SC: LA SOURCE DE LA MORT - CH3: 3IEME JOUR

[Rosamund]

[ROSAMUND]- Je pense que c'est une bonne idée, Adela. Après tout, nous sommes dans un lieu où a vécu longtemps une puissante prêtresse de Denora, déesse de la Guérison.
Avec un peu de chance, on pourra peut-être trouver des artéfacts utiles pour notre quête.

La jeune femme regarde Alcide bondir en tout sens.

*Drôle d'effet que produit ce plastron. Si seulement, Alcide pouvait exprimer clairement son ressenti, je parviendrais peut-être à comprendre.

Rosamund poursuit.

[ROSAMUND]- Ce serait utile si on en apprenait plus sur ce Mangog. Est-ce possible que lui et son peuple aient reçu de Alinéa ou de ce sorcier dont elle m'a parlé, la responsabilité de protéger la forêt ? Ils auraient pu lui offrir un artéfact pour accomplir sa mission. Cela expliquerait le pouvoir que semble contenir ce plastron.

En attendant que notre "homme des bois" redevienne lui-même, commençons effectivement à fouiller.
Je me demande d'ailleurs à qui appartenait ce corps -(elle indique le squelette d'un mouvement du menton.)-.

Rosamund se demande si elle pourrait déterminer le sexe du squelette.

[Alcide]

Voyant qu’une conversation a lieu non loin de lui, le barbare arrête d’exploiter ses nouvelles forces. Il se calme et revient vers le groupe féminin.

[ALCIDE] – Je comprends pourquoi mon ancien chef était respecté des miens. S’il avait reçu le même cadeau de Mère-Forêt que celui que j’expérimente, je comprends.

Il regarde Rosamund et Adela. Elles parlaient de quelque chose mais il n’a pas entendu. Il hausse les épaules. Elles lui diront bien assez tôt si ça le concernait.

[ALCIDE] – Quand je pense que j’avais pris les yeux du cerf pour le regard d’une créature qui allait m’attaquer dans le noir. C’est rigolo la façon dont la vie agi.

[Cerys]

Cerys regarda un léger sourire, le barbare qui sautait partout tel un cabri. Elle était heureuse de voir qu'il allait bien. Pour ne pas le montrer, la jeune guerrière prit un air renfrognée, et s'exprima d'un ton sec.

[CERYS]- Décidément ce sauvage est toujours aussi fou. Il a vraiment besoin de faire le pitre?

*Au moins il va mieux, c'est déjà ça.*

Puis elle prit un ton calme et s'adressa aux deux femmes.

[CERYS]- Je suis d'accord avec Adela, nous pourrions peut-être trouvé des choses utiles. Je vais fouiller vers la paillasse.

Cerys se dirigea vers le lit de fortune, et commença à remuer la vase. Peut-être découvrira t-elle un objet intéressant ?

[Valérius]

Les quatre guerriers commencent à œuvrer sans relache; Le travail est ardue car la boue recouvre tout sur quasiment 1m de haut et travailler sans pelle est loin d'etre facile. C'est donc à main nue, et à l'aide d'outils de fortune que nos amis se mettent à la tache pendant prés de 1heure, animé par une nouvelle force et une energie propre

Adela est la première a trouver quelque chose. Une piece métallique, coller à plusieurs hautre, ce qui l'incite à creuser encore plus. Mais au final aprés la fin des recherche, elle se rend compte qu'il ne s'agit que d'un amas de couvert en métal rouillés qui étaient regroupé à un endroit, dans une caisse en bois qui s'est retourné et s'est ouverte lors de l'impact sur le sol avant d'etre recouverte de boue.


