Lorsque Maellen constata le retour de M. JENKINS, elle fut rassurée et soulagée. et qu'il lui expliqua la non présence du corps, elle lui dit : - En effet, j'ai été dans l'obligation de l'accepter, bien que cela me gène fortement. Bon en ce qui concerne les autorité, j'ai appelé le procureur pour l'informer de ce qui s'était passé, ainsi que ma mère par le même occasion. Je tiens juste à vous dire que beaucoup de personnes à l'étage vont jurer m'avoir vue tirer sur leur patron et l'abattre à bout portant. En effet, une femme sortant un pistolet et vidant son chargeur, peu avoir de quoi surprendre, mais de là à déformer la réalité. Bon enfin, je vais juste dire aux policier ce qui c'est passé, à savoir que j'étais là pour mettre en place un contrat de partenariat entre ma mère et M. FITCH. Une fois le contrat rempli, je suis sorti avec vous, ...
Sentant que le stress et la colère n'étaient pas encore complètement évacué et voulant se sentir plus proche de M. JENKINS, elle lui demanda : - ....enfin j'en ai marre de ce formalisme, puis je vous tutoyer ? ....
N'attendant pas la réponse elle continua dans sa logique lui permettant de présenter les faits aux policier de façon la plus simple possible. - ....Puis nous avons entendu des cris en provenance du bureau de M. FITCH. C'est alors que je me suis précipitée sur la porte pour constater qu'un homme sans visage était en train de tuer le propriétaire de la maison d’édition. j'ai fait les sommations d'usage pour faire comprendre à l'individu de déposer ses armes, mais comme l'homme s'avançait vers moins avec ce qui m'a semblé une arme, je me suis vue dans l’obligation de tirer sur lui. Surtout après l'avoir vu tuer de sang froid M. FITCH. Je voulais handicaper en lui tirant dans les jambes. Mais au moment ou il m'a vu l'aligner, il a foncé vers la baie vitrée. Je sais avoir fait mouche, car au moment de l'impact contre la vitre il a eu une rotation du corps. J'ai ensuite tenté de voir par la baie brisée ou son corps allait atterrir, mais trop stressée, je n’arrivais plus à penser de façon cohérente. Je me suis donc assise et j'ai rangé mon arme. Je les informerai également que le procureur est au courant de l'affaire, car je l'ai prévenue.
Voyez vous d'autres points particulier à mentionner et que j'aurais oubliée ?
Ah oui dernier point, ma mère m'avait indiqué que M. FITCH était sur sur une grosse affaire en rapport avec sa maison d'édition, mais elle n'a pas su me dire avec qui, ni en quoi consistait cette grosse affaire.
C'est alors que de grosses gouttes de sueur commencèrent à perler sur le front de Maellen, elle commença à devenir blême. Soudain, Elle se mit à courir en direction des toilettes. Entra dans celle ci, se dirigea vers la première cuvette libre et vomit tout ce qu'elle avait mangé auparavant. Ses haut de coeur semblèrent durer une éternité pour elle, alors que cela n'avait duré que moins d'une minute. Complètement vidé, fébrile, le corps couvert de sueur, elle tente de s'extraire des toilettes, se leva avec difficulté et se dirigea vers le lavabo. Elle fit couler de l'eau pour se laver le visage, puis après s'être aspergée d'eau, son corps se mit à trembler. Il lui sembla s'écrouler, mais parvins à se réceptionner sur les genoux et les mains. Elle sortit, à quatre pattes, dans un état second, sa coordination musculaire ne semblant plus au point tant elle semblait vaciller. Elle se dirigea tant bien que mal vers l'entrée du bureau avant de se laisser tomber au sol en fermant les yeux, le haut de son tailleur constellé de trace de vomissure. Le stress ayant semble t il été trop fort pour elle