Re: SC: LA QUARANTAINE : CHAP 1: LA BASE - Garwall
Posté: Mer 01 Déc 2010 17:35:28
Sean prit la main du général pour lui aussi la serrer sans excès mais avec conviction. Le fait de se retrouver dans un environnement militaire ne lui faisait pas l'effet qu'il aurait escompté visiblement.
- Mon général, enchanté.
Lorsque Lucie les quitta, il lui adressa un sourire et quelques mots.
- A toute à l'heure, de toute façon vous m'avez promis une danse !
Il se retourna vers le général un peu embarrassé de se retrouver assis à le regarder d'en bas.
- Elle est bien cette fille. Si tout votre personnel est comme ça vous devez avoir foule pour se porter pâle.
Je crois bien que c'est la première fois de ma vie que l'on peut dire ça, oui. J'ai eu de la chance, surtout M. Barnes en fait. je crois pas que j'aurai réussi à le sortir de là tout seul.
Merci de nous avoir pris en charge.
Il inclina légèrement la tête. Puis il reprit avec un sourire.
- Je suis pas sûr que l'armée voudrait de moi de toute façon que ce soit dans une base "secrète" ou pas.
Je suis toutefois assez étonné que ce soit le général en personne qui vienne faire le garde malade, sauf votre respect mon général. Je le comprends pour l'homme d'affaire et les relations que peut avoir mon patron, mais pour le simple bouclier que je suis censé être, je suis assez flatté.
- Mon général, enchanté.
Lorsque Lucie les quitta, il lui adressa un sourire et quelques mots.
- A toute à l'heure, de toute façon vous m'avez promis une danse !
Il se retourna vers le général un peu embarrassé de se retrouver assis à le regarder d'en bas.
- Elle est bien cette fille. Si tout votre personnel est comme ça vous devez avoir foule pour se porter pâle.
Je crois bien que c'est la première fois de ma vie que l'on peut dire ça, oui. J'ai eu de la chance, surtout M. Barnes en fait. je crois pas que j'aurai réussi à le sortir de là tout seul.
Merci de nous avoir pris en charge.
Il inclina légèrement la tête. Puis il reprit avec un sourire.
- Je suis pas sûr que l'armée voudrait de moi de toute façon que ce soit dans une base "secrète" ou pas.
Je suis toutefois assez étonné que ce soit le général en personne qui vienne faire le garde malade, sauf votre respect mon général. Je le comprends pour l'homme d'affaire et les relations que peut avoir mon patron, mais pour le simple bouclier que je suis censé être, je suis assez flatté.