SC: LA SOURCE DE LA MORT- CH:1er JOUR

[Cerys]

Suite aux paroles d'Adela, Cerys enleva sa main du manche de son épée. Et se calma aussitôt, et prit une posture plus amicale. Enfin aussi amicale selon les critères de Cerys.

[CERYS]- Vous avez raison Adela. Je me suis laisser emportée.

Elle se racla le fond de la gorge, et cracha un énorme mollard.

[CERYS]- Comme l'a dit Rosamund, il est possible que les plantes comme les baies sont contaminés. Donc nous allons manquer de nourriture dans peu de temps.

Cerys avait perdu son sang froid. Elle ne savait pas pourquoi elle avait réagi comme ça.

* Pourquoi ais je réagi comme ça ? Calme toi maintenant. *

Puis elle s'adressa à Alcide.

[CERYS]- Votre hache doit sans doute se trouver dans cette brume. C'est là que je vous ai trouvé- elle déshabilla le barbare du regard- Mon armure est peut-être lourde et bruyante. Mais elle me protège des attaques ennemis. Il faut être idiot pour se balader à moitié nu.

Cerys attendit la réaction d'Alcide. Et se tenait prête à retourner dans la brume pour chercher la hache du barbare. Ainsi que la sienne.

[Alcide]

Alcide se tourne vers la femme aux cheveux noirs.

[ALCIDE] – J’ai des images de la ville. Puis j’ai des images de la maison refuge. Après, c’est le sommeil noir. Puis c’est vos visages de femme.

Il se retourne vers la brume, vers là où se trouve sa hache. Puis c’est la femme aux cheveux de feu qui lui parlent.

[ALCIDE] – Est-ce qu’elles parlent autant tout le temps ?

Il réfléchit. Elle vient de le traiter d’idiot mais il ne sait pas si elle le pense ou si c’est un trait d’humour. Dans le doute, le barbare préfère ne pas relever l’insulte et passer à la suite. Se concentrer sur l’action.

[ALCIDE] – Toi.

Alcide désigne la femme aux cheveux de feu de son doigt. Il fait ensuite un signe de la main pour lui dire de l’accompagner.

[ALCIDE] – Aide-moi à retrouver ma hache. Euh, merci. S’il te plaît ?

[Valérius]

Accompagné de Cerys, l'homme se dirige en direction de la brume. Celle ci n'entoure pas le groupe de fille mais commcent plutot dans une zone de la foret située à une 20 aine de mètre. Le duo disparait à l'intérieur, et il est évident que la fille en armure tatonne un peu pour retrouver le lieu du fait que la brume est assez présente.

Elle regarde ici et là, persuadée de reconnaitre le lieu avant de se rendre compte que ce n'est pas ca. Ce n'est qu'au bout de 10 grosses minutes qu'on voit au sol une besace de cuir tombé dans un fourré, et non loin de là, une grosse hache à double tranchant. Les affaires du barbare de toute évidence.

Mais elle ne trouve rien d'autre.


Ils se tournent alors tous les deux pour se rendre compte qu'ils sont de nouveau isolés du reste du groupe. Ils ne voient plus du tout Rosamund et Adela.

[Cerys]

Toujours perdue dans la brume, Cerys ramassa les affaires du barbare. Elle ne vit rien autour d'elle, a part Alcide qui se trouvait juste à côté d'elle. Il régnait un silence de mort.

*Ce silence est encore plus inquietant dans cette brume. Je n'aime vraiment pas cet endroit.*

Elle tendit la besace et la hache à Alcide.

[CERYS]- Tenez, c'est tout ce que j'ai trouvé. Ça suffira j'espère ?

Elle attendit qu'Alcide prenne ces affaires. Elle ne le lâchait pas du regard. Peut être était ce par prudence et méfiance. Car après tout elle ne le connaissait pas. Mais elle accepta de lui laisser le bénéfice du doute comme lui suggéré Adela. Elle scruta de nouveau de barbare de la tête aux pieds.

