TRAINING Bibi / Ludvig

[Alex]

Les prisonniers restent tendus meme aprés le départ de la bete. Ils n'écoutent que d'une oreilles distraite ce qui est dit, la peur de se faire entendre étant visiblement plus forte que tout. Mais les cris dans le lointain les font sursauter et tous se détendent et reprennent un position assise, identique à celle que le duo les avait trouvé en arrivant. Personne ne fait mine de répondre, et ils se remettent à marmonner ou à tenter de dormir, avachit comme des betes au sol.

Une voix perce quand meme le silence. Un individu située dans une des cages à 10m de Ludvig et Double face. On voit qu'il s'agit d'un droide, se tenant dans une position assise

[ROBOT] - Tu es nouvelle ici n'est ce pas?...Oui, tu me demandera comment je le sais? Simple...Les nouveaux ont toujours ces meme questions....Vois par toi meme double visage. Ces etres sont épuisés et vidés de toute energie. Ou trouveraient ils la force de se battre?..Et pourquoi faire? Le Gardien est imbattable. Il a toujours été ainsi, et c'est la destiné de tout ceux qui sont ici...Oui, certains tentent de vivre une vie meilleure, en se créant des amis et un cercle de compagnons, mais au final ce n'est que reculer inéluctable. Tout le monde cherche une sortie, mais il n'y en a pas. C'est bien pourquoi nous sommes tous arrivés ici de la meme manière. Par l'Oeil d' Hadés qui envoie les prisonniers dans la piece à la cellule avant que ceux ci puissent expier leur crime avant de trouver la mort.

Mais vous verrez, vous y ferrez vite à cette vie...

[Double Face]

Double face se tourne vers son ami d'infortune et lui fait un clin d'oeil en pointant le robot du pouce

[DOUBLE FACE] - Alors tu vois? Ils sont tous comme ca. Motivé à rester ici, ou plutot résigné...Mais toi tu prétends que tu es venus de dehors avec une lionne Ailée? J imagine que tu parle de Giralia, la lionne qui nous a attaqué et que j'ai soigné, c'est ca?...Etonnant qu'elle t'ai aidé, mais c'est trés bien. Bon, faudrait qu'on trouve un moyen de regagner la surface au plus vite, et Valérius tant qu'on y es. J'imagine qu'il doit trainer ici lui aussi

Elle se dirige vers la grille qu'elle ouvre. Elle regarde à droite et à gauche, et sort


[DOUBLE FACE] - Bon la compagnie, c'est pas que vous me dérangez mais nous on aimerai bien se tirer d'ici. Alors si vous ne voulez pas vous joindre à nous, A ciao bello!

Tu viens Ludvig? A moins que tu veuilles leur poser une question?

[Ludvig Meynaf]

Ludvig arrête l’effet de son manteau et s’époussette.
Les commentaires des prisonniers ne semblent pas le décourager, et il insiste, autant pour eux que pour l’androïde.
[LUDVIG] – Qu’est-ce que cet œil d’Hadès que vous évoquez ? Et pourquoi êtes-vous là, créature androïde ? Je suppose que le minotaure ne mange pas de métal.

Il précise ensuite pour Double Face et ceux qui ont envie d’écouter
[LUDVIG] – Je comprends mieux pourquoi j’ai eu tant de mal à persuader cette lionne de ma bonne foi. Je ne savais pas que vous l’aviez attaquée. Je suppose que j’ai réussi à la convaincre, en étant parfaitement franc sur mon histoire. Car oui, il s’agit bien de Giralia, et à moins que cet œil soit le sommet de cette tour, il est clair que je ne suis pas arrivé par le même chemin. Si j’avais été assez attentif pour déceler le piège dans les escaliers, je ne me serai pas retrouvé bloqué.
Avant de partir au hasard dans les couloirs, j’aimerais savoir si certains de vous ont exploré une salle pleine d’ordinateurs dans les environs ?
Quant à Valérius, peut être que certains l’ont aperçu.

[HRP : désolée, je viens à peine de rentrer de répétition, il est pratiquement minuit, et je me lève à 5h45... je n'ai pas pu écrire beaucoup]

[Double Face]

[DOUBLE FACE] - oui mais non. On ne l'a pas attaqué. C'est nos doubles qui l'ont attaqué. Et quand on est arrivé, elle nous a attaqué surtout parcequ'à la base, c'était toi qui l'avait pris en traitre grace à ton manteau. Enfin, ton usurpateur d'identité.