Cerys elle travaille de son coté, utilisant ce qu'elle peut. Elle est la deuxieme à sentir quelque chose sous la terre durcit, et creuse au mieux de ses capacités. Elle découvre alors tout un mobilier en bois qui s'est fracassé contre la paroie au moment de l'impact avec l'eau, avant d'etre recouverte de boue. Il y a table, chaise et d'autre meuble, tous en bois pourri e à cause du temps Tout cela lui laisse comprendre que ce lieu était une demeure ou l'on résidait au quotidien


Rosamund découvre une masse dur sous sa tige de métal lui permettant de sonder le sol. Elle creuse et fini par découvrir une chose contre une paroie du fond. . Elle ne parvient d'abord pas à comprendre, jusqu'à ce qu'en prenant du recul, elle se rendent compte qu'il s'agit d'une tete de statue encapuchonné. Cela l'incite à continuer sans relâche et au boue d'une heure de travail harassant, elle dégage une masse énorme de boue qui avait recouvert le flanc d'une des parois. En dégoulinant, la boue s'était accroché sur des surfaces qui étaient accolé à la paroi et avait fini par former une sorte de monticule. Une fois dégagé, on voyait une statue sous une toge avec le visage couvert sous une capuche mais dont le sommet et tenue par une couronne de diamant rouge.

Une autre statue plus petite d'un enfant à genous se tient devant la statue encapuchonné et lui présente ses deux mains dans lesquelles elle tient un petit sceptre à l’extrémité verte et mesurant à peine 1m de long.

De plus, à coté se trouve un porte grimoire, et dessus, on voit un ouvrage en page d'or qui repose. La boue la collé contre son support, évitant ainsi qu'il tombe et ne se perdre de toute évidence




Enfin, Alcide fouille de son coté et lui aussi fait une découverte. Il sort un énorme baluchon en toile. Le sac semble abimé par le temps et ne pourrait pas porter grand chose. A l'intérieur, il trouve tout un matériel d'aventurier. Silex, Amadou, couverture, cuillère et bol en bois ainsi que plusieurs petites sculptures en bois faites mains et donnant plus l' impression que quelqu'un a ouvragé pour passer le temps. Mais il trouve également une boite en metal longue de 40cm sur10cm de large et haute de 10. En l'ouvrant il découvre un papyrus encerclé par un anneau, et un fusain d'écriture, le tout encastré dans un support de velours. Pas de doute possible, ces affaires sont ceux aventurier parti en quête!

[Alcide]

[ALCIDE] – J’ai trouvé quelque chose.

Dans ses mains, le barbare découvre les petites sculptures faites en bois. Un passe-temps qu’il a lui-même pratiqué lors de ses nombreuses sorties en forêt. Il regarde avec attention les détails et la façon que l’aventurier a eu de donner des coups de lames pour retirer des copeaux.

[ALCIDE] – Vous avez vu ces petites sculptures ? Elles sont jolies.

Il en montre une à Cerys pour avoir son attention à elle.

[ALCIDE] – Ah. Il y a aussi ça.

On sent que le barbare n’est pas passionné par le papyrus encerclé d’un anneau rangé dans son support en velours avec un fusain d’écriture. Il revient très vite à sa découverte majeure, celle des petites sculptures en bois. Il se demande si Cerys les aime bien.

[Valérius]

Les sculptures que Alcide montre à Cerys sont à peine plus grand qu'une piece debout sur son tranchant. Elles sont en bois brut mais semblent pourtant polie et douce au toucher. IL doit y en avoir une 15 aine en tout, dont une ou la tete de l'animal n'a pas encore été taillée mais dont les deux cornes sur le coté laisse penser à un cerf qui serait en création

[Rosamund]

La prêtresse n'a que peu prêté attention aux propos d'Alcide tant ses propres découvertes l'accaparent.

Elle prend la parole mais ses mots sont moins destinés à ses compagnons qu'à elle-même.

[ROSAMUND]- Cette statue représente mon Dieu, Guardal. Il s'agit d'une forme très ancienne de Sa représentation. On n'en trouve presque plus aucune de ce type dans Ses temples. Ou alors seulement dans de petits sanctuaires isolés.

