerait un savon. Je n’ai pas pris soin de ma lame. Je ne l’ai pas nettoyée après m’en être servi.

Elle continua à grommeler un petit moment, puis revint à Grosnez en s’excusant.

[ERIELA VIYMYFAE] – Veuillez me pardonner cet écart, j’en ai juste après moi.

Juste après avoir présenté ses excuses, elle reprit la conversation là ou elle l’avait arrêté.

[ERIELA VIYMYFAE] – Je vous remercie pour votre proposition, mais j’ai quelque noix avec moi, que j’ai ramassé hier, par contre je ne sais pas si je ne vais pas tomber sur celles qui ne sont pas comestibles, car avariées, dans le lot. Garder vos provisions vous en aurez besoins. Le cas échéant si j’ai faim je me rabattrai sur mes noix.

Enfin elle termina ce qu’elle souhaitait dire à Grosnez

[ERIELA VIYMYFAE] – Pensez vous pouvoir m’attendre jusqu’à j’ai remis l’épée et rendu les hommages à Chardo, car je souhaiterai vous accompagner. J’ai quelques dons utiles. Je vous vois seul et je n’aimerai pas qu’il vous arrive la même chose qu’à votre parenté et amis.
A votre avis en courant à partir d’ici combien de temps métrai-je à arriver à Pont-de-pierre ?

Elle semblait sure d’elle-même, un petit bout de femme, bon bien plus grande que le nain, qui souhaitait mettre ses compétences aux services du bien et de ses amis. Comme Grosnez s’était réclamé ami de Yaztromo et de Grandoeilrond, alors Grosnez passait dans la catégorie de ses amis à elle également.

[ERIELA VIYMYFAE] – Sachez que vous êtes mon ami nain, alors n’hésitez pas à me rabrouer si cela est nécessaire, je ne le prendrai pas mal. Si vous estimez que je ne tiens pas compte des réalités et que je ne sois pas assez aguerrie pour ce genre de quête, je le comprendrai et notre amitié ne sera pas entachée. Par contre si tel est le cas, alors je vous demande ne pas prendre de risque inconsidéré. Pont-de-pierre à besoin de vous également vivant de surcroit.

[ERIELA VIYMYFAE] – Je vous propose si cela vous convient de partir en éclaireur en me laissant des indications quand à la direction que vous prendrez et je vous rejoindrai. Ou alors vous partez en éclaireur et revenez d’ici le temps nécessaire pour moi de faire l’aller et le retour et rendre hommage à Chardo. Voilà ma proposition si vous l’acceptez. en attendnant votre décison, je vais en profiter pour nettoyer ma lame.

Ses yeux étaient amicaux, avec une once de douleur chagrin qu'elle partageait avec Cyc et maintenant Grosnez. Sa bouche ferme, son petit nez à l'affut du combat, ses oreilles cachées derrière sa chevelure noir jaie et le reste de son corps dans l'attende la réponse du nain.

N'y tenant plus, elle sortit son épée et osculta la lame et les dégâts que les viscères, les dents de la bête hérisée auraient pu causer à son épée. Puis elle entreprit de la nettoyer, comme le lui avait apprit Cyc.

[Astro Buck]

Grandnez fronce les sourcils quand Eriela lui parle de son épée, mais il sourit en même temps.

[GRANDNEZ] - Vous avez eu tort de ne pas nettoyer cette lame comme il se doit. Mais vous avez le mérite d'avoir pris conscience de votre erreur et de vouloir la corriger. Morri Coeur-d'Argent disait toujours qu'il faut traiter ses armes comme on le ferait avec ses propres enfants : en les entourant des plus grands soins.

Il fixe son sac derrière ses épaules et fait quelques pas en direction du sentier.

[GRANDNEZ] - C'est là que nos routes se séparent, amie humaine. La proposition de vous joindre à ma quête est tout à votre honneur, elle me va droit au cœur, mais je dois la decliner. L'urgence est trop grande, je n'ai pas le luxe d'attendre, ne serait-ce qu'une demi-journée. Aussi, je vous fais mes adieux. Que Kerrilîm veille sur votre chemin !

Ceci étant dit, il fait un geste d'adieu et reprend son chemin, sans se retourner.

[Eriela Viymyfae]

Eriela comprenant que sa demande reçevait un refus catégorique, adressa un signe au nain et lui répondit en ces termes

[ERIELA VIYMYFAE] - Je vous remercie pour le compliement concernant l'arme, mais je me ressens comme une violation flagrante des consignes de mon maitre, au point de ne pas me sentir digne de lui.

[ERIELA VIYMYFAE] - Merci ami nain, que la chance vous sourie et que vos pas vous ammènent à destination. Puissiez vous garder la vie sauve. A notre prochaine rencontre.

Elle le laissa partir et prit elle aussi le chemin vers sa destination, à savoir Pont-de-pierre.
Tout à sa marche, elle réfléchissait à cette rencontre et à ce que cela lui avait permis de percevoir dans la relation aux autres. En effet, bien que les paroles puissent porter en elles l'opprobe, l'animosité, la violence, voire la haine, elles recelaient également en elles un pouvoir de paix, de joie, de sérénité, de guérison, si ce n'est du corps, tout au moins de l'âme.

Elle continuait sans relache à rester vigilante à son environnement et chercha si elle ne trouverait pas des plantes utilisables sur le chemin jusqu'à sa destination finale, à moins quelle ne rencontra des situations l'obligeant à retarder son arrivée.

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jet de vigilance : Enregistrement N° : 76614
jet de connaissance des plantes : Enregistrement N° : 76615
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