SC: LA SOURCE DE LA MORT - CH3: 4IEME JOUR

[Valérius]

D'un air las et lent, la tortue tourne ses yeux vers Alcide et commence à redresser un peu la tete. Mais on voit vite que cela lui demande un effort immense et on aurait presque l'impression d'entendre un asmatique

[TORTUE] - Aaargh....moi...malade...depuis...eau saines...plus couler..... Bassin...sec aussi... avoir besoin...d'eau...pour ...vivre... Peut ...pas...déplacer ..

Aprés une respiration haletante, elle tente de reprendre sa respiration. Alcide trouve une outre dans son sac

[Rosamund]

Rosamund essaie de réfléchir vite mais avec la fatigue et la maladie qui la ronge, ce n'est pas chose aisée.

Elle répond malgré tout à la tortue.

[ROSAMUND]- Nous sommes justement là pour cela. Nous voulons rendre l'eau saine au nouveau. D'ailleurs si vous avez la moindre information qui peut nous aider, nous sommes preneurs. Nous, aussi, sommes contaminés par ce Fléau.

En attendant, voyons si nous pouvons un peu vous aider.

(elle réfléchit un moment)

Je peux en appeler à Guardal. C'est un Dieu Bienfaisant qui pourrait soulager un peu votre douleur à l'aide d'un sort de soin.

Sinon, (elle se tourne vers la guerrière), Cerys, pensez-vous pouvoir utiliser le pouvoir de votre épée pour générer une grande quantité de glace qu'on ferait fondre avec la flamme des torches.

Son regard pivote sur le reste de la pièce.

A moins qu'il ne soit possible de faire arriver de l'eau pure jusqu'ici en utilisant des canalisations ou un autre moyen...

La prêtresse secoue la tête, elle éprouve de plus en plus de difficulté à penser clairement. Aider la tortue lui paraît impératif mais leurs moyens lui semblent insignifiants par rapport à la taille de l'animal.

*Si seulement on pouvait lui donner la taille d'une tortue "normale " ce serait plus facile de la réhydrater. *

[Adela]

Adela n'avait pas quitté son appui contre la colonnade. Laissant Alcide gérer la situation, elle avait écouté avec attention la discution entre le barbare et la tortue...

* Mais comment aider une créature de cette taille ? Nous avons tous une gourde et un peu d'eau mais cela ne ne sera jamais assez... *

Écoutant également les propositions de la prêtresse, Adela en profite pour se déplacer mais lentement en essayant de ne pas se fatiguer plus qu'elle ne l'est déjà.

Descendant les marches mais restant à une certaine distance du bassin, elle commence à en faire le tour pour essayer de trouver d’où est censé venir l'eau

Elle se fige un instant, un air grave sur le visage...

* De l'eau...il n'y avait pas d'eau dans le bassin et les rigoles quand je suis réapparu à l'extérieur de ce lieu... *

[Cerys]

Cerys contempla la tortue géante. Elle espérait qu'elle puisse les aidaient. Mais il fallait d'abord lui venir en aide.

[CERYS]- Oui c'est une bonne idée Dame Rosamund. Je vais esszyer, je ne vous promets rien.

La guerrière dégaina son épée enchantée, et pointa la lame en direction du trou de la rigole de droite. Elle se concentra et tenta de lancer un cône de glace.

[Valérius]

[hrp]Doite, en se positionnant sur la photo je présume?[/hrp]


A l'aide de gourde, l'eau est mise dans la rigole, et on se rend vite compte d'un élément important; L'eau coule de gauche à droite! Inutile de mettre le cone de glace à droite car cela revient à jeter l'eau sans qu'elle passe dans le bassin

Le cone est alors déposé à l'opposé à l'opposé [hrp](je suis bon prince )[/hrp] et le morceau de glace tombe dans la rigole. Mais de là à ce qu'il fonde, c'est n'est pas tout de suite. Le cone étant de la taille d'une main, ce n'est pas non plus un torrent d'eau qui va couler. Mais l'eau des gourdes vidées coule doucement dans la rigole, emportant avec elle la poussière du lieu. Elle tombe dans le bassin en un fin filet et passe sous la tortue sans qu'elle réagisse. La quantité d'eau est en effet trop petite par rapport à la taille de la créature

Mais un léger tressaillement du cou trahit l'intérêt du moment qu' un peu l'eau passe sous elle. Elle en lape un peu avant qu'elle ne se perde en se répandant sur la surface du basin mais elle semble reprendre un peu de couleur.