* C'est vrai qu'il est bien bâti et qu'il a l'air fort. Je devrais peut-être être plus gentille avec lui?*

Elle rougit tout d'un coup complètement gênée. Et secoua la tête de gauche à droite pour se ressaisir.

* Qu'est ce qui me prend ? Ce n'est pas le moment de me deconcentrer.*

[CERYS]- Alcide passez devant et essayons de retrouver mes compagnes.

Cerys rebroussa chemin et essaya de retrouver Adela et Rosamund.

[Rosamund]

Rosamund vit disparaître Cerys et l'homme. La brume eut tôt fait de les engloutir.

Trouveraient-ils leurs effets personnels ? Rosamund espérait qu'ils ne se mettraient pas en danger. Elle-même restait prudente, ne souhaitant pas faire à nouveau une mauvaise rencontre.

Elle parla bas, davantage pour elle-même que pour la barde qui se tenait près d'elle.

[ROSAMUND] - Nous sommes à peine parties et les ennuis s'accumulent... Nous devons à tout prix avancer si nous voulons avoir la moindre chance... la maladie ne nous épargnera pas ... et l'attitude de Cerys est surprenante, espérons qu'elle ne soit pas également contaminée...(la jeune femme leva les yeux au ciel) Divin Guardal, puisses-Tu nous guider dans cette quête.

Rosamund reporta son regard autour d'elle est scruta les alentours. Rosamund recherche le moindre indice.

* Il faut a tout prix nous repérer et avancer.*

[Adela]

Adela regarde Cérys et Alcide disparaître lentement dans le brouillard comme s'ils avaient été happé par une quelconque créature...

[ADELA] – Est ce vraiment prudent de les laisser aller dans cette étrange brume ? Se demande t-elle à haute voix tout en levant une épaule interrogative Mais à t-on vraiment le choix ? Il a besoin de son arme pour se défendre et être efficace et nous aurons besoin de sa force pour nous aider...

Comme si la disparition de ses compagnons avait l'effet d'un aimant, Adela se rapproche de Rosamund tel le papillon vers la flamme...

Attendre...il ne lui reste que ça à faire...Elle s'assoie, appuie ses mains sur ses joues et son regard se perd bien au de la de la forêt...
Les minutes passent et Adela se souvient tout d'un coup, que le lieu ou elles patiente, est un lieu de passage marqué de coup de machettes...
Elle se met donc à fureter en espérant découvrir un indice ou d'objet qui auraient pu avoir appartenu à d'autres aventuriers et qui pourrait éventuellement les aider à se diriger...

[Alcide]

Le barbare récupéra ses affaires tendues par la femme aux cheveux roux. Qu’il était bon de retrouver sa hache ! Très vite, il chassa son sourire. La situation exigeait du sérieux et de sens ouverts.

Il releva les yeux vers la femme aux cheveux roux. Le barbare ne réalisa pas que le rouge était monté aux joues et que la femme avait secoué la tête pour chasser certaines idées perturbantes.

Il acquiesça une fois à l’ordre de passer devant et d’ouvrir la voie. Maintenant qu’il avait récupéré son fer, des questions venaient à la conscience du barbare. C’est en marchant qu’il posa la première :

[ALCIDE] – Toi et les autres femmes, vous cherchez aussi l’eau-qui-guérissait ?

L’homme dans la ville lui avait donné certains noms plus spécifiques. Mais le barbare ne les avait pas retenues. Le principal étant qu’il se trouvait dans la bonne forêt et qu’il avait une quête vitale à accomplir. Pour sauver la vie de ses parents.

[ALCIDE] – Pourquoi vous portez autant de fer ? Vous avez peur de quoi, femme-feu ?

Le barbare n’avait pas remis sa hache au fourreau. Il la tenait fermement. De peur qu’elle s’en aille à nouveau ? D’instinct en anticipation d’un futur danger ? Alcide Cherche Cerf n’aurait su répondre à ces questions.

