SC: LA SOURCE DE LA MORT - CH2: 2IEME JOUR

[Alcide]

Alcide tourne son regard vers Rosamund. Et il lui répond.

[ALCIDE] – Non.

Un simple mot. Absolument impossible de faire passer un autre message que « j’étais absorbé par progresser. J’ai absolument pas pensé à ça. Je me sens con maintenant. » Pourtant, il continue de marcher. Le ton et le volume sonore de Rosamund lui indique de ne pas alerter les deux autres femmes.

[ALCIDE] – Hum. Peut-être qu’on pourrait faire une pause dans ce cas ? Je pourrais alors partir dans les environs seuls. Ce serait plus facile pour moi de progresser rapidement et de trouver s’il y a de la nourriture dans les environs.

Mais quoi ? Le barbare est embêté. Ça se voit sur son visage qui trahit une réflexion. Les paroles de Rosamund reviennent dans sa tête. Tout est empoisonné. La Mère-Forêt elle-même est malade de ce poison. Ou de cette malédiction, peu importe le terme. Alors comment ? Comme Alcide pourrait trouver de la nourriture saine ?

[Rosamund]

La prêtresse a un infime haussement des sourcils.

*Pourquoi ne suis-je pas plus surprise que cela...*

Reprennant constance, elle adresse un sourire encourageant à l'homme qui lui fait face.


*Après tout, il n'y peut rien si on se retrouve dans cette situation. Et surtout, il n'a pas à assumer seul notre survie.*

Toujours à voix basse, elle s'adresse à lui.

[ROSAMUND]- Alcide, vous n'avez pas à tout prendre en charge. Et encore moins seul. Nous pouvons certainement vous aider. Ayant vécu en bordure de forêt, je peux vous accompagner pour trouver de la nourriture ou chasser.

Effectivement, je ne sais pas trop ce qu'on pourra trouver mais cela vaut sans doute la peine d'essayer.

Je peux aussi tenter d'utiliser un sortilège pour assainir l'eau ou tenter de réduire la toxicité des aliments.

Ne vous faites pas trop de joie cependant, je suis novice et je n'ai jamais utilisé de tel sort.

Je pensais également essayer de réduire la progression de la maladie. Évidemment, je testerai sur moi-même.

-(Rosamund a un petit sourire.)-

Essayons d'avancer ensemble et d'exploiter au mieux les compétences de chacun. Qu'en dites-vous ?

[Alcide]

[ALCIDE] – Je dis que vos paroles sont le reflet de l’eau de votre tête. Vous l’utilisez bien plus que moi.

Il sourit et montra son bras qu’il pliait pour faire ressortir son biceps.

[ALCIDE] – Je sais bien que je ne suis pas un intellectuel. Mais je ne suis pas dénué de capacités non plus.

Il se frotta ensuite la barbe, repensant à tout ce que Rosamund venait de lui dire.

[ALCIDE] – D’accord. Restons ensemble. Avançons jusqu’à ce qu’il y ait un nouveau choix de direction ou un obstacle.

Il se retourna vers les deux autres femmes et ajouta.

[ALCIDE] – Ou jusqu’à ce que la faim, la soif ou la fatigue deviennent un besoin trop urgent. D’accord ?

Quand il eut fini de regarder chacune des trois femmes et d’ajouter un petit hochement de tête qui demandait silencieusement « d’accord ? ». Alcide reprit la route, toujours en sa position d’éclaireur.

[Valérius]

Alcide reprend sa route et n'a pas longtemps à marcher

Quelques mètres plus loin, le groupe atteit la rive occidentale de la rivière de la mort. Des espèces de palétuviers, alignés en rangs serrés, les empêchent de longer cette rive. Sur l'autre berge de la rivière, qui est large de trois mètres à cet endroit, la végétation semble moins touffue.

C'est aussi à cet endroit que l'on peut voir des empreintes de pied, clairement dessiné dans la terre meuble. Elles vont droit vers la rivière et laisse comprendre que au moins 3 personnes ont traversé l'eau, il y a 2 ou 3h au grand maximum

Dans tous les cas, ils peuvent maintenant stopper à cet endroit vu que l'espace leur permet de se détendre. Mais ensuite, ils n'auront pas d'autre choix que de revenir sur leur pas ou de traverser l'eau.

