Ventsombre

Pendant que Lydia tente d'ouvrir la porte la jeune louve entreprend au cas ou de trouver un autre moyen de sortie, fouillant les coins de la salle...

LG : On peut les sortir d'ici ? dit elle le museau pointé vers ses compagnons morts.


(Hrp : Je sais pas trop si je parle 'bien' donc corrige moi au besoin.)

La louve regard le gaz inquiète, comprenant vite que ce n'est pas la pour faire ami-ami .. bien au contraire. Elle regarde les autres, puis la seule issue possible : La porte blindée, et dit en mâchant un peut ses mots.

LG : La porte, à 3, sortons.

Ne sachant qu'instinctivement comment s'y prendre elle laisse alors revenir à la surface la rage contre ces deux pattes qui ont tué ces compagnons, la rage contre ceux qui l'ont enfermé dans une boite, qui l'ont emmené loin de chez elle, la rage qu'elle devra avoir pour porter ses défunts compagnons hors d'ici.

LG : Ensemble !

Lydia passe sous forme de guerre quasi instantanément. Elle grogne et appui déjà sur la porte en attendant l'arrivée des deux autres.

L.G.:

Oui Ensemble!

Lydia se remémorre le chemin qui l'a mené jusqu'ici.

L.G. : prenez vos soeurs je vous protège.

La sortie est par là.

Elle prend le chemin qu'elle désigne en trottant, attentive à tous bruit qui l'avertirais d'un danger potentiel.

Chevauche-Nuées s'agite, cherchant la source de cette désagréable brulure, regardant autour d'elle mais n'apercevant rien elle s'adresse alors à celle qui les guide de manière un peu saccadé et d'une voix sourde.

LG:
Qu'est ce que ... ça brule.
Qu'est ce qu'il font ?
Ils viennent nous reprendre ?

A la dernière question Chevauche-Nuées prend un ton agressif, il est clair qu'elle ne se relaissera pas capturer.

Lyniñyen fronça les sourcils, serrant davantage les poings, et poussa un sourd grognement, cherchant d'où viens cette odeur, cette sensation.. si désagréable. La bouche entrouverte, respirant fortement, elle regarda tour a tour Chevauche-Nuée et Lydia, cherchant une réponse a la question évidente qui se lisait sur ses yeux : C'est quoi, "ça".

L.G. :
Qu'ils essayent. Je les tuerais tous, le pervers.. Et ses amis pervers.

L.G. :
Ce piquant, c'est de l'argent! le métal le plus dangereux pour nous!

Ces saloperies savent ce que nous sommes mais crèvent de peur de nous rencontrer.

Lydia hume l'air pour trouver ses prochaines proies. Combien sont-ils? Ou est le plus proche? Ou sont les autres? Toutes ce squestions auxquelles elle cherche une réponse pour guider ces deux nouvelles soeurs, pour les protéger, pour les sortir de là vivantes.

L.G.:
Ils viennent pour nous tuer! Protégez vous. Cherchez la sortie, je vous protègerais.

Le ton est autoritaire! Elle ne cherche pas la discussion! Elle veux de l'efficacité.