Ne me demande pas comment il a fait pour avoir le meme manteau que toi cela dit!


Elle laissa le robot répondre et couru vers l'autre extrémité du couloir ou était parti le minotaure, pour voir s'il était encore là; Entendait elle quelque chose?

[Alex]

Alors que DF s'en va en courant vers le la porte par ou est parti la bete, le robot secoue la tete exaspéré. Les autres prisonniers tournent tous la tete en meme temps en suivant DF dont la motivation semble faire des heureux.

Le Robot se tourne vers Ludvig

[ROBOT] - vous me disiez quoi? Ah oui, des ordinateurs. Non, ici il n'y a rien de tout ca. Je pense que tout le monde a déjà fouiller ce lieu et à part des salles géantes avec de grande statues, et ces enclos avec des cellules, il n'y a rien. Il y a bien la salle ou arrivent les prisonniers et par ou est envoyé la nourriture quotidienne, mais comme vous avez du le voir, il n' y a pas d'ordinateur là.

Il se leve s'étire et sort de la cellule


[ROBOT] - Quant à savoir pourquoi je suis là, hé bien, un peu comme tout ces gens ici présent. J'ai tenté de voler les trésors de la grande cité d'Altantis et je me suis fait avoir. Dans mon monde, on appelle ca la ville au Milles trésors. Elle va et elle vient à travers les époques et souvent, des mercenaires tentent de franchir le portail pour venir acquérir ici les trésors. On dit qu'il y a des reliques magiques d'une puissance capable de créer des galaxies, vous vous imaginez?....Mais quand vous vous faites prendre, on vous envoi ici...Et si ....comment avez vous appelé cette créature??? Un mi-Notor?...Etrange, nous nous l'appelons la Barbakar....Une créature qui apparait dans nos légendes anciennes.... Mais bref, meme s'il n'a pas envie de ne manger le métal, cela ne l’empercherai pas de me déboiter. A dire vrai, c'est rare qu'il mange des gens. La créature est plutot d'une rate sans fin et elle rode dans les couloirs pour étouffer sa colere. Dés qu'elle voit quelqu'un, elle veut le démembrer. Raison pour laquelle tout le monde tente de s' abriter dans ces cellules dont les barreaux sont incassables....Mais ces cellules ne peuvent contenir plus de trois personnes en meme temps. Et comme on est parfois trop nombreux dans les couloirs, certains ne peuvent etre mis à l'abri et finissent en bouillit...Triste non?


En tout cas, non, je n'ai jamais vu de piece d'ordinateur comme je vous ai dit. Mais, les couloirs bougent sans cessent, ce qui empeche toute localisation. On ne peux jamais savoir ou on est et ou on va!

[Ludvig Meynaf]

[LUDVIG] – Je vous remercie Monsieur. Si les couloirs changent sans cesse de place comme vous le dites, cela va être en effet difficile de retrouver le chemin par lequel je suis arrivé.
Mais peut être qu’il y a une certaine récurrence dans les mouvements.
Avez-vous déjà tenté de marquer les intersections ?
Je suis déjà passé par ici, cela veut donc dire que parfois les couloirs reviennent dans leur position initiale. Peut être qu’un mathématicien arriverait à trouver une sorte d’équation, de récurrence…

Il pinça son menton avec un air songeur

[LUDVIG] – HEY Double Face, va pas trop loin, il ne s’agirait pas d’être à nouveau séparés. Si les cloisons coulissent ou quelque chose comme ça, on devrait plutôt rester ensemble.
Monsieur l’Androïde, avez-vous un nom ?
Cela serait plus pratique pour converser. Comme je vous l’ai dit, je suis arrivé ici par les airs. Il y avait une bâtisse construire au sommet d’un pic. C’était une sorte de petit patio abritant un puits d’où émanait une lueur verte et des escaliers, que j’ai fini par emprunter.

Trois cent marches plus bas, je suis arrivé dans une salle immense, éclairée par de la lave, du moins, c’est ce que j’ai pensé vu la lumière et la chaleur.
Dans cette pièce, il y avait de grands écrans d’ordinateur, anciens et cassés pour la plupart. Je suis certain que personne à part moi n’avait foulé le sol de cette salle depuis des décennies.
Après avoir exploré sans rien trouver d’intéressant, j’ai fini par me diriger vers la porte. Il y avait un couloir, qui s’est transformé en passerelle surplombant le vide.
Je suis arrivé à une autre porte, surmontée d’une statue représentant le visage immense d’un diable cornu. Au-delà, la passerelle a continué, et il y avait une petite porte en bois. C’est en la franchissant que je me suis retrouvé dans les couloirs. J’ai marqué mon passage en gravant un signe dans la pierre.