[Cerys]

Cerys suivit Alcide de près pour éviter de le perdre dans la brume. Ou l'on n'y voyait pas à 3 mètre. Elle fixait l'arrière train du barbare et devint toute rouge.

*Mais qu'est ce qui m'arrive ? Je n'arrête pas de le devisager. Je crois que je suis infectée moi aussi.*

Les paroles d'Alcide la fit sortir de sa rêverie.

[CERYS]- Hein ? Quoi ? Femme-feu ? Mon nom est Cerys. Rosamund, Adela et moi sommes ici pour trouver l'origine du fléau qui a pollué l'eau qui soigne.

Elle essaya d'employer des mots simple que le barbare puisse comprendre. Toujours en suivant Alcide, Cerys trébucha et essaya de se retenir sur l'épaule du barbare, mais sans succès. Mais elle posa malencontreusement sa main sur les fesses d'Alcide. Et tomba de tout son poids sur le sol. Sans faire tomber l'homme devant elle. Elle se releva toute rouge de honte. Une fois débout et s'adressa toute gênée à Alcide.

[CERYS]- Dé.. Désolée. J'ai.. J'ai dû me prendre les pieds sur une...une branche- elle prit une profonde inspiration pour retrouver ses esprits et son calme- Pourquoi je portes tout ce fer ? C'est une armure, ça sert à me protéger en combat. Vous portez pas d'armure là d'où vous venez ?

[Valérius]

11h30

Au moment ou Cerys se relève, elle se rend compte que la brume qui les entourait et remplissait cette endroit de la foret ou elle a trouver le Barbare, disparait avec une étrange rapidité. Presque trop rapidement pour etre naturelle.... La brume disparu, cela laisse apparaitre la foret dans son entièreté. Silencieuse et touffue, remplis de branches et de tronc au sol, de buissons épineux et de lianes qui pendent dans tous les sens tels des tentacules pretent à se refermer autour du cou d'une victime.

Alcide a l'impression de découvrir cet enfer vert pour la première fois mais cela correspond bien à ce qu'il avait dans son souvenir.

Devant lui, à moins de 10m, Adela et Rosamund les attendent au meme endroit. A quelques pas d'une petite zone dégagée que Alcide n'avait pas remarqué jusqu'à lors sans doute à cause de son état ou suite au fait qu'il n'avait pas pris la peine d'analyser son environnement. Mais maintenant, il voit clairement qu'il s'agit d'une petite plaine de quelques mètres carrés de rayon qui a été dégagé à coup de machette d'aprés les traces sur les arbres. On peu voir que 4 voie ont été plus ou moins dégagés pour partir dans les 4 directions, Nord, Sud, Est et Ouest

Ce lieu n'était pas embrumé et pourtant Alcide n'avait pas remarqué un détail important. Située à quelques pas des filles se tient un animal mort au sol. De profondes entailles dans sa peau laisse penser qu'il a été coupé avec une lame et un sang sombre coule de sa peau. Maintenant qu'il y regarde avec attention, il se rend compte qu'il s'agit d'un chien, mais difforme. Non seulement il a la taille d'un loup, et une grosse bosse se tient à hauteur de sa nuque.



[hrp]Alcide, je t'invite à lire la 1er page de ce post afin d'avoir une idée sur la régle de la faim et du sommeil [/hrp]

[Alcide]

Il fronce les sourcils. Le barbare ne comprend pas ce qu’il voit. Sans compter qu’il ne comprend pas non plus qu’il ait manqué cette sorte de chien juste avant d’aller chercher sa hache. Hache qui lui permet d’examiner la créature. Il se retourne finalement vers le groupe de femme. Et notamment celle en armure.

[ALCIDE] – Femme-feu, c’est cette créature que tu as affrontée ? Celle pour laquelle tu as revêtu tout ton fer ?

