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La calèche du comte
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*voix sèche*
Le lépreux s'apelle Karg. Pour retrouver Merg, je peux m'en charger, mais j'ai besoin d'une calèche... fermée si possible... Je devais le retrouver... *réfléchit au temps passé* dans moins d'une heure maintenant... devant le palai... En fait, s'il *désigne le comte* est pas trop gravement touché, c'est là-bas qu'on devrait tous aller... Au moins, les gardes seront de taille... *A Alienor* Ouai ma jolie, ils viendraient ici... Ce genre de chateau est même un régal pour les pilleurs pour ce que j'ai pu en voir. Son éloignement est une force...mmm... dissuasive... Mais aussi une faiblesse en cas d'attaque : peu d'espoir de secours Karg n'en dit pas plus, mais il semble parler en connaisseur * En quittant la lumière, elle n'a jamais atteint les ombres... Elle erre, perdue entre deux mondes... semant sans cesse peine, douleur et destruction... en voulant servir le bien *
Grulf acquiesce et votre surprise à tous est grande lorsque le comte prend la parole dune voix faible.
Je saurais vous suivre, nayez crainte. Les talents de Grulf sont multiples et les herbes nont pas de secret pour lui. Dans les yeux du comte, vous discernez un respect et une confiance absolue envers Grulf. Ces deux là ont du survivre à bien des épreuves côte à côte. Le voyageur semble rassuré sur ses talents de guérisseur. Létat du comte semble stable. * Le comte * Jai acheté dernièrement quatre chevaux qui nont pas encore du être marqué de mon sceau. Même sils ne sont pas aussi bien dressés que mes meilleures montures, nous devrions nous contenter deux. * Grulf * Et bien Karg, tu nous montrera le chemin. Le voyageur sengouffre alors par le passage secret pour sortir de la pièce. Quelques minutes plus tard, vous êtes aux portes de lécurie. Puisse Gaïa veiller sur vos pas.
Alienor se tint pres du comte pour le soutenir, et resta pres de lui.
Se tournant vers ses compagnons, elle tenta de sourire Alors, nous allons rejoindre son mentor... Je suppose que nous avons le temps d'y reflechir et d'en discuter, mais... et apres ? Elle secoua la tete Nous verrons cela plus tard... Le temps de sceller les chevaux, vous m'accorderiez 5 minutes ? Si nous devons partir, meme si vous avez des amis, il me semble qu'il serait bien de ne pas partir les mains vides, non ? ... enfin je ne sais pas Elle se mordit la levre et haussa les epaules, ses yeux sombres refletant son inquietude fixés sur les trois hommes. "Quand on veut plaire dans le monde, il faut se résoudre à apprendre beaucoup de choses qu'on sait par des gens qui les ignorent. "
"L"amour n'est pas seulement un sentiment, il est un art aussi. "
Il tique un peu quand la belle parle de "mains vides"...
Mmmm... ... et l'estomac vide ... Karg commence à sceller une des plus petites montures, et s'y prend comme un pied... Ca semble presque un coup de chance que la selle soit dans le bon sens... Comment ça marche ce truc... ? *gromelle* T'inquiète, la belle, on va y aller en douceur, et éviter les rencontres, en passant par les sous-bois plutôt que la route... Simple précaution... Une fois au palai, on sera largement protégée héhé... * En quittant la lumière, elle n'a jamais atteint les ombres... Elle erre, perdue entre deux mondes... semant sans cesse peine, douleur et destruction... en voulant servir le bien *
Grulf semble assez daccord avec la jeune femme.
Pour largent, nous devrons nous contenter de ce que nous avons. Au pire, je connais quelques gredins qui me doivent un peu dargent. Par contre, quelques vivres ne seraient pas de trop. La cuisinière devrait avoir ce quil faut. Vous pensiez peut-être à autre chose ? Grulf passe derrière Karg et attache un peu mieux la selle de ce dernier en lui donnant deux ou trois petits conseils. Les sous-bois, cest une excellente idée, mieux vaut ne pas être vu sur la route effectivement. Dun autre côté nous avancerons moins vite et notre piste sera plus facile à suivre. Enfin, une fois à Fort-le-kirkch, nous serons à labri des pisteurs. Puisse Gaïa veiller sur vos pas.
hé hé, merci *dit'il à Grulf quand il remet correctement la selle*
j'espère que je vais pas me planter sur ce grand machin... en tout cas, facile à suivre ou pas, faudra au moins faire l'effort de pister *clin d'oeil* sur la route, on suit la route ! ha ha ! Il semble fier de sa vanne qui ne fait rire que lui... Et se renfrogne rapidement, fidèle à lui même Ouai, bon ça va... J'essayais d'être drôle pour changer... ... Vais voir la cuisinière * En quittant la lumière, elle n'a jamais atteint les ombres... Elle erre, perdue entre deux mondes... semant sans cesse peine, douleur et destruction... en voulant servir le bien *
Après une dizaine de minutes, vous vous mettez en route. Karg et Belle-de-nuit ont été jusque la cuisine chercher quelques provisions et deux ou trois bricoles...