C’est à ce moment que je me suis retrouvé ici, entouré de cellules.
Peut être que ce récit nous permettra d’avoir une idée pour nous en sortir.
L’union fait la force, n’est-ce pas ?

Il fit un clin d’œil, en tachant d’y mettre le maximum de conviction.

[Alex]

Le robot rigole d'un petit rire sourd, métallique suivit d'une quinte de toux. Il semble evident à Ludvig que le Robot imite des réactions humaines.

Il se leve et se tient le bassin comme si'l avait mal au dos

[MARXI] - Je me nomme Marxi...Vous pouvez donc m'appelez comme ca...Mais dites moi, quand vous dites que vous etes déjà passé par ici, vous faites référence à ces cellules? Non parceque si c'est ca, autan vous dire que votre surprise va etre grande quand vous découvrirez que tous les lieux se ressemblent en cet endroits. Des salles comme ici, il doit y en avoir 30. Sachant que nous sommes prés de 300 dans ces couloirs morbides.

Mais votre salle ne me parle pas du tout. Il existe bien une vieille légende parlant d'un lieu donnant sur la sortie et gardée par un Gardien. Mais jusqu'à lors, tout le monde pensait que le gardien était la Bete. Mais peutetre n'est ce pas le cas et qu'il s'agit d'autre chose? Aprés tout, cet endroit lui meme est une sorte de relique de l'ancien temps avant le cataclysme qui a englouti la cité et qui a forcé les habitants à la reconstruire plus haut.

En tout cas, je veux bien vous accompagné, cela me fera du divertissement, mais je crains de ne pas etre d'une grande aide. Cela fait longtemps que mes batteries sont à quasi vide et qu'un mécanicien n'a pas mis les doigts dans mes boulons.


Le robot commence à marcher en direction de Ludvig et il comprend vite ce qu'il veut dire. Le robot boite d'une de ses jambes qui est bloqué à un endroit. Un tel engin demanderait des outils adéquats pour la réparation et il n'y en a pas. Mais à n'en pas douter, il va ralentir la progression dans les couloirs de moitié et il lui est impossible de courir

[Ludvig Meynaf]

Ludvig fronça les sourcils, évaluant les problèmes à venir avec quelqu’un d’aussi lent.
Tout en réfléchissant, il sortit un des diamants qu’il avait récupéré dans la grotte, et essaya de graver un « I » sur le mur à côté de la cellule libre qu’ils venaient de quitter.

Répondant à l’interrogation muette de ses compagnons, il précisa

[LUDVIG] – Je vais essayer de marquer notre passage, et surtout les cellules libres. Si j’ai bien compris, elles sont notre seul salut tant que la bête est vivante.

Ceci fait, il dépassa le robot, et appela dans le couloir

|LUDVIG] – Hey Double Face, tu n’aurais pas des outils sur toi style tournevis et pince ?
Marxi n’arrivera jamais à suivre notre cadence avec une telle claudication, et si l’on veut progresser en échappant au minotaure, il faudrait réparer son articulation.
D'ailleurs, tu n’aurais pas quelques talents dans ce domaine ? ou Valérius ?

Il progresse lentement vers la jeune femme, pour permettre à la créature mécanique de le suivre.

[LUDVIG] - A quel moment avez-vous été séparés exactement ? Les amazones ne vous ont pas amenés ici ensemble ?

[Double Face]

[hrp]Mince mon message de ce we n'est pas passé visiblement [/hrp]

La jeune fille revient, et toise le robot des pieds à la tete avec un air de dégout affirmé

Elle se tourne vers Ludvig, le visage froid et indifférent

[DOUBLE FACE] - Non je n'ai pas de boulot ni de pince adapté. De toute manière je ne serais rien en faire. C'est de la chirugie mon matos sur mes bras. Ce que je sais par contre, c'est qu'il est temps de partir tant que la créature est loin. Mes sens me disent qu'elle a disparu du champs d'action, alors rebroussons chemin pour tenter de retrouver ta sortie, ou Valérius.