181

[Alcide]

Alcide est accroupi et regarde la rivière et surtout au-delà. De nouvelles empreintes lui ont donné de nouvelles informations. S’il était seul, il traverserait et est sur qu’il pourrait rattraper le groupe qu’il est en train de pister. Sauf que… Sauf que les mots de Rosamund vont et viennent dans sa tête. Elle lui a dit de travailler en groupe. Elle lui a dit de mettre en commun leurs compétences.

Alors il se relève et les regarde. Il ouvre la bouche et… ne dit rien.

Car il a un pressentiment. Il fronce les sourcils et s’accroupit à nouveau pour observer les empreintes. Ses yeux allant des empreintes aux différentes femmes. Ses yeux allant des empreintes aux pieds des différentes femmes. Et si ?...

[Rosamund]

Rosamund voit réapparaître la rivière. Son regard se porte sur les eaux putrides. L'odeur à nouveau lui pique le nez. Elle a une petite grimace avant de s'apercevoir qu'Alcide s'est arrêté.

Elle constate qu'il se tourne vers elles comme pour leur adresser la parole mais reste à nouveau rester silencieux.

Rosamund voit son regard passer vers ... leurs jambes ?

*Qu'est-ce qu'il peut bien chercher ?*

Renonçant à s'interroger davantage, la jeune femme a un petit haussement d'épaules et pose un regard indulgent sur l'homme.

Elle s'avance vers lui et s'adresse à lui avec douceur.

[ROSAMUND] - Avez-vous remarqué quelque chose, Alcide ? Voulez-vous partager avec nous vos réflexions ?

Elle soutient un moment son regard avant de le porter sur les alentours pour essayer d'identifier ce qui a retenu l'attention de l'homme.

En se penchant légèrement vers la gauche, il lui semble apercevoir des traces de pas se dirigeant vers la rivière.

Rosamund n'est pas assez bien placée que pour en identifier davantage de là où elle se trouve. Elle pense un moment à s'approcher mais se retient afin d'attendre une potentielle réponse de l'homme.

[Cerys]

Cerys toujours en queue de peloton s'arrêta en voyant les autres qui faisaient de même. L'odeur de la rivière putride lui prit le nez. Elle n'aimait pas cet endroit de mort et désolation.

Elle regarda le barbare qui balaya son regard entre le sol et les jambes des autres membres du groupe.

*Que fait il encore ? Il a trouvé quelque chose ? Ou va t-il encore se parler à lui même ? Cet homme est vraiment étrange décidément.*

Elle vit également que Rosamund était en train de lui parler à voix basse.

*Décidément elle aime bien parler à voix basse. On dirait une intriguante qui prépare un coup d'état.-Un léger sourire s'echappa sur le visage de Cerys. Puis elle reprit son sérieux.- D'un côté ça n'est pas plus mal, ça évitera d'alerter d'autres ennemis potentiels.*

Comme l'éloquence n'était pas son fort. La jeune guerrière préféra rester à l'affût du moindre bruit ou mouvement suspect. Sa main gauche serrant le manche de son épée rangée au fourreau, prête à dégainer. Et sa main droite tena fermement son bouclier prête à parer au cas où.

[Adela]

Tout en reprenant leur bonhomme de chemin Adela se demande pourquoi Rosamund a « tenu tête » à Alcide dans un premier temps puis proposé son aide...
Bien sur ça part d'un bon sentiment

*celui d'une prêtresse dévoué donc rien d'étonnant en soi* pense t-elle en souriant

Absorbé par ses pensées, elle ne remarque pas que le groupe s'est arrêté et stoppe son pas in-extrémiste avant de percuter la soigneuse...
Soigneuse qui observe le barbare accroupi devant la rivière...Le bruit de l'eau lui rappelle soudain où elle se trouve et son nez se fronce...

* Quelle puanteur...*

Elle prends son chiffon qui lui sert à absorber sa transpiration et le pose devant son nez...

