SC: LA CONQUÊTE DE L'AIR - Ch 5 : La conquête de l'Aire

[Franco]

[FRANCO] - Ne comptez pas sur moi en tout cas pour la force, j'arrive à peine à me porter!

Arrivé devant la pyramide, il jaugea la hauteur et commenca à gravir les marches. l'exitation de la découverte et la peur de la créature se mélaient en un maelstrom d'émotion

[FRANCO] - Miss, vous ne devriez pas rester en bas. nous venons de voir une de ces créatures non loin et elle pourrait fort bien sentir votre parfum. prenez votre père et grimpons à l'abri

Il monta une a une les marches


[FRANCO] - professeur, hotez moi d'un doute. Les plantes ont besoin d'eau pour vivre non? Alors s'il ne pleut jamais ici et qu'il fait toujours soleil, comment vivent ces plantes d'aprés vous?

[Astro Buck]

Dans l'épaisse jungle environnante, trouver un arbre dont le tronc présente les dimensions adéquates ne pose pas la moindre difficulté.

L'abattage met tout de même un certain temps, faute de matériel adéquat, mais la force herculéenne du Révérend fait des miracles et en moins d'une heure, c'est chose faite.

La créature reptilienne que Franco avait croisé dans les bois réapparait à plusieurs reprises, furtive mais curieuse.

Elle ne manifeste pas le moindre signe d'hostilité. Par moments, elle jette un couinement aigu en étirant le cou vers le ciel.

Le professeur Néfélus s'acharne sur son carnet de croquis pour essayer d'en crayonner la représentation la plus fidèle, qu'il assortit de notes.

[Pr. NEFELUS] - Voici que, par la force des choses, moi qui ne me suis jamais intéressé au vivant, je commence mon initiation à la paléobiologie. Il n'est jamais trop tard pour apprendre, paraît-il...

Enfin, le lourd tronc d'arbre, harnaché au corps de Digby au moyen de sangles, suivant la suggestion d'Adélaïde, est hissé degré après degré jusqu'au sommet de la pyramide. Le vieux professeur chuchote à ses amis d'un air amusé et en même temps, semble-t-il, un brin admiratif :

[Pr. NEFELUS] - Regardez-le ! on dirait le Christ gravissant la pente du Golgotha avec sa croix sur le dos. Je ne sais pas si la foi soulève les montagnes, mais en tout cas elle permet de les escalader !

Après cette épuisante ascension, chacun ayant contribué en proportion de ses forces, nos aventuriers s'effondrent sur le sol, épuisés. Il remettent la suite des opérations à demain... pour autant que le mot "demain" ait encore du sens quand on ne dispose d'aucun moyen pour mesurer le temps qui passe.

Mettant en place un tour de garde, nos quatre naufragés au centre de la Terre puisent des forces nouvelles dans le sommeil et dans les dernières rations de provisions.

Le moment est enfin venu d'utiliser le bélier. L'engin est peu maniable, faute de place suffisante pour prendre son élan. Mais usé par le temps, le mortier qui lie les pierres est friable et à force de coups, le mur commence à s'enfoncer. Les pierres tombent de part et d'autre, et c'est un miracle si personne ne s'en prend une sur le pied. Bientôt une ouverture praticable est enfin ménagée.

Un souffle glacé s'exhale de l'antre de la pyramide. De l'autre côté s'enfonce en ligne droit un long corridor :

[Franco]

L italien restant stoique face à l'entrée. Il était crevé et transpirant. Il avait fini torse nu à cause de la chaleur ambiante mélé à l'effort. A son physique maigrichon, on voyait facilement que la force n'était pas son atout





[FRANCO] - Madré des dios! J'ai bien cru qu'on n'y arriverai jamais à casser cette porte. J'espère qu'on ne vas pas trouver une poigne un peu plus loin qui nous prouvera qu'on s'est fatigué pour rien!

Il profita de l'air frais en écartant les bras tel moise devant la mer

[FRANCO] - Aaaah cet air frais et revigorant vous ne trouvez pas?!...Mais cela n'enleve rien à la bizarrerie du lieu. Qui a bien pu construire une telle construction dans un lieu pareil sans meme avoir d'outils adapté? Et pour qui est ce lieu? Atos? Aprés tout, c'est lui qui est représenté sur la pierre? A moins que ca ne soit son frere? Atol, l'Autrichien?