Elle regarde le robot avec un air neutre et sans aucune compassion. Il faut croire que sa métamorphose a fait d'elle un etre complétement insensible

[DOUBLE FACE] - Désolé boite de boulon mais j'ai pas du tout envie de servir de béquille si tu vois ce que je veux dire! Dans ton état, à mon avis, t'es mieux de rester enfermé avec tes copains sinon tu vas finir aplati comme un 33 tours!

Elle se dirige vers la sortie opposée en continuant à parler comme si les autres n'étaient pas là



[DOUBLE FACE] - On n'étais pas loin l'un de l'autre quand on s'est fait avoir, si toutefois il s'est fait avoir. Mais la logique voudrait qu'ils l'aient eu d'abord, et moi ensuite car il était parti faire diversion avec Nol. Tu sais, le ranger avec sa belle plaque...Ah non, tu ne peux pas savoir en fait...Bref, s'ils étaient encore opérationnel, ils seraient revenu m'aider car j'étais en retrait occupé à soigner le cheval ailé. Comme ils ne sont pas revenu, j'imagine qu'ils sont soit mort, soit tous les deux ici. Mais quand je suis arrivé dans ma cellule, téléporté depuis l'artefact que cette garce d'amazone a à la ceinture, j'étais seule dans la piece. Autrement dit si les autres sont arrivés là, ils ont du avoir le reflexe de foutre le camps et de se mettre a arpenter ces couloirs comme je l'ai fait moi meme.

[Alex]

Le robot s'arrete et se pose fatigué, contre une des grilles

[MARXI] - Oui, vous avez raison je vais etre un poids mort pour vous. De toute manière, je crains que vous ne sortiez jamais d'ici, alors c'est inutile de vous ralentir plus qu'il est nécessaire pour vous en rendre compte. Nous tournons tous en rond ici et nous n'avons jamais trouvé de sortie.

Maintenant, s'il y en a une, peut etre qu'en restant dans la proximité d'ou elle était vous aurez la chance que les couloirs réouvre le passage vers cette porte? Mais si vous vous enfoncez pour aller chercher une autre personne, vous risque de vous perdre complétement.

[Ludvig Meynaf]

Ludvig fronça les sourcils et sortit une cigarette de sa poche.
Sans l’allumer, il joua avec en la faisant tourner autour de ses doigts, ce geste simple l’aidant à réfléchir.

[LUDVIG] – Oui, je ne voudrais pas avoir sur ma conscience votre démembrement par le minotaure.
Vous dites que vous avez tout exploré, pourtant vous ne semblez pas connaître la salle des ordinateurs. Je ne perds donc pas tout espoirs.
Mais même si ces cloisons bougent, il est clair que nous devons retrouver nos amis, du moins s’ils sont toujours vivants. Et puis, l'un d'eux saura peut être remettre votre rotule en état.

Il se tourna vers Double Face

[LUDVIG] – Il faut que nous ayons une méthode pour arpenter ces couloirs. Tu as utilisé la suie d’une torche pour marquer notre passage, et moi un diamant.
Continuons donc à avancer, en prenant toujours les passages dans le même sens, par exemple vers la droite, et à chaque intersection, nous écrirons un chiffre.
Ici -il désigna la cellule dans laquelle ils avaient trouvé refuge – c’est le « 1 ».
Tâchons d'évoluer en silence pour ne pas attirer l’attention.

La cigarette toujours en main, il fit un geste genre salut militaire en direction du robot
[LUDVIG] – Au plaisir de vous revoir Marxi. J’espère que nous pourrons trouver une sortie et faire en sorte que tous les prisonniers puissent retrouver l’air libre.

Il commença sa lente progression, derrière la jeune femme.

[Alex]

Sous le regard attristé du Robot qui fait un salut de la main, le duo repart en direction du couloir d'ou ils étaient venus. Arrivé au croisement situé 50m plus loin, ils se retrouvent avec une bifurcation à droite et à gauche, en plus de celle au sud d'ou ils proviennent


Droit devant il y a un mur et un renfoncement dans le sol avec de l'eau!

Pourtant à la lueur des torches, on voit clairement la trace de suie au plafond.

Elle continue tout droit, au travers de ce bassin.

[Ludvig Meynaf]

[LUDVIG] – Par la barbe de Jupiter ! Mais quel est donc cet endroit de fou.
On est forcement arrivé de là, en face !

Il s’approcha du bassin, sur ses gardes, s’attendant à moitié de voir surgir un monstre de l’eau.
Une corde semblait être accrochée à gauche du passage, il s’accroupit pour mieux voir, et évaluer la profondeur de l’eau.Son regard alla plusieurs fois du plafond à la surface de l'eau.