* Mieux vaut mon odeur que celle de ce lieu infect *

Ne voyant pas ce qui se passe au niveau de la rivière, Adela fait un pas de côté pour essayer de comprendre ce que regarde conjointement Alcide et Rosamund...

Elle est sur le point d'ouvrir la bouche pour demander quelles sont les nouvelles pistes mais elle est prise de vitesse par Rosamund...
Elle attends donc patiemment une réponse de l'homme qui en train de se relever...

[Alcide]

Maintenant relevé et observant les trois femmes, il déglutit avec peine. Car à ce moment, il vit cet instant comme une défaite. Il imagine déjà quelle déception il va être à leurs yeux. Alors, après un petit moment de silence, il prend enfin la parole.

[ALCIDE] – Vous voyez les empreintes ?

Il pointe du doigt un premier endroit.

[ALCIDE] – Ca, c’est une empreinte de pieds d’homme. Et quand je dis homme, je veux dire moi. Le contraire d’une femme.

Il pointe ensuite un autre endroit. Et encore un autre. Pour montrer les empreintes à côté de celle de l’homme.

[ALCIDE] – Ce sont des empreintes de pied de femme.

Il regarde une nouvelle fois les trois femmes sans rien ajouter. Peut-être qu’elles ont déjà compris. Il ne sait pas. Il ne peut pas rester plus longtemps sans rien de toute façon. Alors il énonce finalement sa conclusion à haute voix.

[ALCIDE] – Je crois que ce sont les notres. Les empreintes sont celles de nos pieds.

Il les regarde encore une fois et décide de s’asseoir à nouveau. En tailleur, la main allant et revenant dans la barbe, les yeux faisant des mouvements vers le ciel. Alcide dit ce qu’il fait. Ce qu’il va faire pendant peut-être quelques minutes.

[ALCIDE] – Il faut que je réfléchisse.

Pour lui-même, il ajoute :

[ALCIDE] – Mère-Forêt, aide-moi à réfléchir et me souvenir. S’il te plaît.

[Valérius]

Comme pour répondre à sa question interne, un bruit apparait dans l'eau qui se trouve à quelques pas tout au plus. Une grosse bulle gonfle sous la surface en approchant de la petite plage ou se trouve le groupe

On comprend alors que ce qui surgit lentement est une touffe de cheveux, suivit d'un crane. On voit alors le visage d'un homme apparaitre au grand jour, approchant toujours de la plage. Mais son visage a l'air blafard et pale, un oeil lui a été crevé tandis que son autre oeil brille d'un air prédateur.

Aucun de nos aventurier n'a jamais rien vu de pareil

Le groupe recule, aux aguets tandis que d'autre bulle apparaissent rapidement derrière lui, à sa droite et sa gauche, laissant sur l'eau des trainées comme celles de poissons filant à vive allure à la surface


Mais là aussi, des visages apparaissent, emmargeant de l'eau avec lenteur.

Mais tandis que ces individus sortent de l'eau en marchant tranquillement, comme s'il n'avaient pas besoin d'air pour respirer sous l'eau, la chose qui choque le plus et l'accoutrement des individus. Vétus d'un uniforme en tissu de couleur kaki qui se compose d'un pantalon et d'une sorte de chemise, ces hommes sont vêtus de botte de cuir qui, comme l'uniforme, n'a jamais été vu par nos aventuriers. Ils portent un ceinturon discret à la ceinture, visiblement en cuir, sur lequel pend des sortes de poche à la forme étrange renfermant un objet métallique en forme de L, ainsi qu'une lame de couteau dont on peut voir le manche qui dépasse. Hormis 2 de ces hommes, tous portent également une sorte de casque sur la tete dont le modele ne rappel rien à nos aventuriers, pas plus que leur uniforme vestimentaire d'ailleurs

Les hommes approchent, mains dressée comme des serres pretent à percer la chair de leur proie, marchant tranquillement. Non pas une lenteur que pourrait avoir un individu trop lent, mais plutot à celle des prédateurs sortant tranquillement de leur cachette car ils savent leur proie pris au piège.