Vous voyez l'enfant lui tend une sorte de bâton. Il sollicite Sa Divine Bienveillance pour qu'Il le bénisse. Et à côté -elle porte son regard vers le livre)-, ce livre-là porte Sa marque également.
Pourtant, c'est une prêtresse de Dénora qui séjournait ici. Nos Dieux sont proches mais quand même ... Tout cela me laisse perplexe...

Soudain, les autres peuvent voir la jeune femme se laver les mains avant de s'agenouiller devant la statue.

Elle prend visiblement une position pour prier. Quand sa voix s'élève, elle n'est pas destinée aux autres êtres humains présents dans la pièce, non c'est à son Dieu que la prêtresse s'adresse.

[ROSAMUND]- O Divin Guardal, Entends la voix de Ta servante. Elle se tient là devant Toi, prête à Te servir.
En Ton Nom, j'ai entamé cette Quête pour purifier la Forêt, la Vallée, la rivière. Cette quête m'a conduit vers plusieurs rencontres dont celle d'Alinéa, prêtresse de Dénora, qui a séjourné en ces Terres et, en cet instant, devant Ton Autel.
Je Te rends grâce, O Grand Protecteur. Puis-je me montrer digne de Toi en toutes circonstances et Puisses-Tu continuer de m'accorder Ta Bénédiction ainsi qu'à ceux qui m'accompagnent.

La jeune femme prend une profonde inspiration. Cette rencontre l'emplit d'une vague d'énergie, la fatigue de la fouille comme envolée. Sa Foi, plus forte que jamais, elle s'apprête à examiner l'objet tenu par l'enfant de la statue. Ensuite, avec mille précautions, elle tentera de prendre connaissance du livre sans le détériorer.

[Adela]

Assise en tailleur, Adela regarde sa découverte...Sous la lumière de la lanterne, le métal brille toujours malgré la rouille qui l'a envahi...

* J'espère que les autres auront plus de chance que moi se dit-elle en souriant j'ai jamais été doué en recherches...*

La joie dans la voix d'Alcide la sors de sa contemplation...Elle se lève pour mieux voir ce que tiens le barbare dans le creux de sa main...

* Des animaux miniatures...c'est mignon *

Voyant qu'il ignore complètement sa présence, Adela se racle la gorge et tends la main vers le papyrus dans sa boite en métal...

[ADELA] – Je vais m'occuper de ça pour vous et le donner à Rosamund, elle saura quoi en faire

Comme si prononcer son nom, l'avait invoqué, la voix de la prêtresse se fait entendre du fond de la grotte.
Intriguée par le monologue qu'elle perçoit, Adela se rapproche pour comprendre...
Elle découvre avec stupeur le travail titanesque de déblayage et sa compagne à genoux en train de prier...
Pour ne pas l'interrompre, elle stoppe tout mouvement en serrant le coffret de metal qu'elle vient de récupérer et écoute la prière à l'attention de Guardial...

[Cerys]

Cerys les mains et les vêtements pleins de boues se sentit vexée d'être bredouille de ses recherches.[i]

*Par la barbe de...*

[i]Elle n'eut pas le temps de finir de râler intérieurement, interrompue par la voix du barbare. En tournant la tête vers lui, la jeune guerrière vit Alcide tout sourire lui tendre une sorte de sculpture en bois miniature.

[CERYS]- Quoi!?

Elle se calma et prit la statuette délicatement, en faisant un léger sourire involontaire. L'art et les sculptures ne m'intéressait pas du tout. Mais que dire sur cette gentille attention faire par l'homme des bois ? Cerys n'était pas coutumière de ce genre d'attention. Son attention sur cet objet, fut tellement grande qu'elle ne prêta pas d'intérêt à Adela occupée à récupérer le parchemin.

*Jamais personne ne m'avait offert quoi que soit. Je ne sais pas quoi dire? Je vais le remercier.*

[CERYS]- Me..Merci c'est très gentil.(dit elle en rougissant comme une pivoine.)

