La confrontation

[Zoorin]

Irpav hoche la tête, puis répond :

Pas de soucis, je vais leur expliquer ça clairement. Je vous descend combien d'hommes pour vous accompagner ?

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La vampire émet un petit ricanement, et se tait.

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L'esprit de la Tisseuse répond immédiatement avec une voix métallique et sans émotion :

[Voir Mp, aucune raison que les autres soient au courant. ]

[Ertaï]

Et ça te fait rire connasse?

Lili passe derrière la vampire, prête à lui asséner un coup de pied entre les omoplates pour la faire chuter en avant.
Elle amorce le geste et s’arrête abruptement quand elle se rend compte que la sangsue doit agir ainsi avec une bonne raison. Elle ne doit pas se laisser manipuler ! Mais ce n’est pas pour autant qu’elle doit bouder les petits plaisirs qui s’offrent à elle. Le coup part, un coup de talon bien ajusté entre les épaules.
la Cliath prend ensuite une grande inspiration.
*Elia María González-Álvarez, tu dois te calmer. Le cadavre n’a aucun pouvoir sur toi. Tu dois te calmer…*
Après cette injonction d’autocontrôle elle fait à nouveau le tour de la sangsue et renouvelle son inspection, s’attardant à nouveau sur les liens et vérifiant qu’Asenka n’ai rien récupéré et caché sur elle.

Si tout est conforme elle redescend du fourgon et s'installe contre la porte ouverte de manière à pouvoir surveiller attentivement la vampire. Sauf contre indication, elle restera ainsi jusqu'à l'arrivée des invités. Elle remontera alors dans le fourgon en fermant la porte derrière elle.

[Efflam]

Après quelque instants cassiopée semble sortir du "cirage" . Elle regarde vers le plafond.

* le plafond supportera t-il le poids du bestiau? Bof de toute facon si je la fait traverser ce sera directement dans le hangar.

Bon j' espere que le shadow lord va comprendre le cryptage des mots. *

Tout en restant assise en tailleur Cassiopée crie un instant.

Marek c'est ok pour la télésurveillance. Et en cas de grosse galere j'aurais un renfort d'urgence a pas piquer des hanetons. Mais c'est pas du subtil.

Au fait je vois pas la gamine. Elle a rien de grave au moins?

Prenant à peine le temps de verifier si Marek répond ou es trop ocupé pour cela elle se masse les tempe a nouveau et repard quelques rares secondes dans ses pensées avànt finalement de se relever.

Bon et ce flingue il vient?

[Angus]

Marek répond à Irpav, après une courte réflexion.

Cinq hommes devraient suffire... Avec Yvan et Lili, cela fera sept, c'est assez.

Puis Cassiopée crie, il lève le nez, sans répondre... il revient sur Irpav, s'apprêtant à ajouter quelque chose... mais la Théurge continue de poser ses questions. Il se tourne vers elle, lui fait signe que les dispositions prises lui conviennent, par un pouce levé vers le haut, puis indique sa direction à Irpav.

Tu peux lui fournir une arme ? Je dois aller faire un dernier point avec les mercenaires.

Marek essaiera ensuite de parler aux chefs des mercenaires, histoire de s'assurer que tout va bien de leur côté avant la phase finale de l'opération.

[HRP : désolé, j'ai pas été trop dispo cette semaine, mon post est pas top top...]

[Efflam]

Cassiopée n'attend meme pas l'arrivée de l'arme toujours de bout elle serre tres fort la prise de courant arrachée tout en s'acrochant a la poutrelle.. Ses pensées semblent se meler au paroles dans son semi-delire fievreux.

Toi ma salope tu vas arreter tes conneries... [/i]

suite reponse MP Zoorin.

[Zoorin]

Un homme d'Irpav, sous l'injonction de son chef, s'approche pas très rassuré de Cassiopée, la prenant visiblement pour une folle défoncé à il-ne-sait quelle drogue bien dure, et lui tend un Walter P22 et un chargeur plein en plus. Puis, il retourne dans les bureaux.

Pendant ce temps, Irpav sélectionne cinq de ses hommes en leur demandant de se placer en bas, pour protéger Marek. Les cinq descendent rapidement, et Irpav ferme à clef derrière eux. Puis, il remonte se mettre en position, en fermant à nouveau la porte derrière lui.

Lily passe la tête par la porte arrière du van et regarde la situation. En face d'elle, une grande double porte de métal fermée. Le van est bien au centre du hangar. A ces côtés, un groupe d'homme qui commencent à entourer le van, avec Marek et Yvan. Marek, lui, décroche son portable et contacte le chef des mercenaires pour s'entretenir avec lui. Mais il a à peine le temps d'entendre "oui ?", qu'un bruit de moteur qui s'approche des grandes portes, puis s'arrête, fige tout le monde.

Quatre bruit de portières qui s'ouvrent. Et se ferment.

[Zoorin]

[Pour être bien certain que chacun sache bien où il est, ce qu'il peut faire et ne pas faire. Comme d'hab', en cas de doute, demandez.]

[Ertaï]

[Pour moi ça roule. A mon sens Lili faisait le guet juste à côté du fourgon en attendant les vampires. Du coup, comme la voiture est arrivée, elle remonte effectivement dans le fourgon et referme la porte derrière elle. Pour attendre les consignes.]

[Angus]

Marek glisse rapidement un "Ils sont là, tenez-vous prêts !" avant de raccrocher. Il jette un lent regard circulaire, se forçant à expirer entièrement en même temps.. tout est-il vraiment en place ?? Puis il ferme les yeux un bref instant, re-mobilisant toute sa volonté pour affronter ce qui va suivre.