[TORTUE] - mmm...ce n'est pas aussi bon que l'eau de la Source mais c'est mieux que rien...
Vous voulez sauver l'eau de la Source? Vous n'y arriverez jamais je le crains!...


Certes, vous avez tous de grandes jambes, qui vous ont porté jusqu'ici, mais votre cervelle tiendrait dans une coquille de noix, sans quoi vous ne vous serez pas engagé dans une aventure qui ne peut que vous conduire qu' à la mort. Il y a déjà bien longtemps que j'habite cette caverne, depuis sa construction par le grand Zor, et pourtant, jamais je n'ai réussi à comprendre le sens de ses paroles qui mettent à accéder à la salle de la Source...Et oui, la Source est protégée par un puissant sort qui empeche d'accéder au lieu sacré et il n'existe qu'une chose qui permettrait de lever le sort d'aprés ce que j'en sais

Mais si vous voulez tenter votre chance, voici ce que j'entendis jadis prononcer à ce sujet

« Ne pourra vaincre le pouvoir mortel de la colle que celui qui prononcera son nom, de la meme manière que nait le Cor à partir du Roc"

[/quote]





[TORTUE] - De toute mes années de vie, je n'ai jamais compris cette tirade, alors cela métonnerai que vous y parveniez! Mais au cas ou, suivez le passage dans mon dos, il vous conduira à la Source

Vous feriez mieux de rentrer chez vous tant que vous le pouvez. Moi je vais me reposer un peu, cette discussion m'a épuisée


Elle baisse la tete et recommence a laper un peu le reste d'eau. Nos amis se rendent compte qu'ils n'ont plus aucune goutte d'eau dans leur gourde désormais. La tortue pose sa tete sur le sol et semble s'endormir

Mais soudain, un bruit de flamme retenti. Dans l'arche en forme de porte qui se trouve dans le fond de la salle, une gerbe de feu apparait. Haute de 2m et large de 1, on dirait que l'air prend feu tout à coup. Bien que le bruit est vif, cela ne réveil pas la tortue

On voit alors une forme surgit lentement des flammes. La forme d'un individu au visage assez hideux, vêtus d'une robe pourpre

[Alcide]

Le visage du barbare sourit. Enfin ! Le voilà leur sorcier qui pourrit l’eau des environs.

[ALCIDE] – Le squelette était une ruse.

Le barbare fait une passe d’arme pour s’échauffer avec sa hache. Il jette alors un regard vers Cerys.

[ALCIDE] – On le combat, jolie guerrière ?

Avec un sourire, suivi d’un client d’œil, Alcide commence à se diriger vers le nouvel individu !

[Rosamund]

Rosamund ne peut s'empêcher de lever les yeux au ciel en entendant la dernière remarque d'Alcide.

*Franchement, c'est bien le moment de compter fleurette.*

Toutefois, elle aussi se saisit de son arme. Stärke à la main, elle fait un pas prudent vers le nouveau venu.

Sa mise ne lui dit rien qui vaille.

*Mine de rien, Alcide pourrait bien avoir raison concernant ce type.*

[ROSAMUND]- Qui êtes-vous et que faites-vous là ?