Quoi qu'il en soit, on sera mieux dedans que dehors alors rentrons Professeur.

Il va remettre sa chemise et sa veste. Se faisant il regarde Adelaide


[FRANCO] - Alors paré pour l'aventure de la découvert et ce voyage vers l'inconnu? Aprés tout, avec un prénom comme le votre, ce devrait etre le cas non?

[Adélaïde NEFELUS]

Adélaïde oublie pour un moment les conditions climatiques difficiles en regardant Franco remettre sa chemise. Bien que peu musclé, elle a admiré l’élégance du torse de l’homme, la finesse du jeu des muscles et l’apparente douceur de la peau…

Se ressaisissant elle répond à Franco :

[ADELAIDE] – Comme Alice, me voici prête à explorer ce pays des merveilles. Il faut y aller ! Mais avant de s’enfoncer prenons quelques précautions. Père, donnez-moi donc le revolver qui est dans votre sac à dos.

Apparemment c’est suffisamment éclairé mais Il nous faut aussi prévoir des torches ou des lampes pour nous éclairer si nous devons nous enfoncer dans cette pyramide.

Révérend, vous qui êtes le plus fort, passez donc devant, je vous suis.

[Rév Everard Digby]

La seule arme dans laquelle le Révérend ait confiance, c'est ses poings.

Néanmoins, il tire le coupe-coupe de sa ceinture pour ouvrir le chemin. Car s'il devait se retrouver nez à nez avec un serpent ou un scorpion, dont ces ruines, soupçonne-t-il doivent grouiller, face à ces maudites bestioles, lutter à mains nues serait pure folie.

Le propos d'Adélaïde ayant attiré son attention sur l'éclairage des lieux, Digby lève les yeux vers le plafond et constate qu'effectivement, une douce lumière irradie d'on ne sait quelle source, puisque nulle ouverture ne laisse entrer le moindre rayon de soleil et qu'on ne voit pas briller la moindre torche ni la moindre ampoule. Ce constat lui fait pousser un juron.

[DIGBY] - Bloody Hell !

La voix tonitruante du Révérend est amplifiée et résonne puissamment dans le couloir, réverbérée par les murs. Le dernier mot qu'il a prononcé rend un écho lugubre qui se répercute longtemps avant de décroître peu à peu :

[ECHO] - HELL ! HELL ! HELL ! HELL ! HELL !

Ce qui n'était qu'un simple juron - *un juron de trop !* - sonne comme une invocation infernale. Surpris, le Révérend rentre sa tête dans ses épaules comme s'il craignait de se prendre le plafond sur la tête. Une lueur de frayeur a traversé ses yeux un instant. C'est en abaissant le volume de sa voix et presque avec un air d'excuse qu'il ajoute :

[DIGBY] - For god sake, par quelle diablerie ces couloirs sont-ils éclairés ?


Haussant les épaules, craignant de passer pour une poule mouillée aux yeux d'Adélaïde, il se met à marcher dans le couloir à grands pas, d'une démarche exagérément désinvolte.

[Pr Hégésippe Néfélus]

La petite voix aigrelette du vieux savant, qui contraste fortement avec celle de Digby, émet un petit ricanement moqueur :

[Pr NEFELUS] - Ah ! cette manie obscurantiste d'attribuer à Dieu ou au diable tout ce qui est inexpliqué... Je vous prouverai bientôt que la cause de cette lumière est très simple à comprendre scientifiquement.

Voyant le Révérend poursuivre son chemin sans lui prêter attention, il ajoute :

[Pr NEFELUS] - Ne marchez pas d'un si bon pas, mon ami ! Cet édifice est fort ancien, une dalle pourrait céder sous votre poids et vous seriez précipité dans des profondeurs insondables.

Peut-être devrions-nous nous encorder comme font les montagnards pour éviter de finir dans une crevasse ?

Se souvenant que tout ce qui pourrait tenir lieu de corde est resté au lieu d'atterrissage du dirigeable, il hausse les épaules à son tour et emboîte le pas du Révérend.

