SC: LE POIDS DES REMORDS - CH5: A présent, le Passé

[Anne Rexit]

Dans la limite de ses faibles moyens physique, Anne s'est lancé à fond dans la tache de débarrasser le manoir des vestiges humains qui le souillent.

Le dernier voyage fait elle reste un moment dehors, sous l'orage, les yeux regardant le ciel; la violente averse continue de délaver les traces de sang et de sanie qui souillent les vêtements de protections qu'elle a mis.
*Vivement qu'il arrête de pleuvoir pour qu'on puisse bruler tout ça ! Il faut absolument incinérer ces corps.*

En rentrant dans le manoir voit toutes ces traces qu'ils ont laissées. Elle va chercher un balai brosse et commence a nettoyer le sol, dalle par dalle, s'acharnant sur chacune jusqu'a ce qu'elle soit impeccablement propre

Elle fatigue de plus en plus, les autres voient son rythme qui se ralentit, mais elle insiste, elle s'acharne.

Une idée fixe tourne dans sa tête :
*nettoyer les dalles, il faut nettoyer les dalles, sans s'arrêter souffler toutes les demi-dalles…*

Elle en oublie les corps à incinérer...

[Sarah Lejeun]

Sarah a retiré les vieux vêtements utilisés pour se protéger quand il fallait sortir les corps de la bibliothèque ou ce qu'il en restait.

Elle se trouve près d'Alicia.

[SARAH ]- Je pense que ceux-ci on peut les jeter...
Beurk, c'était dégoûtant. Tu sais que lors de ma première année de médecine, pour mon bizutage, on nous a obligé à entrer dans un tonneau plein de sang et de viscères ?
Cela m'avait semblé moins horrible à l'époque... Ici même si ces hommes avaient voulu me violer, je ne peux m'empêcher de trouver atroce ce qu'ils ont subi.

Bon je vais récupérer le linge. Je passe par la cuisine pour vous ramener une carafe d'eau. Je dois dire que, comme toi, je vais sauter le repas du soir.
Ensuite, j'irai voir si tout va bien pour Roy.

Tout en parlant, Sarah s'est activée pour allumer un maximum de lumière. Elle a aussi jeté un œil sur l'Oncle Bertus.
Elle parle et bouge beaucoup. La jeune femme se tord les mains et n'arrive pas à se poser dans un fauteuil.
Elle jette aussi souvent des coups d'oeil derrière son épaule.


[SARAH]- Bon, l'eau et puis l'écorché.

Sarah tente de l'humour mais sa voix sonne faux.
Elle part vers la cuisine pour exécuter ses plans. En passant, elle voit Anne et soupire.

[SARAH]- Anne, ménage-toi. Pense à ton dos.

Sarah n'insiste pas. Elle n'insiste plus. Sur son passage, elle allume chaque lampe possible.

[Pike Maton]

[hrp]Désolé du retard mais je ne sais jamais si quelqu'un d'autre doit répondre ou non et j'ai peu de vous couper l'herbe sous le pied[/hrp]


20h
Le gong de 20 heure résonne dans la maison alors que l'orage bat son plein dehors. Des éclairs déchirent le ciel gris et sombre faisant tomber la nuit encore plus vite.Alicia sursaute à la fin de son bouquin tandis que Sarah fini de faire le linge comme si il s'agissait d'une journée ménagère normale. Seule Anne n'a pas fini de frotter et d'astiquer. Elle a l'impression de voir du sang partout sur les murs et le sol et astique sans s arrêter, le visage en sueur par l'effort. Roy de son coté continue à tourner dans son lit en tentant de trouver le sommeil avec le bruit de l'eau qui martèle ses fenetres. Berthus dort toujours profondément, mais sa santé n'est visiblement pus en danger

Un éclair déchire le ciel une nouvelle fois et la détonnation prouve qu'il est tombé non loin de la maison.