[Castor KUB]

L'homme qui vient de surgir du néant est de haute taille, mais il se tient dans une posture voûtée. La maigreur de ses traits et la peinture blanche et noire qui recouvre sa face lui donnent un air maladif et sinistre. Ses longs cheveux décolorés et sales, qui ressemblent à des queues de rat couleur paille, frémissent, mollement agités par un mystérieux courant d'air. Il porte une longue robe écarlate, coupée sur mesure, qui épouse les lignes de son grand corps maigre et dégingandé. De longues mains osseuses aux ongles sales et trop longs dépassent de ses manches. Elles pendent, inertes, le long de son corps, comme s'il ne savait pas quoi en faire, presque comme si elles n'étaient pas à lui.

Ses yeux, de petits yeux myopes, sont constamment en mouvement. Son regard fuyant est aussi insaisissable qu'un poisson glissant. Ses lèvres, dont les commissures bouillonnent d'un excédent salivaire, frémissent incessamment, comme s'il prononçait de petites phrases inaudibles. Une sorte de malaise presque palpable irradie de tout son être et laisse une impression désagréable quand on le regarde.

Il considère Alcide et Rosamund avec une expression étonnée. Les voyant se diriger tous deux vers lui l'arme au clair, il recule de quelques pas et tend une main en avant, paume ouverte.

[KUB] - Halte ! N'approchez pas !

Sa voix est nasillarde et monte affreusement vers les aigus.

[KUB] - Je n'ai pas l'intention de combattre qui que ce soit, moi ! Alors s'il vous plait, rangez ces objets tranchants, vous pourriez blesser quelqu'un. (Il murmure dans sa barbe.) Ils sont capable de me refiler le tétanos avec leurs tranchoirs en ferraille. (Puis il reprend de manière plus audible.) Ce que je fais ici, ce que je fais ici... ? Est-ce que je vous le demande, moi ? Eh bien, euh, comme vous ! Je suis là, c'est tout. Et alors, c'est un crime ? Vous avez l'intention d'occire toutes les personnes qui ont le malheur de croiser votre route ?

[Alcide]

L’homme en rouge ne lui inspire pas du tout confiance. Le barbare ne baisse pas son arme et reste dans une attitude guerrière.

[ALCIDE] – Vous avez blessé Mère-Forêt !

Un visage à l’image de la mort. Une voix qui vous prend la tête. Une façon de parler pour embobiner. Rien de tout ça ne donne envie au barbare de croire cet homme qui sort de nulle part.

[ALCIDE] – Guérissez l’eau et alors je baisserais mon arme !

Le barbare avance de quelques pas supplémentaires. Pour se trouver devant les femmes qu’il a juré de protéger.


Le barbare était un homme haut et musclé dû à une vie passé dans une forêt sauvage. Ses traits de visage étaient taillés à la serpe de couleur chaboneuse. Ses yeux étaient vifs contrairement à son esprit qui avait des lenteurs. Alcide fonctionnait à l’instinct et sa hache à deux mains arrivaient rapidement dans sa poigne ferme. De longs cheveux bruns et une épaisse barbe le rendait sauvage. Sans compter qu’il était uniquement habillé d’un pagne et d'une sorte de plastron de cuir dont un symbole de tete de cerf est représenté dessus, ainsi que trois point lumineux brillant de rouge. Ce peu de vetement permettait de voir que sa peau, comme son visage, était aussi noir que du charbon noir . On voyait clairement qu'il portait une paire de bottes en peau et un collier faits de dents et os.

EDIT DU MJ: couleur de peau et l'armure de mangog (car il n'est pas habillé que d'un pagne).

[Rosamund]

Rosamund est un peu surprise pour la réponse de cette étrange individu.

Rosamund est une jeune femme de 26 ans. Elle est un peu plus grande que la moyenne de l'époque. Sa silhouette peut induire les gens en erreur car, sous cette ligne agréable à l'oeil, se cache une femme d'une force certaine.