[Pr NEFELUS] - Bah ! Au diable la prudence ! Je n'ai aucune envie de retrouver la moiteur de la jungle, ni la brûlure du soleil. Considérons les choses du bon côté, au moins, en ces lieux, il règne une fraîcheur incomparable.

Il se tourne alors vers sa fille et considère sa tenue dépenaillée.

[Pr NEFELUS] - J'espère que vous n'allez pas attraper un rhu... Ahhh Ahhhhh Ahhhhhh TCHA !!!!

L'éternuement du professeur fait un vacarme assourdissant. Digby se retourne pour lui lancer un regard réprobateur. Nefelus lui rend un regard indigné, du genre "c'est l'hôpital qui se fout de la charité !"

[Astro Buck]

Tandis qu'ils progressent dans le couloir rectiligne, Adélaïde et Franco constatent que les parois sont couvertes de peintures aux couleurs vives, qui évoquent les antiquités égyptiennes. Les deux jeunes gens remarquent qu'une figure zoomorphique est surreprésentée : celle du dieu Horus. En tout cas, si ce n'est pas lui, il lui ressemble fort.

Ce qui les surprend, c'est l'absence de symboles hiéroglyphiques. D'autres caractères ont, de toute évidence, une fonction alphabétique. Des caractères inconnus et qui, très étrangement, paraissent en même temps familiers à Franco et Adélaïde, comme s'ils les avaient déjà contemplés dans quelque rêve immémorial.

Le professeur Néfélus y jette un regard distrait et ricane.

[Pr NEFELUS] - Hihihi ! Quel amateurisme ! Cette reconstitution grandeur nature est aussi peu réaliste que les grossières imitations de nos Expositions Universelles. Du toc ! Tout ça c'est du toc, vous dis-je !

Entre les colonnes murales se dressent des statues, toutes dédiées au dieu ornithomorphe :

Enfin, au terme d'un long cheminement, le couloir débouche dans un grand hall circulaire. Il est jonché de blocs de pierre gigantesques. Le mur est percé de plusieurs portes monumentales encadrées par de colossales statues. Les quatre explorateurs se figent aussitôt, car ils distinguent une silhouette, probablement humaine puisque bipède et revêtue d'amples vêtements, qui sort d'une de ces portes en marchant d'un pas lent.

Pour l'instant, la créature ne montre pas le moindre signe laissant penser qu'elle aurait détecté leur présence.

[Adélaïde NEFELUS]

Adélaïde est restée un moment à observer ces inscriptions. Elle reconnait ces signes, elle a déjà vu cet alphabet.

Mais où ?

Pas en Inde, au temps déjà lointain de son mariage... Mais où ?

Et soudain lui revient l’image d’un monument annulaire, dans un sous-sol ! Bien sûr ! Les mêmes signes étaient gravés sur l’étrange monument se trouvant dans la cave du baron Oppenheim. Une autre preuve qu’il y a une communication entre les univers.


[ADELAIDE] – Père, ce ne sont pas des imitations égyptiennes, c’est une autre civilisation. Et je connais cet alphabet, je l’ai déjà vu sur un très ancien monument dans un sous-sol récemment découvert d’un résidence proche d Paris.


Ils continuent leur marche



[ADELAIDE] – Mais ce qui m’étonne c’est que ce couloir semble beaucoup plus long que ne l’était la pyramide.

Où sommes-nous réellement ?

[Franco]

[FRANCO] – Mierda! Atos est de retour? Ou c'est son frere?!, Sa soeur? Ou sa tante?

Franco sorti son arme discretement et vérifia qu'elle était chargé de ces 6 coups alors qu'il progressait. Il leva la tete tandis qu'il progressait vers l'inconnu et au delà, la crainte au ventre

[FRANCO] – Mefions nous. Si l'entré de cette pyramide était fermée, c'est surement pour empecher quiconque de sortir. Et si quelqu'un était sorti d'ici, la pyramide ne serait pas laissée à l'abandon telle qu'elle l'était à notre arrivé. Et comme le soleil tape sur la tete des habitants du coin, méfions nous doublement.

Il regarda Adelaide des pieds à la tete, et passa sur le reste de l'équipage. Leur état délabré était plus grand chez les un ou chez les autres.