Mais aussitot, les lumières clignotent de facon inquiétante

Soudain, tout s'éteint

[Anne Rexit]

Quand la lumière clignote et s'éteint brutalement Anne sursaute et se redresse péniblement. Elle pousse un soupir, il va falloir qu'elle se repose...
Mais il y a encore tant de sang à nettoyer…

Et elle reprend aussi conscience de la douleur aigüe de ses blessures, qui la lancent et la font souffrir, lui vrillant le dos…

Elle pose le balai-brosse au sol et sort son téléphone pour en utiliser l'éclairage.
[ANNE] – Il va falloir allumer des bougies ou des lampes à pétrole, quelqu'un en a vu ?

Elle se dirige alors vers la cuisine pour chercher dans les différents placards.
[ANNE] – Les coupure de courant ça ne doit pas être rare dans une maison si isolée, tonton a surement prévu quelque chose. Je vais regarder dans la cuisine, elle donc voir dans les autre pièces…
A moins que ce soit la machine a laver qui ait fait disjoncter l'installation...

Et elle commence a ouvrir un par un tous les rangements, à la recherche d'une source d'éclairage de secours. De temps en temps un éclair lui fourni un appoint d'éclairage, faisant apparaitre d'autres trainées sanglantes pars encore nettoyées…

[Docteur Alicia Xender]

[ALICIA] - heuuuu...

La piece noire ne l'enchantait pas plus que ca, alors qu'elle était toujours assise sur le fauteuil, jambe croisée sous ses cuisses et le livre posé dessus. Ses sens se mirent à déambuler ici et là, entendant des bruits qui n'existaient pas

*calme toi, ce nest rien!!*

[ALICIA] - Heuuu...y a quelqu'un?? Sarah? Anne?


Ellle pris le livre et le posa à sa place alors qu'elle tentait de se lever doucement.



[ALICIA] - Quelqu'un a la lampe de poche???? Roy l'avait pris quand il poursuivait le pilote alors on est pas dans la merde!

cria t -elle alors qu'elle se rendait compte que les filles n'étaient pas dans la meme piece qu'elle.

[Sarah Lejeun]

Quelqu'un criait. Sarah aurait dû reconnaître la voix. Elle aurait dû comprendre ces paroles. Après tout, elle ne s'était pas tellement éloignée. Elle était juste en train de replier le linge. Elle n'était pas au bout du manoir. Pas seule ... pas toute seule dans le noir...

La respiration de la doctoresse était hachée et rapide. Elle était là immobile, dans le noir, une chemise à la main.

Quand le tonnerre avait grondé, elle avait sursauté. Quand les lumières avaient clignoté, son cœur s'était figé un instant. Quand les lumières s'étaient totalement éteintes, c'est tout le corps de la jeune femme qui s'était arrêté. Une sensation de froid l'avait envahi. La sueur avait commencé à perler sur son front puis dans son dos. Un bruit sourd bourdonnait contre ses tympans.

Elle aurait voulu appeler mais aucun son ne sortait de sa bouche.

La lumière ne revenait pas. L'obscurité... Les monstres...
Son corps se mit à trembler. Sarah enserrant son corps entre ses bras et se replia sur elle-même, accroupie à même le sol.
Des larmes coulaient à présent sur ses joues.

Sarah tenta d'appeler mais seul un filet de voix s'échappa. Son corps se retrouva secoué par des sanglots irrépressibles. Soudain, la pression se déversa hors d'elle et sa voix hurla sa détresse.

[SARAH]- AAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHH !!!!

[Roy Christ]

Incapable de trouver le sommeil. Sans compter que l’injection du truc à Sarah n’était plus vraiment efficace. Ce qui ne signifiait pas qu’il était redevenu un gros bourrin. Ce repos forcé lui avait permis de reprendre contenance.

[ROY] – Sans déconner… Des problèmes électriques maintenant ?

