SC: La nouvelle quête- Chapitre 3: Un parfum de vengeance.

[Cerys]

Cerys avait regardé la scène avec incompréhension. Le bâton avait comme aspiré l'âme de Ketil, elle ne ressentait aucune compassion pour lui. Ce n'était que justice qu'il connaisse ce sort funeste.

La jeune femme était contente de voir que Malkav avait finalement décidé de prendre part à ce combat difficile.

[CERYS]- Oui, nous commençons à nous coordonner.

La rousse s'approcha du corps sans vie de Ketil, et retira son épée planté dans son abdomen. Elle prit son outre et versa un peu d'eau sur la lame et sur la partie souillée de son armure, afin d'enlever le sang du nécromancien et frotta fort avec son gantelet.

Elle fut soulagée de savoir que Lionnel avait réussit à soigner Amalasontha. La guerrière prit part à la conversation entre Lionnel et Malkav.

[CERYS]- Je pense que Malkav a raison au sujet de ce bâton, et qu'il est dangereux de le garder. Mais d'un côté si le Thieffelin peux trouver un moyen de libérer les âmes innocentes qui sont prisonnières. Ca peux valoir le coup qu'il l'étudie. Mais je te préviens le Thieffelin, si tu nous trahi. Je te tuerais de mes mains.

Une fois sa lame et son armure nettoyée, Cerys rengaina son épée et mit un genou à terre, et commença à fouiller le cadavre de Ketil.

[Zaeed Vakarian]

Malkav fait signe aux prisonniers de sortir de la pièce, Lionnel et Cerys voient donc 8 personnes s'avancer, certains ont l'air affamés ou déshydratés, mais 7 d'entre eux semblent être tremblotant de peur, le huitième semble être un peu plus solide mentalement. Il est armé d'une dague et semble avoir prit les choses en main. Et environ 10 autres personnes s'avancent en direction des prisonniers, ils ont l'air d'être un peu plus en forme que les autres, peut-être les villageois enlevés la veille? Mais étrangement Malkav ne les avaient pas vus jusqu' maintenant.

De son côté Lionnel prodigue les premiers à Amalasontha, au bout de quelques minutes la Forgesort sort de sa torpeur. Golem portant toujours Oswald sur l'épaule se précipite en direction de la gnome et du Thieffelin.Il pose l'apprenti sur le sol, bien qu'il soit toujours enchaîné, Oswald semble être heureux de voir sa maitresse en vie.

[OSWALD]- Je suis soulagé que vous alliez mieux. Je vous remercie Messire Thieffelin.

Bien qu'impassible Golem prend la parole avec une voix rocailleuse.

[GOLEM]- Bien que je ne ressente aucune émotion, je suis content que vous soyez remise sur pied Maîtresse Amalasontha.

Cerys quand à elle décide de fouiller le cadavre de Ketil qui malgré son décès évident avait toujours l'aparence d'un démon. Certains prisonniers semblaient terrifiés à la vue de celui ci. En fouillant sa besace, la guerrière trouve une bourse, un trousseau de clefs qu'elle pose sur le sol à côté d'elle, et 2 objets attirent son attention.

Le premier est un livre mesurant environ 25 cm de longueur, pour 12 de largeur. Les couvertures sont en cuir d'une excellente qualité, dont les coins sont cerclés d'un métal précieux, un crane en argent et des symboles étranges sont gravés sur le centre de la première de couverture.

Le second objet ressemble à une baguette en bois, ou 4 personnages avec des drôles d'expressions semblent être empilés les unes sur les autres.

Juste après avoir terminé sa fouille, le corps de Ketil reprend sa forme humaine humaine. Sous l'apparence d'un démon Ketil ne semblait pas porter de vêtements. Mais en reprenant sa forme humaine, Cerys voit la robe de fut le nécromancien.

[Lionnel]

Constatant que la gnome est tiré d'affaire le semi-demon se rapproche de la la guerrière rousse. Il observe par dessus son épaule tout ce que cette dernière exhume du corps sans vie du necromant. Il lui tapote sur l'épaule. Ses yeux brillent d'une impatience a peine contenus c'est tout juste si il ne trépigne pas.

[LIONNEL] - Je sais pertinemment que ta menace plane toujours sur moi. La prochaine fois apprends moi quelques choses de nouveau comme par exemple le savoir contenus la dedans...

Il montre d'une main toute les possessions de leur ancien ennemis avant de continuer sur un ton enjouée comme un enfant devant des tonnes de jouets. Il semble en avoir même oublié ses propres blessures physiques.

[LIONNEL] - Je peux ?.... Je, s'il vous plaît. Je peux, je peux?...

Il agit de manière très insistante et n'a qu'une hâte se plonger dans l'étude du sceptre et des objets qui appartenait a Ketil. C'est tout juste si le monde autour de lui existe encore tant il semble obsédé par tout cela.