[FRANCO] – Adelaide, vous semblez la plus à meme à entreprendre des pourparler avec des indigènes vu que visuellement, vous etes la plus propre. si cette personne est intelligente, je vous suggère de garder à l'esprit le scénario suivant :

Nous sommes une troupe d'aventurier à votre solde à la recherche de relique du passé

Nous avons été forcé par Aetos, un etre ressemblant aux effigies des statues

Il voulait nous amener vers un nouveau monde

Ce aetos est mort durant le trajet sans que nous puissions lui venir en aide.

Depuis lors, nous sommes bloqués ici

Il regarda les autres


[FRANCO] – va pour tout le monde? Inutile de rentrer plus dans les détails, surtout quil a peut etre des amis ici qui voudront faire des représailles s'ils nous croient coupable! Nous sommes les victimes, ne l'oublions pas.

[Astro Buck]

[CREATURE] - A-E-TOS ?

Il faut croire que la créature a l'ouïe fine, car de toute évidence, elle a entendu Franco qui a prononcé le nom "Aetos" à deux reprises. D'une démarche étrange, un enchaînement de sautillements rapides, elle se rapproche des explorateurs. Elle se débarrasse de sa cape, découvrant son corps, dont la morphologie rappelle en tous points celle du défunt Aetos :

Ce spécimen d'homme-aigle est toutefois différent d'Aetos par plusieurs détails. Aetos ne semblait pas d'une prime jeunesse, mais celui-ci, voûté, appuyé sur un bâton noueux, paraît encore plus vieux. A en juger d'après la toux qui le fait tressaillir, semant au passage quelques plumes, comme un arbre perdant ses feuilles sous une bourrasque automnale, il semble même malade. Ce qui n'est pas étonnant, étant donné l'air vicié et l'humidité ambiante.

Des pièces d'armure évoquant le temps des chevaliers pèsent sur ses vieilles épaules.

Il commence par émettre des sons semblables à des roucoulements. Puis sons articulés, essayant tour à tour plusieurs langages, inintelligibles pour les quatre humains, même si certaines sonorités leur sont parfois familière, évoquant quelque langue nordique.

Enfin, il finit par s'exprimer dans une espèce de sabir à base de langues à racines gréco-latines, que Franco et Adélaïde parviennent à comprendre.

[CREATURE] - Salutations, humains. De quel droit pénétrez-vous dans ce lieu ? Comment le nom d'Aetos vous est-il connu ?

[Franco]

Voyant que Adelaide n'a pas l'air décidé à prendre le controle de la discussion, Franco fait un pas en avant, affichant un grand sourire forcé face à cette créature inhumaine qui retourne tout son etre et ses convictions. Il met son arme dans le dos de son pantalon discretement et continue

*Le reverend doit etre dans tous ses états*

Il leve la main en guise de salut et commence à parler

[FRANCO] - Bonjourno cher...heu...cher ami?...désolé d'etre pénétré dans votre demeure mais on ne se sentait pas à l'abri dans cette foret...Vous nous demandiez pour Aetos? ...Oui, malheureusement, on le connait * - Fait attention à ce que tu dis banane -*...Enfin, quand je dis "malheureusement," c'est surtout pour dire que "c'est parceque on l'a connu qu'on se retrouve ici" --Il mime les guillemets avec ces doigts... C'est un ami à vous? ...Un proche peut etre? Vos plumes sont identiques...Bien que vous mavez l'air plus sympathico! Si si!!...Parceque voyez vous, ce Aetos nous a pris en otage depuis la terre de la surface car il voulait voler une machine qui creuse le sol. Il voulait venir jusqu'ici pour déclencher une guerre et il voulait qu'on soit dans son armée...Voyez vous ca! Nous 4 ahahahah...- Il se tourne vers les autres en leur faisant de grand yeux pour leur dire "mais oui approuvez approuvez". - ...Bref, désormais nous sommes bloqué ici et nous ne savons meme pas ou nous sommes à dire vrai. Peutetre votre grandeur d'ame aurait la bonté de nous expliquer?

[Adélaïde NEFELUS]

Adélaïde a entendu la proposition de Franco.