Elle possède aussi une longue chevelure marron glacé qui cascade en boucle jusqu'au bas du dos. Sa peau avait une couleur de bronze, signe qu'elle avait vécu l'essentiel de son existence sous la caresse des rayons du soleil. Mais aujourd'hui, celle-ci est devenue noire comme de l'ébène. Ses lèvres, bien dessinées, possèdent naturellement une couleur rosée. Leur couleur est elle aussi affectée par la maladie. Ses yeux verts-dorés sont sans doute ce qui frappent le plus ses interlocuteurs (surtout maintenant à cause de sa nouvelle couleur de peau). A moins que ce ne soit sa masse, présent de son dieu qui ne la quitte jamais ...

Rosamund porte une longue mante à capuche qui peut tout autant la protéger des intempéries que dissimuler le reste de ses atours. En dessous, elle porte une chemise de maille sur une fine aube, et un pantalon bouffant au genou. Elle a également une étole marquée des symboles de son dieu. Ses bottes, sans aucune coquetterie mais résistantes, lui arrivent sous le genou. Aux bras elle porte aussi deux manchettes de cuir qui recouvrent ses avant-bas. Outre, sa masse et un petit bouclier, elle possède un sac de voyage avec ses effets personnels et les principaux objets utiles à tout voyageur.




*Qui peut-il bien être ? Serait-ce vraiment lui qui est à l'origine de cette catastrophe ?

Guardal, mon Seigneur, Éclaire Ta servante. L'erreur n'est pas possible.*

[Adela]

[ADELA] – N'en faite rien Alcide
lui dit-elle de sa voix particulière en sortant d'entre les colonnade qui la cachait jusque là...

Elle se glisse alors au devant de ses compagnons en tendant son bras pour leur barrer symboliquement le passage...

La jeune fille au pas félin qui vient de s'interposer entre eux est de petite taille, malgré la noirceur de sa peau malade, elle paraît jeune. Ses cheveux noir, ondulé et en bataille sont ramassé dans un chignon. Ses yeux bleu-gris regarde avec insistance le "sorcier".
Instinctivement sa main droite vient caresser un ras de cou à la pierre bleu pale.
Elle porte des bottes en cuir noir sur un jean bleu et une chemise qui à du connaitre des jours meilleurs.

Déshabillant du regard l'homme en tenue pourpre qui vient d’apparaître au travers de la gerbe de feu, Adela sourit...

[ADELA] - Si son apparence fait frémir, il est plus apeuré que nous... Nous ne craignons rien.... N'est-ce pas M. Kub ?

[Castor KUB]

Kub sursaute lorsqu'il voit apparaître la troisième aventurière. Sa surprise s'intensifie encore quand il réalise que cette dernière n'est autre que...

[KUB] Miss Adéla ! C'est... C'est vous ?

Au moment où il prononce ces mots, une sensation étrange s'empare de sa mâchoire.

Il devrait se sentir rassuré de la voir s'interposer entre lui et le couple agressif. Mais il reste sur ses gardes car il n'est pas certain d'être en odeur de sainteté auprès d'Adéla.

*Cette friponne feint de me protéger, mais elle prévoit sûrement de me jouer un mauvais tour.*

Même s'il est dans son intérêt de paraître inoffensif aux yeux des deux forcenés, il est fort vexé de se voir présenter comme un poltron. Aussi, son orgueil lui fait dire :

[KUB] - Peur ? Moi ? Haha. Vous voulez rire ? (Sa voix tremblotante n'a rien de convainquant.) Il me faut plus que des soudards en guenilles pour me faire peur. J'ai regardé au fond des plus ténébreux abysses, j'ai tutoyé la mort et euh... (Il voudrait sortir quelque propos grandiloquent mais ne trouve plus ses mots.) Voilà, voilà. (Il tousse dans son poing.)

Bon, là où cette voleuse de poules hystérique demoiselle très correcte a raison, c'est que je ne vous veux aucun mal. Alors veuillez cessez de m'accuser de tous les crimes de la terre, d'avoir blessé la Mère Michel ou je ne sais qui.

Kub éprouve toujours cette curieuse sensation au niveau de la mâchoire. Il réalise alors que ses lèvres, malgré lui, sont en train d'esquisser... un sourire!