Ils comprennent vite pourquoi lorsque qu'apparaissent 3 individus du meme genre, surgissant du sol comme le bouchon d'une bouteille qui explose. Leur position sur le chemin coupe clairement la retraite de toute personne pénétrant sur cette plage

Leurs visages tout aussi pales et couverts de terre, nos aventuriers ont l'impression , d'avoir face à eux des Morts marchant


Une espèce qu'ils n'ont encore jamais croisé dans leur existence et dont les seuls connaissances remontent aux maigres légendes qu'on leur a raconté. Mais le plus étrange, c'est surement que l'aspect vestimentaire de ces créatures semble venu d'un autre temps, d'une autre époque, ou d'un autre monde...






Round 1

[hrp]Regardez dans la signature pour le plan svp [/hrp]

[Alcide]

Ces êtres qui sortent de l’eau empoisonnée… Ca ne peut pas être de bons êtres. Ce sont forcément des abominations qui parasitent la Mère-Forêt. Et la coïncidence n’est pas. Suite à sa question, la Mère-Forêt lui a envoyé ses choses. Elle a dû les forcer à quitter ses entrailles pour les jeter sur le fil de sa hache. Oui, c’est forcément la bonne raison. Alors, autant dire que le barbare est plus que prêt à se jeter dans la bataille. Et ce, même s’ils sont affaiblis par la maladie et en sous nombre.

[ALCIDE] – Pour la Mère-Forêt !!!

Le problème, c’est qu’ils sont si loin. Il ne pourra pas se déplacer et attaquer rapidement. Il va falloir courir beaucoup et cette pensée lui en fait amener une autre. Il n’est pas seul. Il est accompagné de trois femmes. Il n’est pas un être solitaire, il est devenu un être qui a hérité du plastron de Mangog. Alors le barbare se demande comment il doit réagir.

Il se tourne vers Adela.

[ALCIDE] – Est-ce que tu peux crier sur plusieurs ennemis à la fois ?

Les pensées se bousculent dans sa tête. Sa langue n’est pas aussi rapide qu’elles.

Il se tourne ensuite vers Rosamund. Et enfin Cerys.

[ALCIDE] – Est-ce que vous avez des pouvoirs qui peuvent blesser un groupe en une seule fois ?

Le barbare réalise qu’il ne connait pas bien les femmes qui l’entourent. En fait, il se demande même s’il connait bien sa propre personne. Depuis l’épisode des fruits, il a ressenti des choses nouvelles. Il se demande si lui aussi sait faire des choses incroyables ?...

[Adela]

Le mouchoir toujours accroché au visage, Adela est en train de regarder les traces de pas dans la terre humide du passage tout en réfléchissant à l'énormité que vient d'énoncer d'Alcide...

* un des effet secondaire des fruits que nous aurions oubliés... ? *

Sa réflexion se fige instantanément lorsque qu'une tête morte émerge de l'eau...
Elle ouvre de grands yeux ronds et son instinct de survie la pousse à faire un pas en arrière pour s'éloigner de ces choses...
Le bruit gluant de « pop » derrière elle ne lui dit rien de bon...Elle dégaine sa rapière par réflexe et se tourne pour découvrir trois nouveau invités tout aussi mort que celui de la rivière...

La voix d'Alcide la sort de son début de panique et elle lui répond dans un état second tout en gardant un œil sur les trois

[ADELA] – Oui je peux...et je vais le faire maintenant ...

Rapière en main, elle ouvre les bras pour augmenter sa capacité thoracique et inspire avec force...

[Rosamund]

La prêtresse regarda avec incrédulité les créatures d'apparence humaine qui sortaient de l'eau de la rivière. Elles ne correspondaient à rien de ce qu'elle connaissait ou aurait entendu parler.

Elle les compta rapidement : six venaient de la rivière et, comme elle s'en aperçut avec horreur, trois de plus sortaient de terre depuis le sentier qu'ils avaient empruntés juste avant.

Elle qui se demandait où étaient les corps des précédentes expéditions ! Pourtant elle s'aperçut bien vite que les tenues de ces hommes ne correspondaient à rien qui lui soit familier.

Rosamund s'arracha à sa réflexion et l'appel d'Alcide lui revient en mémoire.

Lui et Adela avaient déjà pris position pour faire face à ce nouvel ennemi.