Se présenter la première, certes, mais est-elle relèvement présentable ? Elle passe un moment à essayer de remettre de l’ordre dans sa coiffure, remettre place se vêtements, refermer son encolure, s’épousseter… Il lui faudrait un miroir.

Et de cet Athos elle n’a guère connu que le cadavre.

Et en quelle langue s’adresser à ces individus ? En plus du français et de l’anglais, qu’un ami britannique l’a aidée a bien maitriser, elle va rappeler ses souvenir de latin et grec anciens du lycée, puis l’arabe et les dialectes indiens dont elle a acquis des bases durant les campagnes menées avec son ex époux.

Ses préparatifs terminés, elle relevé les yeux et s’aperçoit que Franco, impatient, l’a devancé
*Le mufle, il n’a même pas voulu m’attendre.*

S’avancent à cote de Franco elle esquisse une révérence et commence à s’adresser à l’étrange inconnu en latin puis en Grec


[ADELAIDE] – Vénérable ancien, nous vous saluons

[Astro Buck]

Lorsqu'il se tourne vers ses compagnons, Franco ne voit pas le Révérend. En effet, celui-ci s'était glissé derrière un amoncellement de gravats sitôt que la créature était apparue. Il tient sans doute à rester cacher, le temps d'évaluer la situation.

Le professeur Néfélus quant à lui examine avec le plus grand intérêt le vieil homme-oiseau. Il chuchote :

[NEFELUS] – Vous avez remarqué ? A la différence d’Aetos, celui-ci a des ailes. Mais elles semblent dévitalisées, comme des excroissances inutiles. D’ailleurs, ce ne sont peut-être que des ornements artificiels.

En effet, les ailes de la créature pendent et traînent lamentablement sur le sol.

Les précautions d’Adélaïde ne sont pas nécessaires car l’homme-aigle semble comprendre parfaitement les mots que lui a adressés Franco. Il comprend aussi Adélaïde, puisqu’il lui rend son salut.

La créature a de toute évidence de grandes compétences linguistiques, car ayant entendu la manière dont Franco s’est exprimé, il utilise à son tour un dialecte « plus francophone » et parfaitement intelligible pour tous ses auditeurs.

[HOMME-AIGLE] – Je répondrai volontiers à vos questions quand vous aurez éclairci certains points de votre discours globalement assez confus.

Vous dites qu’Aetos vous a pris en otage. Dans ce cas, pourquoi ? Et vous dites aussi qu’il voulait vous avoir dans son armée. Voilà qui est difficile à comprendre. Comment peut-on être en même temps otage et soldat ? Et pourquoi Aetos voulait-il vous engager dans son armée. Quel avantage représentez-vous ? Êtes-vous de grands guerriers ? Ou bien disposez-vous d’une arme secrète ?

[Franco]

L italien regarda les autres en levant les yeux, et en soupirant. Il commencait a en avoir marre de ce volatile parleur

[FRANCO] - Dites l'ami...vous aimez poser des questions semblerait il mais une trop longue existence en solitaire vous a visiblement fait perdre le code de la bonne conduite et de la bonne éducation. Comptez vous vous présenter ou vous avez juste envie de nous bombarder de question toute la journée?...-Il regarda les autres avec un air sceptique, ressentant son arme dans le dos et restant pret à dégainer, puis revins sur l'oiseau - nous concernant, nous vous avons dit tout ce que nous savions. Mais ca m'étonnerait que vous sachiez aussi peu que nous....Alors toute la question étant de savoir qui vous etes et si vous etes un ami, ou un ennemi comme votre ami Aetos.

[Adélaïde NEFELUS]

Adélaïde s’adresse à nouveau à l’étrange personnage
[ADELAIDE] – vénérable ancien, Je suis Adélaïde Nefelus, fille du professeur Nefelus.

Et, très « maitresse de maison », elle présente ceux de ses compagnons qui sont visible.

[ADELAIDE] – Je ne saurais répondre à vos questions concernant Aetos et ses intentions, je n’ai fait que l’entrevoir rapidement.

Mais dites-moi, qui êtes-vous ?
Et qui donc était cet Aetos ?
Et où sommes-nous ?
Et comment se fait-il que vous parliez notre langue ?