Serrant les dents, il avait commencé à se redresser. Tout son corps lui rappelait sa session d’archéologie en amateur. Un désastre…

[ROY] – Et voilà que les plombs sautent. Va falloir trouver le panneau électrique dans ce manoir beaucoup trop grand.

Se relevant difficilement, Roy subit alors une décharge de douleur. Le cri qu’il vient d’entendre l’a fait se contracter rapidement et intensément. Tout son corps lui rappelle où se trouve toutes ses blessures. Et il y en a partout. Les douleurs se complètent et se recouvrent les unes les autres.

[ROY] – Chier. Ça pique, putain !

Les mains en avant pour ne pas se prendre d’obstacles, Roy commence à crever l’espace entre le lit et la porte fermée. Il l’ouvre et tend l’oreille. Il lève la tête et réalise que lui est au premier et elle au second.

[ROY] – Forcément. Fallait qu’elle m’emmerde jusqu’au bout…

Allant aussi vite que son corps au supplice lui permet, Roy retrouve Sarah dans le noir. Ce bruit qu’il entend, il ne l’aime pas. Ça ne lui plait pas du tout, même !

[ROY] – Sarah ! Tu pleures ?

De nouveau, les mains en avant, Roy avance vers Sarah.

[Sarah Lejeun]

Sarah reconnait la voix de Roy. Pourtant, la jeune femme reste tendue. Toujours accroupie, toujours les bras collés contre son corps. Toujours des sanglots qui secouent sa silhouette fluette.

D'ailleurs quand elle avait entendu du bruit, sa peur avait d'abord augmenté. Celle-ci avait atteint des sommets quand elle avait compris que quelqu'un ou quelque chose était entré dans la pièce.

Au prix d'un effort surhumain, elle se force à tendre la main vers l'homme. Elle y va à tâtons dans le noir. Quand sa main touche le bras de Roy, elle s'en saisit avec violence et se jette violemment contre lui.

Sarah s'accroche à lui et les larmes coulent sur ses joues. Elle finit par arriver à se calmer suffisamment pour pouvoir glisser quelques mots.

[SARAH]- Il fait noir... les lumières... elles se sont éteintes... il fait sombre...

Elle raffermit encore son emprise et dit soudain d'une voix pressante.

[SARAH]- Dans ma chambre ! Allons dans ma chambre ! Vite ! Il y a toutes les bougies que j'avais utilisées quand j'ai pris ma douche !! On va pouvoir refaire de la lumière.

La jeune femme est clairement paniquée et attend une réaction de Roy car elle semble incapable de faire le moindre mouvement.

[Roy Christ]

[ROY] – mm……

Ce n’est pas un mot. Ca ressemble à un gémissement quand Sarah le serre fort entre ses bras. C’est dommage un médecin qui oublie vite ses patients. Et impossible de penser à l’infirmière qu distribue des bisous magiques avec autant de douleurs provoquées.

[ROY] – mm……

Il serre les dents. Il encaisse la peur de Sarah. Mais il n’en reste pas moins un écorché vivant.

[ROY] – Putain, si seulement j’avais pu dormir..

Il a parlé pour lui-même. Mais il se rend compte que ce n’est pas une bonne idée. Alors il reprend vite la parole pour avoir une conversation avec Sarah. Il est venu pour l’aider. Pas pour l’enfoncer un peu plus dans sa peur.

[ROY] – Je vais t’aider à aller dans ta chambre. Parce que tu ne vas clairement pas bien pour me dire tout ça.

Roy aurait plaisanté sur ce qu’elle vient de dire. Sérieusement ? L’inviter dans sa chambre ? Une chambre avec une atmosphère faites de bougies ? Et tout ça avec des images de douche pour chauffer le bonhomme ? Ouais, clairement, Sarah va pas bien…

[ROY] – Je suis pas contre un câlin mais c’est pas le moment. Tu voudrais pas plutôt mettre ta main dans la mienne ? Promis je la lâche pas et je t’emmène dans ta chambre.