*Quelle horreur ! Mais qu'est-ce qui me prend ?*

Il cache aussitôt sa bouche derrière sa main.

[KUB] - Mais au fait, dites-moi, Miss Adéla, vous avez joué dans un tas de charbon tous les trois ? Votre peau est aussi noire que l'anthracite. Prenez-donc un bon bain dans cette rivière, vous serez plus présentables.

[Alcide]

Le barbare n’y comprend rien. Ce n’est donc pas le sorcier qui empoisonne les eaux. Ce n’est pas une personne dangereuse malgré son apparence et ses mots. C’est… une perte de temps.

[ALCIDE] – Mère-Forêt n’a pas le temps pour cette conversation.

Une pensée émise à voix haute. Le nouveau venu va vite apprendre comment raisonne le barbare. Ce dernier ferme les yeux un instant. Il a besoin de se concentrer. Qu’est-ce qu’il faisait avant que l’homme en rouge arrive ? Oui ! Voilà.

[ALCIDE] – On a encore des galeries à explorer.

Au sud de la salle (D) d’après la mémoire du barbare se trouve une entrée de galeries. Il s’y dirige dans le but de les explorer le premier et de guider son groupe comme il le fait depuis si longtemps maintenant.

[Cerys]

Toujours l'arme dégainé, Cerys ne savait pas quoi faire. Adela avait l'air de connaître cet homme à la mine patibulaire. C'était peut-être un allié ? Mais la guerrière préféra rester prudente.

On pouvait voir que Cerys était une jolie jeune femme d’environ 22 ans. Sa peau était grisâtre voir noire comme l'ébène. Et mesurait environ 1m75-80, avec de longs cheveux roux, et de beaux yeux bleus. Elle était assez musclée pour une femme, même si cela n’était pas forcément très visible à cause de son armure complète de demi plaque

[CERYS]- Que faisons nous de cet individu ? Ce Monsieur Kub à l'air de connaître Adela.

[Adela]

[ADELA] – Alcide, ne vous éloignez pas trop s'il vous plaît...
Laissez à notre nouvel arrivant le temps de s'expliquer sur son apparition impromptue dans ce lieu...
Je suis certaine que ce n'est pas tout à fait par hasard...
…
…
…
Rien n'est un hasard avec lui...Il traine toujours son lot d'ennui dans ses bagages... s'entend t-elle dire dans un souffle...

Adela observe la mine apeuré du majordome...Il ressemble à un lapin dans les phares d'une voiture

* Décidément, il n'a pas changé...l'apparence n'est pas la même mais sa couardise est toujours visible *

[ADELA] - Je serais vous, je surveillerai mes paroles, bien que mes compagnons soient des gens civilisés ils n'en sont pas moins des êtres humains mais l'épuisement lié à notre quête qui refuse de se laisser dompter pourrait avoir raison de notre patience...
Mon ami barbare a le lancer de hache facile. Vous ne voudriez pas finir coupé en deux ? Hum ?

Une violente quinte de toux la prends soudain coupant court à sa prise de parole...Après quelques secondes qui lui paraissent une éternité, celle-ci se calme et Adela reprends difficilement son souffle

Vous dites avoir côtoyé la mort ? Bienvenue dans notre quotidien, lui rétorque t-elle en ouvrant grand les bras Celui de la repousser en tentant de préserver nos forces...mais comme vous pouvez le voir nous arrivons à bout de nos capacités.
Cette couleur de peau lui montre t-elle en faisant tournoyer son majeur ganté de cuir noir autour de son visage légèrement dégradé selon les personnes est le résultat de l'empoisonnement de la source qui coule jusqu'à Tuzac...
Tuzac...Vous savez, le joli port de pêche ou j'ai rencontré M. Gary, sa machine à écrire et vous...

Et de quelle rivière parlez-vous ? Vous voyez bien qu'il n'y a pas d'eau ici ! Vous devriez remettre vos lunettes !