|
Honneurs et Larmes...umbraVladimir porte ses nouveaux vêtements et armure. Il s'habille avec une sorte de dévotion, comme si il se laissait imprégner par la coutume du bushido, pour mieux la compendre.
En attendant les serviteurs, pour l'interrogatoire, il se promène dans les jardins, seul ou accompagné. Les haines de race ne sont au fond que des haines de place.
Enia ne peut que faire comme ses compagnons. S'habiller, simplement pour ne pas froisser les hôtes, puis attendre. Attendre la suite des opérations.
Au fond d'elle boue l'envie de partir, de marcher, d'explorer ces terres ancestrales pour sa simple curiosité... Mais elle sait aussi qu'elle ne peut se le permettre. Mission et meute oblige. Peut-être plus tard. Elle hausse les épaules, pour se dégager de ce poids, et cacher son désir un peu plus profondément. ~ I am the Instrument of my Will. ~
Comme les autres, Erwhann revêt son armure, il aurait préféré des vêtements plus pratiques pour se mouvoir, mais bon...
A l'instar du reste de la meute, il attend l'arrivée du serviteur. Cette histoire commence d'ailleurs à le captiver haut plus haut point : en effet, après avoir vécu de telles expérience, il en aura des histoire à raconter à ses petit enfants... si d'aventure il venait à en avoir un jour. Ave Gaïa, moritori te salutan.
(Fiche n°146)
Conformément à votre demande, la maîtresse fait mander un domestique du maître d'arme et cette dernière doit avoir été particulièrement persuasive car une dizaine minute se sont à peine écoulées qu'un homme d'une quarantaine d'années arrive à son tour...
Au vu de l'état de santé du guerrier, vous le laissez se reposer et retournez dans la première salle... Une nouvelle fois, l'érudit vous accompagne... L'homme se tourne vers vous, il affiche un certain respect envers vous mais ce dernier ne semble pas aussi marqué qu'il ne l'était chez les autres personnes que vous avez rencontrées... L'érudit traduit ses premières paroles... Oh esprits ancêtres, je viens répondre à vos questions. On m'a dit que vous vouliez connaître l'histoire de mon maître et je trahirais sa mémoire si je refusais de vous éclairer sur ce point... Puisse Gaïa veiller sur vos pas.
umbra[i]Vladimir fier de sa nouvelle armure rejoint alors la meute , après sa petite promenade. Le zen dégagé par le jardin l'a rassuré. De quoi? Il ne saurait le dire, mais il se sent bien.
Il s'assoit en tailleur près du serviteur et écoute sagement ses paroles. Les haines de race ne sont au fond que des haines de place.
Comme Vladimir ne semble rien dire, et que l'homme attend visiblement qu'on l'encourage, Enia se permet de parler, en veillant bien à n'interrompre personne. Elle annonce simplement, du ton le plus chaleureux dont elle est capable :
'Merci d'avoir accepté de vous présenter devant nous. Allez y, éclairez nous. Racontez nous son histoire, s'il vous plait.' ~ I am the Instrument of my Will. ~
Tom enfile lentement les vêtements d'apparât, lui qui ne sentait pas à l'aise avec une chemise autrement qu'ouverte, se sent vite mal à l'aise. Il fait cependant des efforts pour ne pas froisser ses hôtes.
Tout comme Vlad il s'assoit en tentant de se souvenir des positions qu'un maître de karaté lui avait enseigné, le zazen ou l'art d'être mal assis en essayant de ne pas se départir de son sérieux et de sa concentration. Ca avait été dur à l'époque, mais là cela semblait adéquat. Il attend que le serviteur s'exprime.
Le serviteurs commence son récit et conte comment son maître a gravit peu à peu l'échelle sociale. Le respect qu'il nourrissait envers son maître n'est pas feint et vous ne pouvez vous empêcher de respecter le défunt. Après quelques minutes, il en vient à l'étape de sa mort...
Mon maître avait pour habitude de s'isoler pendant quelques jours lorsqu'un problème le tenaillait. J'ignore quels étaient ses soucis du moment, mais je ne me rappelle pas avoir vu mon maître aussi renfermé sur lui même. Il est parti seul, en direction de la forêt, nous savions tous ou il allait, mais nul ne pouvait l'accompagner, mon maître s'y opposait. Mon maître avait emporté des provisions pour plusieurs jours mais ne le voyant pas revenir, je me suis mis en quête à mon tour... Je souhaitais aller lui apporter de quoi se nourrir, sachant qu'il ne tarderais pas à manquer... C'est comme cela que je l'ai découvert... Il était allongé, seul dans la forêt. Depuis longtemps déjà, son esprit avait rejoint celui des ancêtres... J'ai hurlé de rage en voyant cela et j'ai voulu savoir ce qui s'éait passé... J'ai observé autour de moi les traces de combat mais c'est comme si mon maître avait affronté un monstre venu de nulle part... Puisse Gaïa veiller sur vos pas.
umbraPendant le récit, Vladimir ferme les yeux pour mettre des images, pour une sorte de reconstitution. Le chemin du Samouraï, sa façon de s'isoler, comment il a pu se faire surprendre, le monstre...le ver?