La jeune femme s'empara à son tour de son arme. Stärke fermement empoignée, elle prit une position défensive s'interrogeant sur la force d'attaque de leurs adversaires.

Elle tenta de galvaniser ses compagnons mais sa voix bien que claire manquait de la conviction qui la caractérisait en général.

[ROSAMUND] - Mes Amis, ne nous laissons pas perturber par ces créatures monstrueuses. Comme pour nos précédents adversaires, nous les abattrons. Soutenus par la volonté de Guardal, restons forts et soudés et la victoire sera nôtre.

[i]L'abomination qui se tenait sous les yeux avaient jetés le doute dans l'esprit de Rosamund. Ces êtres ne pouvaient pas être encore humains ... ni même en vie. Ils ressemblaient à des morts animés tels des marionnettes par quelques maléfices.

Quoi qu'il en soit, elle devait retrouver au plus vite force et concentration afin de pouvoir faire face et aider les siens.

Elle adressa un appel à son Dieu et s'apprêta à combattre.

[Cerys]

Cerys regarda ces monstruosités avec une certaine horreur. Des cadavres qui bougent n'étaient pas normal à ses yeux. Malgré ses nombreux voyages en tant que mercenaire, Cerys n'avait jamais vu de tels accoutrements sur des vivants et encore moins sur des morts.

*Par la barbe de mes ancêtres qui a osé troublé le repos des morts ? Serait ce ce maudit mage ? Il va le payer je le jure !*

Cerys bouillonna au fond d'elle. Elle degaina son épée et prit une posture defensive avec son bouclier levé.

*Bon sang, nous sommes prit en tenaille ! Six devants et trois derrières.*

Elle s'adressa au groupe en haussant la voix pour être bien entendu de tous.

[CERYS]- Nous devons nous occuper du groupe de trois ! Ils seront plus facile à tuer ! Et nous laissera une solution de repli en cas de besoin ! Adela utilisez votre cri sur eux si possible ! Je vais distraire le groupe de six, pour couvrir vos arrières.

Cerys fonça bouclier levé sur le groupe de six morts, afin de les faire tomber.

[Valérius]

Cerys se met à courir dans le sens du groupe des 6 en hurlant ses ordres, tandis que Adela part rapidement à l’opposé se mettre en position. Elle pousse un cri strident et, de nouveau, une sorte de rafale de vent concentrée est déplacé en direction des trois créatures. A son contact, leur vétement se déchirent, coupés par les vibrations, comme si des centaines de lame venait les entailler.


Roz tente d’incanter une prière. Mais elle en est incapable tant son regard est braqué sur les créatures qui sorte de l’eau. Alcide l’a voit fixe, les yeux plissés dans leur direction, en les dévisageant avec un étrange rictus sur le visage. Roz, elle, sent soudain, une vibration inconnue dans son corps alors que de l’énergie lui parvient d’on ne sait ou….

Une energie nouvelle, qu’elle n’a jamais ressentie.

Ses yeux braqués sur les 6 créatures sortant de l’eau, elle a alors l’impression de ne voir qu’elles. Une sorte de haine s’empare de son corps, caractérisée par une boule au ventre. Soudain, elle sent une energie s’echapper de son regard alors qu’elle les regarde, et les créatures se mettent à se torde de douleur dans tous les sens alors que des pustules éclatent sur leur peau, comme de gros furoncle remplis de pue


Quelques secondes plus tard, Roz reprend ses esprits et les créatures semblent d’autant plus enervé en voyant qu’elles ont été blessé avant meme d’être au contact.


Elles chargent.

Les 3 créatures du chemin arrivent au contact de Adela pour la frapper à leur tour chacune à leur tour, les mains tendue en avant pointant comme des serres prêtes à arracher la peau. Si Adela parvient a esquiver deux des créatures, la troisième la blesse et elle sens les griffes aiguisé transpercer son vêtement

Les 6 créatures de la rivière chargent Cerys pour se défouler. Cerys parvient à dévier les attaques qui lui son infligé en se tortillant avec une vitesse très professionnel. Cela dit, une des mains passe dans son dos, et lui griffe la nuque

Round 2