(hrp : Prière de me dire ce que vous emmenez exactement... Le comte dispose de pas mal de chose : Provisions, couvertures,quelques armes parmis les plus courantes... ) La forêt n'est guère loin et vous couvrez rapidement la distance qui vous sépare d'elle. S'enfoncer dans les bois n'est ensuite qu'un jeu d'enfant... A plusieurs reprises cependant, vous mettez pieds à terre... La piste étant trop étroite ou trop basse pour passer avec des chevaux... Après une demi-heure, vous entendez un bruit de galop en contrebas, sur la route. Grulf vous impose le silence d'un geste et écoute attentivement. Cinq cavaliers, et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'ils sont pressés. De son côté l'étât du comte n'est pas au beau fixe... Il faut dire que l'équitation pour un homme blessé, ce n'est pas ce qu'il y a de mieux... Nous avons presqu'une heure d'avance sur eux, si on compte sur le temps qu'ils mettront à entrer dans le château... Si le comte tient jusque là, nous serons arrivé à Fort-le-kirkch. Grulf ne se trompe pas et près d'une heure plsu tard, vous apercevez les mur de fort le kirkch. Et bien les enfants, à vous de nous guider. Puisse Gaïa veiller sur vos pas.
Karg cherche parmi les armes quelques instants, et semble assez satisfait. Sa capuche dissimule ses traits, mais on peut cependant deviner un sourire alors qu'il s'approche de la belle...
D'un geste vif, il lui tend une dague très fine à la garde très étroite et la lame éffilée, manche vers elle... Prend ça, au cas où tu n'aurais pas le choix, tu me remercieras... C'est une arme de femme, idéale pour glisser dans la manche ou la botte, presque invisible, et qui peut être sortie rapidement Il éclate d'un rire gras et caverneux, empli de cynisme. Imagine que je veuille t'embrasser Il poursuit ses petites courses et se fait un baluchon à l'aide d'une couverture, qu'il rempli pour le groupe d'une bonne miche de pain, d'un jambon complet fumé choisi bien gras, de quelques gourdes de vin et d'eau, d'un couteau de boucher pour le jambon... Vous auriez un briquet à amadou, et un peu de suif ? *a la cuisinière effrayée* Et... les petits remèdes du comte aussi, ça pourrait être utile... Allons allons ma bonne, je vais pas vous manger, promis... Attendant son retour, il chippe un esse de boucher et une cordelette suffisante pour attacher les poignets d'une personne ---- Plus tard sur la route, il soupire de soulagement en entendant le galop de leurs poursuivants C'était juste... Une sacrée mauvaise rencontre d'évitée... Il jette à peine un oeil au comte et à la belle de nuit ---- Arrivés en ville... Merg a dit à l'entrée du palai... Mais je sais pas où c'est moi, z'avez vu ma tronche ? Je connais pas ce quartier... * En quittant la lumière, elle n'a jamais atteint les ombres... Elle erre, perdue entre deux mondes... semant sans cesse peine, douleur et destruction... en voulant servir le bien *
Le palais n'est guère difficile à trouver dans la ville de Fort-le-kirkch et après quelques minutes, vous immobilisez les montures face aux grilles.
Le comte somnole à moitié et Merg est absent. Deux gardes se dressent devant le château jettant de temps à autre un regard méfiant aux nouveaux arrivants. Puisse Gaïa veiller sur vos pas.
Karg fait un signe discret de salut au garde, s'en s'approcher réellement : même avec la lettre remise par Merg, il n'est pas pour autant bienvenu, et son apparence rendra immédiatement le garde hostile...
Par contre, il montre le comte dans un triste état au garde, espérant que l'homme d'arme reconnaisse en lui un noble habitué à la cours de Fort-le-Kirkch ... Des soins pour le comte ... *fait comme si cela était une évidence qu'ils pouvaient entrer, et que ces soins allaient de soit* * En quittant la lumière, elle n'a jamais atteint les ombres... Elle erre, perdue entre deux mondes... semant sans cesse peine, douleur et destruction... en voulant servir le bien *
Le garde reconnaît le comte et s'écarte pour laisser ce dernier passer. Il hésite quant à la conduite à tenir au sujet de Karg mais à la grande surprise du lépreux, l'autre garde intervient.
Laisse, je le reconnais, c'est un ami du comte, il ne posera pas de souci. * L'autre ahuri * Un ami du comte... * Le premier * Oui, son conseiller. Laisse le passer je te dis... Karg passe donc avec le reste de la troupe. Le garde ayant intercédé en sa faveur lui fasant discrètement signe de se taire. Puisse Gaïa veiller sur vos pas.
Heureusement que Karg se tenait fermement à sa monture, sinon, la surprise l'aurait désarçonné...
Il en reste pantois un long moment, suivant bêtement les autres, non sans un dernier regard discret au garde... " Un rêveur, encore ?" Nous voilà donc arrivés... Il regarde partout autour de lui, noyant ses yeux et son esprit devant tant de luxe... Il n'avait encore jamais vu aussi bien que chez le comte, alors là !!!! * En quittant la lumière, elle n'a jamais atteint les ombres... Elle erre, perdue entre deux mondes... semant sans cesse peine, douleur et destruction... en voulant servir le bien *
Mon ami ???
Merg ??? C'est plutôt le votre, non ? J'en sais rien, d'où il est moi ! Il a dit rendez vous ici, c'est tout ce que je sais... Je sais aussi qu'il a pas forcément eu plus de chance que nous... et qu'il est peut-être en train d'essayer de semer ses poursuivants... M'est avis qu'on ferais mieux d'attendre encore un peu... * En quittant la lumière, elle n'a jamais atteint les ombres... Elle erre, perdue entre deux mondes... semant sans cesse peine, douleur et destruction... en voulant servir le bien *
Quelques minutes se sont écoulées lorsqu'un jeune garçon se rapproche de vous. Il s'adresse timidement à Karg sans oser s'approcher.
C'est vous le lépreux ? Puisse Gaïa veiller sur vos pas.
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