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Un peu d’animation au cœur du palais du Shogun…
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accVlad s'arrête aussi sec pour reprendre ce qu'il faisait. On en reparlera plus tard...tant qu'elle n'est pas un danger pour la meute songe-t-il...
Les haines de race ne sont au fond que des haines de place.
Tom réagit en se rapprochant des deux femmes mais le geste de Lydia vers Vladimir le rassure, en partie seulement.
* Eh bien ! Si maintenant on en arrive à se mordre, je crois qu'on est mal barré ! Je crois qu'il y en a dans la meute qui sont encore plus jetés que moi, ça rassure ! * Tom regarde alors ses soeurs de meute pour voir jusqu'où cela va aller, prêt à intervenir pour les séparer. Il n'y a aucun jugement dans son regard ou son attitude. Il sait très bien bien que c'est ce qu'il souhaiterait de la meute si jamais cela devait arriver. Après tout qui est-il pour juger qui que ce soit ? En revanche il sent au fond de lui que des choses devront être dites ou faites au retour de la meute et ça en revanche cela fait parti de son rôle.
'Pourquoi ?'
Pourquoi cette créature ne se défend pas ? Elle devrait déjà avoir rendu les coups... Se pourrait il que ... ? La patte griffue d'Enia s'était levée, prête à s'abattre sur le visage de Lydia. Mais elle était désormais suspendue en l'air, bloquée dans son mouvement. Quelques secondes après cet instant de flottement, elle se met à osciller. Elle se rapproche dangereusement du visage de l'autre Garou, puis recule en tremblant. Elle avance de nouveau et recule ensuite. La main d'Enia semble indécise, et sa folie lentement brisée par sa raison. 'Se pourrait il que... ?' Le coup de griffe ne part pas, et le sang cerclant ses pupilles reflue. En revanche, la gueule d'Enia reste verrouillée sur l'épaule de Lydia. ~ I am the Instrument of my Will. ~
De son côté, Erwhann repasse en forme glabro.
En voyant Enia agresser Lydia, il pense à l'aider, mais...non. Quelque chose lui dit que ce n'est pas son combat. Que ce n'est pas non plus celui de Lydia, et que si elle a été mordue, c'est probablement parce qu'elle a voulue se méler d'une chose qui ne la regardait pas, même si elle pensait bien faire. Maintenant, ça va être l'heure des explications. Erwhann ressent également une certaine admiration pour Lydia, et sa réaction. Une telle présence d'esprit. Le jeune garou n'a pas besoin de réfléchir trop longtemps, pour se dire qu'à la place de Lydia il aurait déjà riposté. En fin de compte, il reste debout à observer le carnage. Ave Gaïa, moritori te salutan.
(Fiche n°146)
La rage refflue peu à peu dans les veines d'Enia... La raison semble reprendre le contrôle de l'ahroun...
Cette fois, Enia se rend compte qu'elle a la machoire refermée sur l'épaule de Lydia, que son sag coule dans sa gorge... De son côté, Nell observe ses frères... Il n'y a rien dans l'Umbra, rien qui puisse tenter de la contrôler... Puisse Gaïa veiller sur vos pas.
Le goût du sang fini d'achever Enia. Avec un bruit de chair désagréable, elle retire sa gueule de l'épaule de Lydia, tombe sur le dos, et s'éloigne en rampant en arrière.
Elle cligne des yeux, surprise, atterrée par la réalité. 'Non... Non...' Sont les seuls mots qu'elle parvient à dire. Après s'être éloignée de plusieurs mètres, elle s'arrête, et s'assoit. Elle ne dit rien, et cherche simplement son souffle. La si belle et si fière Enia fait soudainement bien piètre figure. Symbole même de l'épuisement, habitée par la fatigue, rongée. Au bout de quelques minutes, elle parvient à articuler : 'Rentrons, s'il vous plait...' ~ I am the Instrument of my Will. ~
Lydia a laisser Enia faire ce qu'elle désirait. La douleur plus que tout au tre chose a été combattue par lydia. elle regarde son épaule mordue profondément dans ses chaires.
Il retiens un hurlement de douleur. Elle regarde Enia s'éloigner d'elle puis avance en glissant sur ses genoux pour rester à hauteur de cette dernière. Comme si elle voulait montrer qu'elle ne se sentait pas supérieure, comme si elle voulait montrer qu'elle ne lui en tenait pas rigueur. Arrivée à Proximité d'Enia. Elle lui tend sa main gauche. Attendant qu'elle lui prenne la main non pour l'aider non pour demander de l'aide mais pour lui mopntrer son affection. Bien que touchée physiquement, lydia sait très bien que celle qui souffre le plus c'est Enia. Elle ne dis pas un mot. De temps à autre son visage se marque par un masque de douleur passager qu'elle controle un maximum. Quand Enia prend sa main, alors elle prend la parole. Oui rentrons. Elle se relève tout en aidant sa soeur à se relever. Elle se tourne vers Vlad pour voir s'il a récupéré ce qu'ils sont venu chercher.