Les mains jointes dans le dos, bien campés dans son costume sombre à plusieurs centaines d'euros, le regard sévère, il ordonne que les portes soient ouvertes afin d'accueillir leurs visiteurs nocturnes... les hommes armés chargés de cette tâche ont également reçu l'instruction (auparavant) de refermer la double porte une fois que les vampires seront tous entrés.


[Activation du don : 'Résistance à la douleur']

[Efflam]

Cassiopée lâche la rambarde pour machinalement prendre le flingue sans un regard pour celui qui lui tend. C'est tout juste si elle marmonne.

Merci...

Elle enlève le cran de sécurité en titubant légèrement vers l'arrière pour s'adosser au mur, serrant toujours fermement la prise électrique de la main gauche, se mordant la lèvre inférieures au point d'en saigner.



Nickel le plan. Exemple je croyait que le van avec Lilli était a l'exterieur.

[Zoorin]

Rompant un silence de cathédrale, deux hommes d'Irpav vont ouvrir la double porte, dans un vacarme de tôles rouillées. Apparait alors dans un faible halo provenant d'un lampadaire faiblard une solide BMW entourée de quatre personnes très dissemblables, et aux aguets.

Un homme s'est approché, un sourire forcé sur les lèvres, mais avec un aplomb qui démontre une grande confiance en soi. Son costume de marque dissimule mal une arme à feu sous son épaule gauche, mais ses mains ne s'y dirigent pas.



Derrière lui, pieds nus, semblant sortir d'un film sur les gitans des années cinquante, d'apparence complètement inoffensive, voire vulnérable, une femme s'avance aussi, subjuguant toutes les personnes présente par son charisme et sa beauté. Ses vêtements ne semblent pas dissimuler d'armes, mais elle parait bien trop fragile pour engager un quelconque combat.



Derrière elle, deux hommes au teint aussi hâlée qu'elle, portant de manière négligée pantalon de toile et chemise ouverte l'encadrent un peu en arrière, chacun jouant avec dextérité avec un poignard. Celui de gauche semble plus adroit que l'autre, se permettant de le faire tenir verticalement sur le bout de son doigt tout en marchant.




Le premier homme, en costume, s'avance sans craindre les sept hommes qui se tiennent en face de lui, s'arrête sur le pas de la porte et lance, fixant successivement tous les hommes visibles :

Vous nous avez invité ici, pour discuter. Mais avec qui devons-nous discuter ?

[Angus]

Après avoir calmement détaillé les quatre personnes, Marek prend la parole, en faisant un pas en avant, avec un air poli et sévère.

Bonsoir. Je suis celui qui vous a contacté. Entrez, je vous prie... nous serons plus à l'aise à l'intérieur.

Il fait un geste aux deux hommes d'Irpav pour qu'une fois les vampires rentrés, la porte à double battant soit refermée. Son regard glacé revient se poser sur les vampires, restant toutefois toujours à quelques pas d'eux.

Merci de votre ponctualité, messieurs... et mademoiselle. Je suis content de voir que vous avez pris mon invitation au sérieux.

Les boutons de la veste du Philodox sont défaits, et il n'est pas difficile pour les vampires de constater que lui aussi possède une arme de poing dessous.

[Ertaï]

Lili ne bouge pas dans le fourgon et se concentre pour écouter tous les sons qui parviennent à elle.

[Zoorin]

Malheureusement, L'homme qui a parlé ne s'avance pas et demande, commençant à s'énerver avec un accent italien qui ressort et des mains qui' s'agitent :

Attendez, vous nous prenez pour des couillons ou quoi ? Qui êtes vous ? D'où vous venez ? Qu'est ce que vous avez à nous dire ? Parce que si c'est pour un partage du terrain, je vous préviens, ça va pas être possible. Où vous avez vu qu'on traite des affaires dans un endroit aussi crade ? Est ce les manières de discuter avec une dame ? Et si c'est pour nous faire cracher des sous pour cette pouffiasse d'Asenka, ben vous allez pouvoir vous la garder ! Elle nous attire que des ennuis, et elle peut bien pourrir sous le soleil, que ça nous soulèvera pas un sourcil.

Pendant que l'homme s'énerve, la femme s'avance un peu. Mais le plus habile des hommes au poignard l'arrête d'une main, lui indiquant qu'elle ne doit pas s'exposer. Il s'avance alors pour se mettre au niveau de monsieur costard, et jette des coups d'œil de partout.

[Tout le monde fait un jet de Astuce + empathie Diff 7. L'homme qui s'avance est celui dont j'ai mis le dessin. PS, Lili peut voir ce qui se passe si elle laisse la porte arrière entrouverte.]

[Angus]

Après la tirade de l'homme, c'est à Marek de s'énerver. Sur un ton aussi glacé et sec que les plaines de Sibérie, vibrant d'une colère froide, le Seigneur de l'Ombre répond avec un accent slave amplifié.

Pourquoi êtes vous venu, alors ?! .. indiquez-moi le chef de votre petite bande, que je ne perde plus mon temps avec des sous-fifres.*il jette un regard méprisant à l'homme aux accents italiens.*

L'aura de charisme du Philodox est presque palpable... de même que son agacement, proche du courroux, qu'il tente de maîtriser.

Je suis Marek Medzerov. Et les 'négociations', que vous le vouliez ou non, ont déjà commencé. Sans quoi vous ne seriez pas là.. C'est effectivement de territoires, d'argent et de marchés, dont nous allons parler. En tant que nouvel arrivant, je nous offre une chance de... mettre les choses à plat.

Le jeune russe fait une pause, laissant ses interlocuteurs réagir... et entrer dans le hangar, s'ils désirent poursuivre l'entrevue.

[HRP : Je peux faire le jet, même si j'ai 0 en empathie ?]