[Narcisse] Sortir de sa prison morte

[Zoorin]

[hrp][Merci de mettre ici les résultats de jets. Ça fera moins de mp Enregistrement N° : 13992 -> échec][/hrp]

Narcisse, nerveux, n'entend rien et se contente de hausser les épaules au vieillard. Celui-ci indique alors la sortie et les deux hommes s'y dirigent, longeant toujours les murs et scrutant l'ouverture, les buissons lointains du parc et les massifs de fleurs entre eux et une forêt qui barre l'horizon.

Soudain, les deux hommes se figent en entendant derrière eux la porte devant laquelle est passé Narcisse s'ouvrir brusquement, et quelqu'un en sortir. Le vieillard semble trop surpris et ne réagit pas.

[hrp][Que fais Narcisse ?][/hrp]

[Alex]

[hrp]sorry j'avais filtré et jai oublié le forum [/hrp]

Narcise se tourne à 360°, son arme braqué dans la direction et s'abaisse avec un genoux au sol

[Zoorin]

Narcisse voit une personne en habit de lin blanc avec un pistolet étrange, très gros, qui descend calmement son arme vers lui pour le viser. Il s'est décalé et est dos au mur, et dans l'encadrement de la porte ouverte, une autre personne, une femme habillée pareil est dissimulée.

[hrp][Alex, tu as un tout petit plus que ton adversaire en Confrontation. Tu peux agir donc avant lui (crier, parler, tirer, ou lui offrir des fleurs) Si tu tires, fais un jet sous ta compétence, maintenant, tu l'as. Ni bonus ni malus dans notre cas.][/hrp]

[Narcisse]

Narcisse ne sait pas trop ce qu'il est supposé faire dans pareille situation.

Par réflexe, il tend son arme en direction de l'individu et s'entend dire

Police d'Athènes! Lâchez votre arme!

[Zoorin]

L'homme n'est aucunement influencé par la sortie de Narcisse et tire. Narcisse ressent une grande douleur dans l'épaule gauche, le choc le poussant en arrière contre le mur et le déséquilibrant légèrement. Sidéré par la souffrance, le néphilim regarde le lieu de l'impact sur le corps de son simulacre, et voit une sorte d'aiguille de métal de petite taille profondément fichée dans sa chair. Dans le même temps, il entend Cedrak hurler :

Par tous les dieux, Narcisse.

Levant les yeux, il voit une lueur sincère de désolation dans les yeux du vieillard, vite remplacée par une flamme de colère. Se retournant, il tend une main vers l'homme et lance d'une voix inhumaine :

ødeleggelse !

Immédiatement, la main de l'homme gonfle et plusieurs fissures se forment sur sa peau, laissant échapper du sang. Il se met à crier de douleur et lâche son arme. Sans plus s'en occuper, Cedrak fonce vers Narcisse et lui demande :

Comment ça va ?

[hrp][Pour l'instant, à part la douleur, rien ne se passe. Narcisse peut encore tenir son arme et tirer, avec un malus de 10%][/hrp]

[Narcisse]

Pour l'instant, je peux pas dire que j'ai connu pire! Surveillez le couloir!

Narcisse se redresse et machinalement arrache l'aiguille qui est dans sa peau. Il court alors en direction de l'individu, en le tenant à l'œil, aussi bien lui que la femme qui se trouvait là. Arrivé à proximité, il tape du pied sur l'arme pour l'écarter de la trajectoire et s'approche du suspect

Ne bouge pas Connard ! Combien êtes vous dans le bâtiment ?! C'est quoi cette fléchette que tu viens de m'envoyer ??! Répond !

[Zoorin]

La femme est stupéfaite par la blessure magique de son compagnon et reste figée la bouche ouverte. L'homme relève la tête et éructe :

Maudits soyez vous ! Ómiros est dans le parc et il arrive. Vous allez souffrir.

Tout en se tenant la main, il se redresse et regarde NArcisse avec un air de défi. Sa compagne s'avance et lui passe un bras autour de la taille demandant tout bas :

Ça va ? Tu n'a pas trop mal ?

Cedrak s'avance vers Narcisse et lance :

Bon, visiblement leur chef se nomme Ómiros, il doit avoir des pouvoirs et je pense qu'on ne devrait pas trainer. Filons !

[Narcisse]

Narcisse ne tiens pas compte des remarques du vieux. Il empoigne la main blessé de l'inconnu dans sa poigne gauche et la sert tout en pointant son arme sur sa gorge de la main droite d'un air menacant, en l'a faisant rentrer dans sa chair


Ecoute connard, j'ai pas envie de rire alors toi et ta copine vous allez vous dépéchez à me dire ce que vous savez sinon tu vivra pas assez vieux pour voir tes enfants grandir

Combien etes vous dans cette propriétée?! Ou sont les sorties de secours pour partir sans etre vu!? Est ce qu'il y a un garage avec des voitures?! Et c'est qui ce Ómiros?! Il trempe dans quoi!

Dépéches, j'ai pas toute la journée!

[Zoorin]

Grimaçant et gémissant, l'homme se débat mollement, surtout tendu par la douleur. Sa compagne est épouvantée et reste figée. L'homme regarde le néphilim dans le yeux et éructe :

Va te noyer dans les flots d'Hadès, voila tout ce que je te dirais. Ómiros me vengera.

