SC:TOOLBOX- CHAP1: Appel à l'aide
Posté: Dim 01 Avr 2012 20:53:03
** SCENARIO CTHULHU **
~ Toolbox Murder ~
Chapitre 1: Appel à l'aide
Avec la participation de Sweck, Pachibouzouk, Magnus et Maellen
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~ Toolbox Murder ~
Chapitre 1: Appel à l'aide
Avec la participation de Sweck, Pachibouzouk, Magnus et Maellen
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A minuit, les quais de New York ressemblaient à n’importe quel quai. Il n’y avait que quelques SDF réfugiés dans des abris de fortune et quelques vigiles patrouillant au sein de bâtiment arborant des logos n ayant pas forcément de lien avec les affaires maritimes. Une brume recouvrait les docks ou plusieurs caisses étaient stockées attendant impatiemment que le soleil se lève pour que des dockers viennent les soulever à l’aide de leur gru afin de les déposer sur des bateaux
Un gros pétrolier de plusieurs mètres de long arriva tout feu éteint et perça lentement la brume…
Il n’était plus de nouvelle jeunesse mais il semblait cependant en état de naviguer. Malgré que sa coque de couleur bordeaux s’écaillait par endroit, l’on pouvait voir inscrit « Fanzow » en lettre blanche sur l’avant du bateau. Dans un léger de bruit de clapotis, le pétrolier se plaça parallèlement à la berge la plus éloignée du quai, là où aucun autre bateau n’était accosté.
Une 10 aine de minutes plus tard, le bateau était accosté dans l’obscurité la plus totale.
Des portes s’ouvrirent alors sur les différents ponts et des hommes vêtus de tenue noir sortirent en duo pour se placer à divers endroits clef du bateau. Depuis leur position, ils pourraient voir sans être vu. On ne pourrait pas non plus remarquer que chacun des hommes portait d’épaisses des lunettes sur le nez et tenaient une mitraillette en bandoulière...
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Les éditions Fitch…
Créé il y a 19 ans par Adam Fitch, les éditions Fitch avaient connu leur heure de gloire à son époque. Adam Fitch était avant toute chose un écrivain dans l’âme et si ces livres avaient la fâcheuse tendance d’etre un mixe entre Colombo et Arabesque, il n’en était pas moins vrai que la gente féminine s’était arraché dés les premières parutions. Très vite, Fitch avait voulu faire bande à part et avait décidé d’ouvrir sa propre maison d’édition afin d’etre libre comme le vent. Malheureusement, le vent tourne comme tout le monde le sait, et le succés aussi. Après une 50 aine de roman, l’œuvre avait sombré dans le domaine du « traditionnel » et. La cause à cela était sans nul doute le fait que Fitch eut décidé de sponsoriser de nouveaux écrivains pour fêter les 10 ans de sa société. Il avait ainsi agrandit le choix de livre disponible au grand publique tandis que lui, vivaient principalement des rentent rapporté par ces romans qui, comme Dallas, continuaient à intéresser à ce jour l’une ou l’autre grand mère retraitées. Bien entendu, Fitch avait continué à écrire pour son plaisir même s’il était le premier à avouer que ces romans étaient désormais vides de sens et que les scénarii redondant ne rimaient à rien..
Les éditions Fitch étaient située au 25ème étage d’un bulding luxueux. Elles n’occupaient qu’un seul étage mais offraient aux 23 employés qui composaient l’entreprise, l’avantage d’etre dans un lieu de travail des plus agréable et offrant tout le confort possible et imaginable.
A la sortie des ascenseurs se trouvait le bureau de la réception ou une femme de la quarantaine d’années tapait un texte sur l’ordinateur tout en tenant un combiné de téléphone à l'oreille. devant elle étaient placé des fauteuils en cuir noir et d'autre en tissus, afin de permettre aux invités d'attendre en toute tranquillité.
Deux individus étaient assis sur ces fauteuils...