Compte-tenu des traductions parfois un peu limite des ouvrages de WW, je propose ici de partager de termes francais adaptes pour eviter les periphrases longues couteuses en Volonte pour le Meneur
Premier du genre (en tout cas, je ne connaissais pas) :
LOUVAT, LOUVART, LOUVARD, subst. masc.
Jeune loup. Affriander une table d'hôte de loups, de louvats et de louveteaux (Nodier, Trésor Fèves, 1833, p. 42). C'étaient des louvards de deux ans, déjà râblés et qui avaient eu jusqu'à présent tout à gogo dans leurs forêts de Golconde (Giono, Roi sans divertiss., 1947, p. 108). Le prix d'un louveteau est inférieur à celui de certains chiens de grande race (...). Un tel animal fait de vous le chef de la meute. Il grandit, devient louvart puis loup adulte (Rustica, 5-12 nov. 1980, p. 51).
Prononc. et Orth.: [luva], [-va:ʀ]. Ac. 1935: louvat, louvart. Lar. Lang. fr.: louvart, -vard. Étymol. et Hist. 1. xive s. lovat (Renart, éd. E. Martin, II, 1122, var. ms. L); 1340 id. (d'apr. FEW t. 5, p. 458a); 1398 louphat (doc. Arch. Côte-d'Or ds Gdf.); 2. 1778 louvart (Le Verrier de La Conterie, Vénerie norm. d'apr. FEW t. 5, p. 458b). Dér. de loup* (Nyrop t. 3, § 76); 1 suff. -at*, 2 suff. -ard* (Nyrop t. 3, § 309, 2o). Bbg. Lenoble-Pinson (M.). Le Lang. de la chasse. Bruxelles, 1977, pp. 297-298. _ Stempel (W.-D.). Zur Problematik nichtlateinischer Suffixe im Romanischen. In: Vermischte Beiträge. 1. Heidelberg, 1968, p. 150.