Cedrak est surpris par la soudaine activité de Narcisse et semble visiblement sceptique sur ses méthodes. Il dit :

Je n'ai pas envie que cet Ómiros ai la possibilité d'exercer sa vengeance sur nous. Je vous propose de repartir par là d'où nous sommes venu, tout simplement. Et surtout en ne perdant pas de temps. Je n'ai pas du tout envie de devoir vous trainer si le produit que vous avez dans les veines vous assomme ou vous endort. Abattez le si vous le voulez, et partons.

[Narcisse]

Narcisse est surpris de remarquer que sa tentative d'intimidation ne fonctionne pas, mais encore plus surpris de constater que cet homme semble connaitre sa véritable nature. Discuter ou le menaçer en tirant sur sa femme par exemple en prenant soins de ne pas viser une zone sensible pourrait sans nul doute faire avancer les choses. Mais le vieillard avait raison...Le produit qui coulait en lui, sans doute un soporifique attestant qu'on voulait le prendre vivant, n'allait pas tarder à faire son effet.

Et il fallait réagir sans perdre une seconde.

Il donna un coup de crosse sur la tempe du blessé afin de l'assomer, ramassa son arme par le canon afin d'avoir les empreintes de son agresseur et en savoir un peu plus sur ce qui l'entourait. Restait à ne pas garder de témoin.

S'assurant que l'homme était bien inconscient, il braqua son arme vers la femme et pris son air le plus menaçant possible afin qu'elle lise dans son regard sa volonté d'aller de l'avant quelque qu'en soit les conséquences.

Vous! Vous venez avec nous!

Il l'empoigna par le bras et la plaque visage contre mur d'un coup sec pour s'assurer qu'elle ne portait pas d'arme à la ceinture ou sur elle. Il l'attrapa alors par la nuque et la força à avancer, son arme pointer dans son dos.

- Allons y, je vous suis. Cette femme va nous montrer la sortie la plus sure sinon je la bute!

Un caractère semblait surgir du plus profond de ses entrailles à mesure que s'écoulaient les secondes...

[Zoorin]

Le coup que Narcisse porte à l'homme l'étourdit et il s'affale sur le sol. La femme ne possède pas d'arme, ni quoi que ce soit d'ailleurs avec elle. Terrifiée, elle obéit à Narcisse sans opposer de résistance. Le vieillard ne semble vraiment pas heureux de se trimballer avec cette femme et lâche :

Elle va nous ralentir plus qu'autre chose. Je sais par où sortir, et dehors nous pourrons prendre votre voiture ou la mienne. Vous voullez vraiment vous encombrer avec elle ?

[Narcisse]

Ne vous inquiétez pas pour elle, j'en fais mon affaire. Si elle fait un pas de travers, je la descend.

Il se tourne vers la fille et la regarde fixement

Bon montre nous le moyen de sortir sans nous faire repérer. et fait attention à ne pas me mettre à bout avec un tour à la con

Allons y

Il pousse la jeune femme en avant d'un geste de la main en braquant son arme dans son dos, et met le pistolet soporifique dans son dos en prenant soins de ne pas toucher le manche de ses doigts

[Zoorin]

La femme est toujours aussi terrifiée, et se dirige vers la porte d'entrée, le pas rigide. Arrivant sur le seuil, elle s'arrête et dit :

Je sais pas ... Je connais que la grande entrée * tend une main vers la droite * par là. Je crois pas ... je crois pas qu'il y en ai d'autres.

Narcisse la pousse un peu et regarde dehors. La maison est assez grande. Elle est au milieu d'un parc arboré avec, près de la maison, de grandes pelouses et des massifs de fleurs bas. Plus loin, à une centaine de mètres débute une forêt qui entoure également la maison. Au pied de cette dernière, juste devant Narcisse, une petite cour de gravier est traversée par un chemin. Sur la gauche, il abouti à la porte d'un grand garage fermée. Sur la droite, il traverse la pelouse et s'enfonce dans la forêt. Narcisse se dit bien que s'il y a des gens aux fenêtres du premier étage, il pourront prendre le temps de viser pour faire un carton, qu'ils aillent tout droit ou qu'ils suivent le chemin. Cedrak dit :

Nous, nous sommes venus de part là * montre la gauche * La forêt est un peu moins loin de la maison.

[Narcisse]

Je n'aime pas ca du tout.

Êtes vous venus en voiture ou à pied?


Il regarde brièvement le vieillard pour appuyer le fait qu'il lui parle, mais il tente de se remémorer les événements de sa vie qui l'ont conduit dans de pareilles situations. peut être parviendra t il à sentir la présence d'un sniper?

[Zoorin]

Cedrak acquiesce en disant :

Mais vous avez aussi garé votre voiture non loin.

Narcisse regarde dans la direction et se dit qu'effectivement, du premier étage de la baraque, un tireur aura bien pas mal de temps pour viser. Dans ce cas, il faut courir le plus vite possible sans aller tout droit, pour lui compliquer la tache, si possible en lui tirant dessus de temps à autre pour le stresser. Mais bon, la lisière de la forêt est bien à soixante quatre vingt mètres, et les massifs de fleurs situés de si de là font pas plus de vingt centimètres de haut...

[hrp][Excuse, je t'ai loupé.][/hrp]