Tom fait comme si de rien n'était et c'est avec une voix un peu fatiguée qu'il dit :
"Allons rentrons, je crois que l'on a récupérer ce que l'on cherchaient. On a encore du boulot à faire avec ce sabre. On se reposera plus tard, non ?! En plus la viande crue j'aime bien sauf quand elle me colle trop sur les pattes, au bout d'un moment ça commence à sentir et ça nuit à mon charme naturelle. Pas vrai les filles ? " Tom fait un sourire qui se veut charmeur à Nell, Lydia et Enia. Il réserve à cette dernière un clin d'oeil malicieux lui montrant ainsi que la vie poursuit son cours.
Erwhann sourit aux paroles de Tom. Il est heureux et rassuré de voir que la meute peux supporter les coups durs. Parce que si ça continuait ainsi, les coups durs allaient se multiplier.
_Ca va mieux ? La question du jeune détective s'adresse à Enia, essentiellement. Mais il jette aussi un long regard à la blessure de Lydia. Comme les autres, il est bien placé pour savoir à quel point une blessure de crinos peut être dangeureuse. _Vlad, t'as le canif ? Si c'est bon, je crois qu'on ferait bien de faire comme la demoiselle a dit. En plus, j'ai encore ruiné mes fringues... Ave Gaïa, moritori te salutan.
(Fiche n°146)
umbraBen Vladimir attend que l'empereur lui confie l'arme. Il ne s'agit pas que les garous passent pour des voleurs.
Bien sur il vaudrait mieux pour l'empereur qui leur rende cette lame mais le russe compte bien sur la sagesse de ses conseillers. De plus , il aimerait savoir ce qu'il advient de la famille déchue. ensuite il repartira, seulement après. Les haines de race ne sont au fond que des haines de place.
Tandis qu'Enia reprend peu à peu le contrôle, demeurant toutefois triste et taciturne, la meute reprend son calme...
Opportunément, une lourde pluie se met à tomber, lavant le sang et étouffant le feu... Un long silence s'installe alors sur la place, puis vient la liesse, des cris de joies fusent de partout et la foule se tourne vers l'empereur, attendant les instructions de ce dernier. En première ligne, les garous se tiennent à côtés des membres de la famille dont ils défendent l'honneur... Le Samouraï qui vous a aidé s'approche de l'empereur et semble lui donner un résumé de la situation... Ce dernier acquiesce et laisse l'un des guerriers de la famille s'approcher afin de lui remettre l'arme. L'érudit vous explique qu'en soit, un tel geste du Shogun rétablit l'honneur de la famille aux yeux de tous... Pourtant, lorsque le guerrier parvient à un mètre de l'empereur, ce dernier lève la main devant lui, comme un obstacle... Immédiatement, l'homme cesse son approche et d'une voix forte, l'empereur prend la parole. L'érudit traduit les paroles du Shogun au fur et à mesure... Je destinais cette arme à un Samouraï valeureux, qui avait défendu l'empire sans défaillir afin que l'honneur de ce don rejaillisse sur sa famille à hauteur de sa fidélité. Cette arme revient de droit à votre famille... Désormais votre nom inspirera le respect qui lui est du. Puissent les esprits ancêtres de votre famille être remerciés de leur intervention et qu'il leur soit rendu hommage à la hauteur de leur fidélité... Puisse Gaïa veiller sur vos pas.
Erwhann glisse discrètement quelques mots à Tom.
*Chuchote.* _Les esprits des ancêtres, il parle de nous là ? Eh ben, ils vont en avoir des histoires à raconter à leurs petits enfants dans cette famille... et ils vont sacrément les vénérer les esprits des ancêtres. Ave Gaïa, moritori te salutan.
(Fiche n°146)
Nell observe ses companons avec un soupçon d'impatience... De toute évidence, la urie noire ne tient pas à s'attarder outre mesure et voit d'un bon oeil la clotûre de la cérémonie.
De son côté, le guerrier ayant reçu l'arme s'en va la remettre à la femme du guerrier décapité. Cette dernière salue les membres de sa famille et se dirige vers vous... Oh, nobles espris ancêtres, vous avez lavé l'honneur de notre famille et nous saurons nous en montrer digne. Aussi, afin que nul n'ignore votre rôle, je tiens à vous confier cette arme, puisse-t-elle nous garantir votre écoute lorsque nous en aurons besoin. Vous commencez à vous habituer aux détours de la langue et comprenez rapidement qu'en échange de l'arme, la femme espère que vous serez prêt à voler de nouveau à leurs secours dans le futur... Enfin, le passé, voir le présent... Puisse Gaïa veiller sur vos pas.
accSans aucunes paroles, Vladimir prend l'arme. Remercie d'un simple mais solennel signe de la tête et s'en va rejoindre Nell.
Nous pouvons partir Les haines de race ne sont au fond que des haines de place.
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