Elle se leva et resta silencieuse pendant la prière de Rosamund. Une fois que la prière serait terminée. Cerys se dirigerai vers son sac à dos posé un peu plus loin dans la pièce, et rangerai soigneusement le cadeau d'Alcide.

[Valérius]

Tandis que Cerys et Alcide discutent, Adela observe Rosamund. Celle-ci fini une prière et observe quelque instant l'espece de petit sceptre tenue dans les mains de la statude de l'enfant. Une sorte d'offrande au personnage statufié qui se trouve devant elle. Le sceptre semble indépendant de la statue, et bien que sale par la boue, on voit qu'il est en métal.


Rosamund s'approche doucement pour le regarder dans toute les coutures, avant de se décidée de délicatement le détacher pour le prendre en main

Elle le retire de son support de pierre et le regarde.

L'extrémité verte de ce sceptre se met soudain à briller et une sorte de rayon frappe Rosamund en plein visage. Cela la choque mais le fait que cela ne produise aucune douleur spéciale, elle parvient à ne pas le lacher.

Une étrange transformation s’opère soudain.

Le sceptre commence à fondre, au sens propre du terme, et meme la boule de verre prend une teinte différente. Une teinte grisée et prend une autre forme. Moins de 10 secondes plus tard, le sceptre a entièrement disparu, remplacé dans les mains de Rosamund par un objet que ses camarades connaissent bien.

Son arme qu'elle porte à la ceinture, est à l'identique reproduite dans ses mains. La seule différence est dans la couleur du métal. Si son arme était terne par son passage dans l'eau de la rivière qui semble avoir alterné la resistance du métal, celle qu'elle tient en main est d'un éclat vif et semble sortir d'une forge

[Alcide]

Alcide était heureux de voir Cerys sourire. Oui, il aimait beaucoup et se mit à sourire à son tour.

[ALCIDE] – J’aime bien ton sourire. Il détend ton visage. Il te rend plus jolie.

Le barbare reste planté devant elle. Les deux autres femmes ne sont plus dans ses pensées. Il sent qu’il se passe quelque chose entre eux deux. Bizarrement, l’idée que ce soit de l’amour naissant ne lui vient pas en tête. Un être trop pur pour ce monde ? Peut-être.

Il baisse les yeux sur une petite statuette qui a attiré son attention. Celle d’un cerf qui ne serait pas terminé. Cet animal est de plus en plus important pour le barbare. De toute façon, comment pourrait-il refuser tous ces indices que Mère-Forêt lui laisse ?

[ALCIDE] – Je vais aller m’asseoir là-bas. Sur les marches. Je vais finir cette petite statuette. Il y a un cerf emprisonné dans le bois. Je vais lui redonner sa liberté avec une lame.

Comme quoi, l’acier n’est pas une chose qui a une grande soif de sang. L’acier n’est pas toujours la main froide de la Faucheuse. L’acier peut aussi être un vecteur de beauté et d’émotions. Le barbare allait démontrer cela.

[Adela]

Figée et glacé d'effroi...
Voilà qui résume assez bien la fragile position physique et mentale d'Adela pour le moment...

Sans s'en rendre compte, elle serre à s'en faire blanchir les jointures, la boite en métal qu'elle tenait jusque là doucement contre elle en attendant de pouvoir la donner à la prêtresse...

* Bouge mais bouge...Avance ! Va la voir ! Allez ! *

Bien que parfaitement consciente de ce qui vient de se passer, Adela n'arrive pas à faire un pas en avant...
Le rayon vert, sa stupeur, le choc de surprise sur le visage de Rosamund, la fonte du sceptre et l'apparition de cette masse ??? Trop d'informations à traiter en même temps pour le cerveau de la barde...