Il va falloir s’y faire. Le barbare a trouvé le surnom de Cerys et il est plus facile pour lui de ne retenir que celui-là.

Sa hache se pose sur l’espèce de chien. Le sang sombre coule sur l’acier et le barbare se demande ce que c’est. Ne trouvant pas la réponse tout seul, il essuie sa lame sur l’herbe dans laquelle il a posé un genou. Et une nouvelle fois, il se retourne vers le groupe des femmes. Et toujours particulièrement celle en armure.

[ALCIDE] – Décidément, je ne comprends pas tout ce fer. Je veux dire, sans lui, tu ne serais pas tombé en me touchant les fesses tout à l’heure.

Il regarde alors les deux autres femmes. Comme si ces yeux leur demandaient pourquoi la femme-feu est habillée d’une armure. Mais surtout, remettant en question sa légitimité en tant que guerrière et protectrice de ces deux autres femmes.

[Cerys]

Cerys était gênée par la remarque d'Alcide sur le fait qu'elle lui avait accidentellement les fesses. Elle en devint toute rouge, et encore plus devant ses deux compagnes.

* Il n'était pas obligé de le dire devant tout le monde. Je vais passer pour quoi maintenant ? *

Elle s'adressa au groupes avec un air honteux.

[CERYS]- Oui..je..je...suis tombée...et...je vous..ai...touché les...les fesses. J'ai...tré...trébuché...sur une branche. Ça...n'a...rien à voir...avec mon armure.

Elle tapota le visage pour reprendre son calme. Puis elle s'adressa au barbare avec un légèrement excédé.

[CERYS]- Oui nous avons affronté cette bête- elle pointa du doigt la créature -Elle est sans doute affecté par le même mal qui a contaminé la source d'eau potable de Turzac. Et arrêtez de m'appeler femme-feu, mon nom est Cerys. Et mon armure me protège des coups ennemis. C'est mieux que de se balader à moitié nue. Vous commencez à m'énerver tas de muscles sans cervelle.

Sans demandez son reste, Cerys s'éloigna du groupe de quelques mètres. S'assit par terre pour se calmer et reprendre ses esprits.

*Qu'est ce qui m'a prit de réagir de comme ça ? Pourquoi il me mets dans tous mes états ?*

[Rosamund]

Rosamund était autant décontenancée qu'amusee par la réaction de Cerys. Pourquoi la jeune femme réagissait-elle de la sorte face à cet homme. A moins que cela soit le cas avec tous les hommes. Cela aurait rassuré Rosamund car sinon un comportement inhabituel pourrait être le signe d'autre chose. La brume pouvait-elle expliquer cette attitude. Rosamund en doutait car ni elle ni Adela ne semblaient présenter les mêmes symptômes.

Rosamund préféra s'arrêter là dans ses réflexions. Actuellement, la situation avait quelque chose d'amusant mais si cela devait perdurer, le trajet pourrait s'avérer long.

Rosamund hésita à taquiner Cerys sur le sujet mais la situation actuelle restait préoccupante.

Au lieu de cela, la jeune femme choisit un endroit aussi confortable que possible pour s'asseoir et fit à nouveau glisser son pantalon bouffant afin de pouvoir reprendre ses bandages. Dans un premier temps, elle réexamine sa blessure afin de pouvoir faire un diagnostic de son état.

S'adressant à l'homme.

[ROSAMUND] Pouvez-vous faire le guet et vous assurer que rien de fâcheux ne va nous arriver pendant que j'examine cette blessure ?

[Alcide]

Le barbare se tourne vers la femme qui s’est assis. Il la regarde faire glisser son pantalon et constate des blessures. Intrigué, sa première pensée va à la créature morte. Il regarde alors le cadavre puis la femme aux bandages.

[ALCIDE] – C’est lui qui vous a fait ça ? C’est grave votre blessure ?