Forcément, cette hypothèse, est ancré dans son esprit dès qu'il y a un problème. Baal. Il est le ver aussi? Tant de questions , toujours des questions. Il se replonge dans les batailles du général, du samouraï, il s'imprègne de la culture pour mieux la comprendre, mieux la cerner. Il est galliard Lorsque le discour est terminé... Le général a rejoint un autre camp n'est ce pas? Ce clan a-t-il un autre ennemi? Est-il en mode conquête à tout en ce moment? Le shogun est-il directement menacé? Les haines de race ne sont au fond que des haines de place.
Lydia écoute attentivement les paroles du serviteur. Elle fronce les sourcils. Une question lui tenaille l'estomac.
Mais elle attend patiemment que Vlad en termine...
Le serviteur réponds au fur et à mesure...
J'ignore de quoi vous parlez concernant le général mais une chose est sûre, si le général a rejoint un clanennemi, c'est celui de l'amrée du serpent et l'armée du Shogun est la seule à pouvoir rivaliser avec cette armée... Cela serait dramatique, le Shogun a en effet une grande confiance en ce général qui remporte victoire sur victoire... A ce moment, Lydia en profite pour poser ses questions... Lorsque ton maître est parti, le général avait-il quitté la demeure aussi ? Quand à ton maître, as-tu l'impression qu'il aie quitté l'endroit ou vous viviez pour vous protéger de la lutte à venir... L'homme réfléchit longuement comme s'il cherchait à revoir le visage de son maître sur le départ et les élèves présent... Je me rappelle que le premier jour, de nombreux élèves ont quittés l'écoles, tous savaient que l'isolement du maître pouvait être long... Après deux jours, il ne restait qu'un seul élève, celui là même dont vous êtes venus défendre l'honneur... Quant au combat qui l'attendait, je ne pense pas que mon maître était au courant... Il aurait probablement emporté ses meilleures armes, or, ce n'était pas le cas... Mais maintenant que vous ravivez le souvenir de cette triste époque, il me revient en tête un évènement qui m'avait paru anodin alors... La veille de son départ, mon maître avait eu une violente altercation avec un élève, mais j'ignore lequel... Par contre, je sais qui pourra vous le dire... Puisse Gaïa veiller sur vos pas.
Erwhann attends que les autres membres de la meute posent leur questions, avant d'interroger le serviteur à son tour.
_Excuse-moi, mais pourrais-tu nous conduire sur les lieux. *Aux membres de la meute en haute langue.* _Avec des sens Lupus, nous pourrions peut-être récolter des informations intéressantes, voire même une piste, qui sait... Hrp : Etant de retour chez moi pour les vacances, je m'excuse de ne pouvoir être là durant cette semaine, et peut-être lundi. Désolé, mes parents n'ont toujours pas internet. Ave Gaïa, moritori te salutan.
(Fiche n°146)
umbraVladimir doit faire le tri dasn toutes ses informations
Permettez moi de récapituler un peu Nous avons un samouraï honorable obligé de se faire seppuku pou restaure l'honneur de sa famille, ce qu'il a fait. Il avait refusé de suivre un ordre stupide d'un général que nous savons traitre! Le frère de ce samouraï a interrogé un soldat qui affirme avoir vu le général se transformer en dragon (mokolé?) et rejoindre le camp ennemi. Le général revient victorieux mais sans armée et reçoit l'arme, a priori celle qui nous interesse. Nous savons qu'en face il y a 2 armées, celle du serpent et celle du dragon. Ces armées sont intactes. Donc le général a menti Apportons cette preuve avec quelques prisonniers serpent et/ou dragon et allons voir le shogun (empereur?) pour convaincre ce dernier que le général est un traitre, et ce, avant qu'il ne soit trop tard. Nous pouvons toujours y réfléchir en allant sur les lieu chercher une piste. Vladimir passe en revue ses compagnons pour vérifier si il n'a pas dit trop de bétise (parceque je ne suis pas vraiment sur!). Les haines de race ne sont au fond que des haines de place.
Retourner vers Loup-Garou, l'Apocalypse : RP - Amérique du Nord Qui est en ligneUtilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 0 invités |