Sa voix se voulait rassurante. Grave elle l’était. Elle vibrait même d’une douleur contenue.

[Sarah Lejeun]

La respiration de Sarah reste difficile et, pour le moment, son corps se presse toujours contre celui de Roy comme si elle pouvait se fondre en lui pour fuir l'obscurité qui la cerne de partout.

Les mots, ses mots finissent quand même par traverser les limbes de son esprit terrifié. La chambre. Il a promis de l'emmener à la chambre. Le souvenir des nombreuses bougies qui s'y trouvent donne le courage à la jeune femme de s'éloigner un peu de Roy.

Sa main se glisse dans la sienne, comme il le lui a demandé.
Cependant, la jeune femme serre fort cette main. Sa voix, quand elle prend la parole, est rauque et basse mais pas plus forte qu'un chuchotement.

[SARAH]- Oui, oui. A la chambre... il y a des dizaines de bougies là-bas... On sera en sécurité.

Tout d'un coup, comme frappée par une évidence, elle tourne violemment la tête vers son cousin et, par réflexe, resserre ses doigts sur sa main avant de parler avec précipitation.

[SARAH]- Et Anne ? Et Alicia ? Tu sais si elles vont bien ? ... il faut les retrouver. D'abord, il faut les bougies puis les retrouver ! (elle semble réfléchir un moment) Il y avait bien une torche électrique... elle est où ? Et il doit y en avoir d'autres vu la taille du manoir ...

La jeune femme fouille dans ses souvenirs pour déterminer où elle aurait pu voir des lampes de poche. En attendant, elle se laisse guider par Roy mais avance doucement. De plus, au moindre craquement du plancher, elle sursaute puis se fige tout en raffermissant sa poigne sur la main de Roy.

[Pike Maton]

[hrp]Essayez de ne pas trop faire avancer l'histoire les ptis lou. Vos perso sont dans des pieces différentes alors marquer vers quelle piece vous vous rendez plutot que marquer que vous y arrivez

Sarah, trés trés bon RP comportemental! [/hrp]

Alors que Anne est dans la cuisine occupé à ouvrir tous les placard, Roy et Sarah parlent dans la chambre à l'étage du dessus. Anne n'entend rien vu la distance qui les séparent et le bruit de l'orage contre les fenetres rendent encore plus inaudible ce qui se passe. Seule les tromboscope d'éclair produisent une lumière acceptable pour bouger sans se casser la tronche sur un objet. grace à cela, Anne trouve la boite à fusible dans un des placards de la cuisine

Roy et Sarah entendent alors des bruits de pas. Lourd et loin d etre discret. Ils entendent ces pas finir la volé de marche du hall et arriver a la hate dans le couloir . La voix d'alicia semble appeler mais on n'entend pas ce qu'elle dit, pour les memes raison

Sarah met alors enfin la main sur la bougie et le briquet mais, tremblante, elle ne parvient pas à l'allumer

[Roy Christ]

[ROY] - QUI EST LA ?

Sarah a placé sa vie dans sa main. Il ne doit pas la laisser tomber maintenant. Parfois, dans des éclats de lucidité, Roy se demande si ce n'est pas celle la plus pragmatique et la plus utile dans leur petit groupe improvisé. En tout cas, difficile pour son ego de dire que c'est lui qui fait tout : preuve en est qu'il est encore dans un état critique...

[ROY] - ON JOUE PLUS ! SI JE N'AI PAS DE REPONSES, JE N'HESITERAIS PAS A TIRER !

Il n'a pas pensé à prendre le fusil. Il n'est même plus de savoir où il se trouve de toute façon... Ce que la personne en face ne peut pas savoir ! S'il est assez bon dans son intimidation, il ne devrait pas y avoir de problème. Pas un supplémentaire en tout cas.

[ROY] - Laisse-moi t'aider, Sarah.

Roy aide à allumer les bougies.