[LUDVIG] – Tu n’aurais pas une torche miss ? tu crois que ce tunnel qui s’enfonce sous l’eau nous amènerait de l’autre côté ? Parce que je suis certain qu’on vient de là !

Toujours accroupi, il essaya de tracer consciencieusement une marque « II » sur le mur de droite au ras du sol.

[LUDVIG] – Je n’ai plus vraiment d’idée. Si on crie pour essayer de retrouver les autres, on risque d’attirer le minotaure, ou pire…
Tu te sentirais de plonger ?

[Double Face]

[DOUBLE FACE] - HUM...de quelle torche parle tu? Moi j'en ai une sur mon arme


Elle pointe l'extrémité de son baton nunchaku multifonction ou l'on voyait le faisceau de la lampe qui brillait depuis le début. Puis elle se muta dans un silence et commença a analyser les alentours en tournant la tete.

Elle s'arréta sur ludvig occupé à analyser la surface de l'eau



[DOUBLE FACE] - je ne suis pas sur que nager soit une bonne idée. Si l'idée c'est d'empecher les gens de passer, cela veut dire qu'il yaura forcément un fond ou un cul de sac à ce puit. Ainsi on meurt sous l'eau. C'est le principe de cette prison si j'en comprend le sens. Réguler le nombre de ses occupants en les tuant avec la bete ou d'une autre manière

Moi j'ai une autre idée mais je ne sais pas comment on peu la mettre en application.

En fait, si je voulais partir, je dirais qu'il faut rester ici et attendre gentiment que le mur pivote dans le bon sens. Si on voit la bete arriver, on détale.

Mais comme dans l'idée on doit aller trouver valérius et Nol, on ne peux pas rester ici. Pourtant, on doit forcement revenir par ici.

elle commenca à faire les 100 pas, tournant en round sur place, regardant ici et là pour tenter de trouver une idée. Elle s'arréta net



[DOUBLE FACE] - J'ai une idée! En fait, ce qu'on doit faire, c'est pas des marques, mais marques avec des fleches. Des directions. Comme ca on reviendra toujours ici et on finira bien pas découvrir quel mur a bouger. Imaginons qu'on parte par là-[i]Elle montre un autre couloir et fait quelques pas sur 20m-, si on revient mais qu'il y a un cul de sac. Elle mime son retour, et s'arrete devant un mur imaginaire On verra qu'il y a la marque au plafond qui nous dit de continuer tout droit, donc, on sait qu'il faut attendre que le cul de sac s'ouvre. Puis on reprend la route, et on arrive ici -Elle reprend sa marche et s'arrete devant le bassin d'eau. Elle fait un quart de tour vers la droite pour se trouver face à la flaque et pointe le plafond- Une fois ici, on voit avec le plafond que la fleche change de direction. Elle passe au travers du mur. Donc ici aussi on sait qu'on doit attendre que le cul de sac devienne un passage.

Tu me suis Ludvig?

Sinon, on peu tout autant attendre dans les cellules,en espérant que nos amis passent devant un jour! Pour autant qu'il n'y ai pas d'autre cellule bien sur.

[Ludvig Meynaf]

[LUDVIG] – oui, il s’agissait bien de cette lumière, celle de ton arme, je voulais que tu la pointes vers l’eau pour voir un peu mieux.
Mais ce que tu dis est logique. Le passage doit être bouché également en dessous.

[Il fronça les sourcils, en proie à la réflexion.]

[LUDVIG] – Imagine que Valérius et Nol se disent la même chose que nous ?
S’ils nous cherchent aussi, et que ces murs bougent, il suffirait qu’on parte dans un sens opposé pour ne jamais se retrouver.
Le plus sage serait d’attendre, mais s’ils sont eux aussi plus avisés qu’aventureux, ils vont se dire la même chose que nous. Le choix est cornélien.


Il suivit les explications de Double Face en regardant les plafonds, et finit par acquiescer

[LUDVIG] – Je n’ai pas d’autres idées de toute manière, et je n’aime pas l’inaction. Alors, on va tenter ce que tu proposes. On sait que derrière ce mur et cette flaque se trouve la potentielle sortie. Alors, tâchons de marquer au mieux ce passage, mais en indiquant un code pour nos amis au cas où ils passent par ici. Un truc du genre 'Val & Nol, stop'.