* Allez, on se calme, on prends une grande inspiration et on y va *

Comme une horloge mécanique que l'on remonte pour qu'elle continue à fonctionner, le corps d'Adela se remplit d'air frais et se dirige presque en mode automatique vers sa compagne...

[ADELA] – Rosamund ? Ça va ? Rien de cassé ? Vous vous sentez bien ? lui demande t-elle mi- inquiète, mi- curieuse

Telle une abeille autour d'une fleur à butiner, Adela tourne autour de sa camarade et la touche pour vérifier son intégrité physique et mentale

[Rosamund]

La prêtresse met un moment avant de répondre à la jeune barde.
Elle sent les mains de sa compagne sur elle, entend le ton inquiet de sa voix. Toutefois, elle est encore imprégnée de la sensation ressentie lorsque le rayon vert l'a touchée.

Quand elle prend la parole, sa voix est basse et son rythme lent. Comme si elle pesait chaque mot ou comme si son cerveau était encore partiellement endormi.

[ROSAMUND]- Ne vous inquiétez pas, Adela. Je vais bien. C'est ... surprenant mais pas du tout douloureux.
Par contre, je ne m'attendais pas du tout à ceci.

Elle montre l'arme qu'est devenue le sceptre. Un clone de Stärke.

[ROSAMUND]- Je ne comprends pas comment c'est possible ... Je l'ai juste pris en main...

La jeune femme retourne l'objet, le fait glisser d'une main à l'autre avant de le serrer contre elle.

[ROSAMUND]- O Guardal, merci pour cet extraordinaire présent !

La jeune femme se sent émue. Les larmes lui montent aux yeux. Ces derniers brillent et un sourire de ravissement éclaire son visage.

[Cerys]

Cerys qui avait rangé son cadeau dans son sac, avait rejoint Alcide. La déclaration du barbare l'avait toute chamboulé. Pourquoi cette phrase en particulier l'avait mise dans cette état? Au point de rougir de nouveau comme une pivoine. Cela se produisait à chaque fois que l'homme des bois, lui adressa des mots gentils. La guerrière n'était pas vraiment habituée à ce genre d'attitude envers elle.

[CERYS]- Me..me.. merci c'est très gentil.

* Que m'arrive t-il?*

Elle sourit de nouveau au barbare, lorsqu'une lumière vive l'eblouit. Mettant ses bras en protection devants ses yeux fermés.

[CERYS]- Par la barbe de mes ancêtres !!

Son attention focalisé sur la lumière vive entourant la prêtresse. Cerys se dirigea vers elle aussi vite que possible.

[CERYS]- Dame Rosamund vous allez bien? Que se passe-t-il ?

[Rosamund]

Rosamund entend la question et sent l'inquiétude dans la voix de Cerys. Elle reprend donc la parole pour lui répondre.

[ROSAMUND]- Tout va bien Cerys. La lumière ne m'a pas blessée. Au contraire, Mon Seigneur, le Bienveillant Guardal m'a fait présent de ceci.

Elle se tourne vers la flamboyante guerrière pour lui montrer la nouvelle version de sa masse, une Stärke plus chargée de la Force de son Dieu que jamais.

La prêtresse affiche un sourire lumineux. Très vite, toutefois, elle se désintéresse de la guerrière pour revenir vers la statue.

Curieuse, elle laisse ses doigts courir sur la couronne de diamants rouges qui retient la capuche de la statue.

Une autre idée germe aussi dans son esprit. Intriguée, curieuse, elle la tourne et la retourne dans son esprit. Finalement, elle décide de tenter quelque chose. Elle s'empare de Stärke, première du nom, celle qui l'a accompagnée dans son périple et n'a jamais failli à la protéger et à combattre à ses côtés. Elle approche l'arme de ses lèvres et en baise le métal froid. Ensuite, avec maintes précautions, elle dépose l'arme dans les mains de l'enfant, là où avant se tenait le sceptre.

Rosamund fait un pas en arrière et observe ce qui se passe.