[Anne Rexit]

Se guidant dans la lumière stroboscopique créée par les éclairs Anne commence à fouiller les placards de la cuisine.
Assez rapidement elle trouve le tableau électrique principal, dans le placard près de la porte de la cuisine.

Elle l'annonce aux autres, en espérant qu'ils puissent l'entendre :
[ANNE] – J'AI TROUVÉ LES FUSIBLES

Mais elle a beau contrôler tous les élément et actionner plusieurs fois le disjoncteur, rien ne se passe. Impossible d'avoir de l'éléctricité.
[ANNE] – MAIS LE PROBLEME N'EST PAS CHEZ NOUS

L'orage a du faire sauter un disjoncteur principal, ca devrait être rapidement remis en service.
A moins qu' un arbre ne soit tombé sur la ligne et ne l'ait coupée. Il faudra alors des jours pour rétablir l'alimentation électrique.
[ANNE] – SAVEZ-VOUS SI TONTON A UN GROUPE ELECTROGENE ?


Elle continue donc à fouiller dans les placards, toujours à la recherche de bougies ou d'une autre source d'éclairage, s'arrêtant de temps en temps pour nettoyer les trainées de sang qu'elle entraperçoit à la lueur des éclairs.

Va-t-elle trouver une source alternative d'éclairage ou va-t-il falloir qu'elle en improvise une ?

[Sarah Lejeun]

[hrp]Merci. [/hrp]

Sarah a les mains qui tremblent. Près de trois allumettes brisées témoignent de son incapacité à allumer la bougie. Elle cède, en conséquence, cette tâche à Roy, d'autant plus que les bruits de pas dans le hall ont fait naître une nouvelle vague de terreur en elle.

Elle a glissé au sol et se cramponne, dans un premier temps, à la jambe de Roy.

*Noir ... monstre .... pas.... se rapproche... Nooonnn, pitiééé !*

Les pensées de la jeune femme s'emballent. Elle n'arrive pas à réfléchir, cernée comme elle l'est par cette obscurité menaçante et morbide, tant externe qu'interne.
Les pas se rapprochent. Sa terreur atteint un tel sommet que la jeune doctoresse se bouche les oreilles des deux mains. Elle ferme les yeux et se recroqueville, davantage encore, sur elle-même.

Sarah aimerait disparaître. Cet endroit est maudit. Elle va s'y faire massacrer. Ses pensées retrouvent les images des corps mutilés qu'elles ont sortis avec ses cousines.

*Je vais finir comme cela ! Oh mon Dieu par pitié, pas cela ..."

Paralysée par la peur, la jeune femme reste là au sol, telle une poupée démente désarticulée.

[Roy Christ]

Voir Sarah au sol dans un tel état atteint le cœur de Roy. Si elle craque, les autres vont craquer à leur tour. Il est même obligé de s’avouer que lui aussi prendra ce chemin. Et c’est inadmissible ! Plus que jamais, il faut que le groupe soit soudé. Ce qui leur tombe dessus dépasse leur raison.

[ROY] – Sarah. Sarah, écoute-moi.

Mais quoi lui dire ? Quels sont les mots qui pourraient la toucher et la délivrer de la peur qui l’enserre de ses griffes noires ? Roy n’en sait foutrement rien. Il commence alors par s’accroupir tout en desserrant les mains autour de sa jambe.

[ROY] – Personne ne te fera du mal. Je suis là et je te protègerais. Je suis prêt à… faire ce qu’il faut.

Dire qu’il est prêt à souffrir de nouveau, à souffrir davantage que maintenant n’est pas ce que Sarah veut entendre. Mais Roy réalise que c’est vrai. Ce sont surement toutes les merdes accumulées en un rien de temps, mais il sent une connexion. Quelque chose qui devient fort. Peut-être ?

[ROY] – Sarah ! Regarde-moi.

Les pas se rapprochent et il faut un déclic ! Alors Roy décide d’embrasser Sarah !