Levant la hache et la faisant retomber dans son autre main, le barbare fait comprendre qu’il n’y a pas de problème. Il s’occupe de la protection des femmes. Même s’il ne sait pas contre quoi… Et cette pensée le fait travailler dans sa tête.

Bien qu’il y ait d’autres questions qui commencent à se bousculer.

Le barbare se tourne vers la femme-feu et voit qu’elle n’est plus disponible à la conversation. Alors il retourne son attention vers la femme aux bandages. Il y a plusieurs questions qui demandent des réponses.

[ALCIDE] – L’eau empoisonne les créatures ? Toutes ? L’eau peut aussi nous empoisonner ? Je n’y crois pas. Pourquoi Mère Nature voudrait nous faire tant de mal ?

En même temps qu’il pose des questions sérieuses, liées à sa propre quête, une autre survient. Plutôt une préoccupation physique. Relâchant d’une main sa hache, il la porte à son ventre. Depuis combien de temps n’a-t-il pas mangé ? Il peine à s’en souvenir. Il se penche alors vers son sac et regarde s’il a des provisions.

[Adela]

Adela observe, avec intérêt, la scène qui se déroule devant elle...
Le fait de s'être un peu éloigné pour fureter lui permet d'embrasser d'un regard tous ses compagnons...
Elle se croirait presque au théâtre...Un homme rustre, une femme au tempérament de feu, une prêtresse et une barde...
Tout les éléments sont rassemblés pour une comédie burlesque...Elle en rirait presque si le lieu ou elle se trouvait n'était pas si dangereux...

Avec un léger temps d'arrêt, elle sourit...cette soudaine légèreté lui fit du bien au moral...

Elle se rapprocha du groupe pour mieux répondre aux questions que le barbare posait à Rosamund et qui la ralentissait dans sa tentative pour se soigner...

[ADELA] – Oui Alcide, l'eau empoisonne, j'en suis la preuve vivante...tout du moins pour le moment... dit-elle dans un soupir...
Je suis malade depuis le jour ou je suis arrivé à Tuzac et seulement en buvant un verre d'eau agrémenté de sirop de prune...
J'en ai eu la confirmation par deux personnes différentes hélas...
D'abord par la bouche de l'aubergiste qui m'a servi ce sirop puis par celle du prince qui nous a envoyé en mission dit-elle en montrant du doigts ses deux consœurs pour trouver pourquoi la source qui guérit est empoisonnée...

[Alcide]

Le barbare fronce ses sourcils. D’abord parce que l’histoire se complique avec cette empoisonnement ambiant. Mais aussi parce que le groupe de femmes est faible. Pas parce qu’elles sont des femmes, mais parce qu’elles sont toutes blessées.

[ALCIDE] – Donc on n’a pas de temps à perdre.

En observant la forêt, Alcide Chercher Cerf pose ses yeux sur la petite plaine. En s’approchant, il découvre les entailles provoquées par une arme. Probablement une machette au vu de l’environnement. Il tourne sur lui-même et embrasse les différentes possibilités.

[ALCIDE] – Femme-poupée ! Est-ce que vous savez la direction où allez ?

Si tôt la question posée, le barbare se rapproche d’un des quatre chemins. Il pose un genou au sol et cherche des yeux des traces que la Nature aurait pu laisser dans la terre, dans le chaos des feuilles ou dans des branches cassées.

Il se retourne vers la femme aux cheveux noirs. La seule qui lui parle pour le moment.

[ALCIDE] – Qu’est-ce qui fait ça à l’eau ? Est-ce que la Nature est malade ? Est-ce que c’est l’œuvre de l’un d’entre nous ?

Puis le barbare retourne à son observation. A la recherche du moindre signe qui lui permettra de savoir où aller.

Tellement occupé par sa mission de repérage, il a oublié de regarder s’il y avait de la nourriture dans ses propres affaires. La quête passe avant ses besoins.