de Wolfgang le Dim 17 Fév 2019 01:24:54
Arcadia siffle . Les vents se lèvent alors et se mettent à enfler encore et encore. Ils gonflent jusqu'à générer une tempête qui se veille et tourbillonne, formant une petite mais puissante tornade qui la soulève, elle et son assaillant, dans les airs, les faisant virevolter et tournoyer comme dans une essoreuse, avant de les recracher en les expulsant violemment. Les deux corps sont éjectés de part et d'autre et chutent lourdement sur le sol.
Sous la violence du choc, Arcadia perd connaissance
[hrp]et 1d6 PV[/hrp]
Quand elle revient à elle , elle est attachée à la paroie rocheuse et humide d'une grotte par des chaînes.
Un feu est allumé à quelques mètres, autour duquel des hommes, au nombre de 8, discutent. Elle reconnaît parmi eux ses deux agresseurs, dont celui qui s'est "envoyé en l'air" avec elle , c'est à dire, celui qui à été emporté par la tornade. Celui-ci reçoit des soins d'un individu qui lui applique des onguents.
Arcadia remarque que des onguents similaires lui ont été appliqués à elle aussi sur ses plaies et hématomes. Son bâton et ses autres effets personnels, exceptés ses vêtements, lui ont été confisqué. Elle est bâillonnée, sans doute en vue de l'empêcher de siffler de nouveau.
L'homme aux onguents tourne alors sur elle son attention et remarque son réveil :
[SOIGNEUR] - Ah ! Voilà notre belle et mystérieuse inconnue qui commande les vents revenue à elle... Tu ne nous en voudra pas, mais nous te préférons muette pour l'instant, d'où ce bâillon. Nous te le retirerons lorsque nous serons certains que tu ne chercheras plus à siffler ton méchant petit air de tempête.
Comment Arcadia peut-elle se sortir de cette délicate situation ?
"Les cheveux blancs sont une couronne d'honneur; C'est dans le chemin de la justice qu'on la trouve." PV 16,31
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