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MessagePosté: Sam 30 Juin 2007 13:41:44
de Didlith
(HRP : désolé pour le retard)

Luc prend le temps de pèsee le pour et le contre, même si le temps presse.

Hum, nous décaler ici nous ferais arrivé dans un camp para militaire à ce que je sais. A mon grand damne je ne pense pas être en état pour une nouvelle danse.

Si tu te sent de récupérer le disque dur ou au moins le détruire et revenir je t'en pris. Sinon on rentre et on essai de le pirater à distance, tu as du voir le super ordinateur qu'il y a là bas !!

Discréditer Thigel me semble impossible, ils se connaissent trop bien, nous devons détruire les informations, et vite maintenant que le gardien est hors d'état.

Luc commence à tourner sur lui même

Hum ... on repart comment ? c'est que j'avais un guide pour venir moi.

MessagePosté: Sam 30 Juin 2007 19:41:29
de Sergeï
On pourrait demander notre chemin...

Oeil Mort sourit, ce n'est pas très rassurant. Il se met en marche indiquant à Luc de le suivre.

Le tout maintenant consiste à se trouver un esprit et de chercher notre propre odeur pour retourner d'où on vient.

MessagePosté: Lun 02 Juil 2007 13:30:58
de Machuthu
En réponse à l'angoisse d'Oeil-mort, les esprits qu'il avait appelé à sa rescousse se portent à votre secours... Le chemin, ils le connaissent et sont prêt à le montrer aux deux frères de meute...

D'ailleurs, il n'y a rien de bien compliqué à suivre l'odeur que vous avez laissé derrière vous... Vous êtes toujours dans l'umbra proche...

Vous regagnez donc sans peine la Ruche ou vous vous décalez à nouveau, rejoignant la salle de l'ordinateur...

MessagePosté: Lun 02 Juil 2007 14:07:00
de Grotek
Tu peux le soigner ?

MessagePosté: Lun 02 Juil 2007 18:34:13
de Didlith
Luc fais un sourir à Mil

Il y a plus urgent, je peux attendre.

Il se réinstalle à l'ordinateur comme face à un vieille ami et commence à entreprendre le piratage du PC distant, en espérant que les défenses n'ont pas été remise en place.

J'ai découvert que Thigel à transferé ses données sur un PC dans un camps paramilitaire en rapport avec le politicien.
Les détails sont là.

Luc montre rapidement les documents papier qu'il a imprimé comme preuve.

MessagePosté: Lun 02 Juil 2007 19:37:49
de Grotek
Laissant Luc a ses investigations electroniques, Mil s'empare du papier et survole rapidement le texte.

Finissant sa lecture, elle soupire:


Cette affaire a des ramifications insupportables.
Je suppose qu'en fin de compte nous devrons eliminer ces insectes. Mais nous avons d'autres plans dans l'immédiat

Dès que tu auras fini leplus urgent, soigne toi. Peu importe si tu dois supplier un Theurge ici.
Je n'aime pas trop te savoir mourant.

MessagePosté: Lun 02 Juil 2007 21:09:57
de Didlith
Gaffe, tu va devenir sentimentale là !

Luc lance un sourir amical

MessagePosté: Mar 03 Juil 2007 08:09:53
de Grotek
Mil ouvre la bouche bêtement pendant une seconde avant de répliquer

Surtout que demain nous avons un "gros coup".

Et elles'éloigne en maugréant, retournant se reposer.

MessagePosté: Mar 03 Juil 2007 21:33:15
de Sergeï
Bon je te laisse Luc, j'aimerais savoir de son côté ce qui s'est passé pour Mil.
Et puis je ne peux pas te soigner.

Oeil Mort s'éloigne.

MessagePosté: Mer 04 Juil 2007 14:42:01
de Machuthu
Luc s'atèle donc à la tâche et aidé par l'esprit de l'ordinateur, particulièrement bien disposé à son égard, détruit sans peine tout trace des fichiers compromettants au niveau du campement militaire...

Il ne tarde donc pas à rejoindre Mil et Oeil-mort... Mil s'apprête visiblement à prendre un peu de repos tandis qu'Oeil-mort la questionne du regard...

MessagePosté: Mer 04 Juil 2007 16:05:57
de Grotek
J'ai recu un message qui disait "Luc a disparu". Je suis venue voir.
Et maintenant je suis trop fatiguée pour retourner là bas.

Mil s'adosse dans un fauteuil afin de souffrir le moins possible de ses blessures.

Avec Luc agonisant, nous allons peut etre devoir réviser un peu le plan. Et l'idée de juste plomber leurs voitures sur le chemin de l'usine me parait charmante.

MessagePosté: Sam 07 Juil 2007 12:38:55
de Didlith
Et pourquoi ne pas plutot les laisser faire. A priori ils vont repartir bredouille de cette visite non ? En plus ils n'ont plus de documents compromettant. Retournons la situation.

Luc s'affale dans un camapé, visiblement rattrapé par ses blessures.

Pour peu qu'on informe le presse que le but de leur visite était un coup médiatique en vue des élections, il peut peut être passé pour un con. De nos jours les média sont une arme importante en cas de guerre. Nous avons forcément des journalistes à notre disposition, bien disposé à notre égard.

Luc regarde combien de temps il reste avant la visite. Puis regarde Oeil-Mort et Mil pour connaitre leur avis sur la question.

MessagePosté: Sam 07 Juil 2007 15:49:16
de Grotek
Mil lève les yeux vers luc et se met a rire.

Mon petit, notre but n'est pas de discréditer nos ennemis. C'est leur extermination.

Ton plan serait parfait si nous etions des humains et que nous affrontions d'autres humains, car ils sont interchangeables a l'infini.
Mais si nous nous contentons de faire la mauvaise publicité, ils abandonneront cette voie pour en choisir une autre plus tard. Ils auront perdu du temps, nous en auront gagné. Sans plus.

Si nous les tuons, nous amputons un peu plus le Caern de ses défenseurs.

La grande faiblesse des Garous c'est qu'ils sont peu nombreux... D'autant plus que les rares survivants s'entredéchirent dans des querelles internes sans interet....


Après une petite pause, elle continue

Et puis... c'est plus chic de les tuer.

MessagePosté: Sam 07 Juil 2007 17:13:06
de Didlith
J'en conviens, mais le divan est tellement confortable.

Luc sourit.

Et vu notre etat, je pense pas qu'un affrontement directe soit à notre avantage, vu les informations que j'ai trouvé sur le camp je pense que le moindre humain de leur systeme de protection n'ai eut une formation militaire. Et ils doivent plus ou moins s'attendre à tomber sur des garous.

MessagePosté: Sam 07 Juil 2007 17:18:59
de Grotek
C'est pour ca que je t'ai dit d'aller implorer quelque Theurge passant, voulant s'entrainer sur un cobaye compatissant de te soigner.