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SC:On ira...:Chap 4: Le massacre de Wounded Knee - PachiModérateur: Pike Maton Re: SC:On ira...:Chap 4: Le massacre de Wounded Knee - Pachi" Sia ... Grand mère Sia ... la lettre ..."
Lamezia se souvint. - Mon père ma parlé de grand mère Sia, la doyenne de la réserve. Je n'en sais pas plus mais souhaiterai la rencontrer. Je ne sais pas grand chose au sujet de mon père mais il m'a fait part de quelques découvertes qu'il a fait lors de sa vie. J'ai tellement de questions à vous poser ... Pourquoi êtes vous là? Elle se sentait bête, impolie, cet homme avait frappé à la porte pour une raison, et elle n'avait pensé qu'à ses interrogations à elle. Il était venu pour une raison et elle ne s'y était même pas encore interessé. Que voulait donc cet homme? Pourquoi le destin l'avait mis sur sa route deux fois dans la même journée? Elle ne croyait pas aux coincidences. Ils avaient tout deux des informations à s'échanger. Ils devaient de croiser pour une raison. Elle attendis donc patiemment que l'homme lui explique sa présence ici. Cela lui donnerai peut être une piste pour poser les questions. Savoir qu'est ce qu'il savait sur les recherches de son père. Jusqu'à quel point pouvait elle lui faire confiance.
Re: SC:On ira...:Chap 4: Le massacre de Wounded Knee - Pachi- C’est exactement elle oui grand-mère Sia, d’après ce qu’elle ma dit, votre père semblait beaucoup s’intéressé aux coutumes des Indiens de la région, à leurs ancêtres et en particulier à un chef tribal de la tribu des Paiutes appeler : Wowoka, et sa "religion".
Il avait l’air d’en savoir beaucoup sur lui, et j’aurais aimé connaitre ce qu’il avait bien pu apprendre sur le sujet, cela pourrait se révéler d’une très grande importance, surtout maintenant que je sais dans qu’elle condition il est décéder... Savez vous si il gardait des notes sur ses recherches ? L’écrivain fait quelques pas en direction de la baie vitré, et regarde la foret pendant quelques instants semblant réfléchir à comment aborder un sujet plus délicat et pousse un long soupir de résignation. - J’ai été mêlée à cette histoire par le plus grand des hasards hier après-midi. Alors que nous nous rendions à un repas en compagnie de la petite-fille de grand-mère Sia et deux personnes que je compte désormais comme des amis, nous avons été attaqués par une horde de cavalier Indiens sur la route qui menait à la réserve. Nous avons réussi à fuir, mais la plupart des personnes qui était sur cette route là on été gravement blessés. Elyséa est toujours entre la vie et la mort mais sont état est prometteur, quand aux deux autres personnes, ils sont aux urgences, apparemment ils vont s’en tirés eux aussi, et moi... j’ai réussi à m’en sortir sans trop de dommage, c’est surtout ma voiture qui à subi les conséquences de leur attaque. Magnus se retourne et la regarde droit dans les yeux, Lamezia peut clairement voir que l’homme est calme et ne montre aucune mauvaises intentions, mais il y à quelque chose dans son regard, qu’elle n’arrive pas clairement à identifier... - Je crois que les..."individus" qui nous on attaqués sur cette route son aussi responsable des meurtres qui on été commis dans la région, et par conséquent de celui de votre père également... ses recherches pourraient peut être me permettre d’en savoir plus à leur sujets, car je crains qu’ils ne s’arrêtent pas là, et que le sang coule à nouveau à Wounded Knee. ----------------
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Re: SC:On ira...:Chap 4: Le massacre de Wounded Knee - PachiLamezia écoutait attentivement, se souvenant du trou béant dans la voiture de l'homme.
- Vous êtes allé un peu vite là. Pour tout ce qui concerne mon père, je vous conseil de vous adresser à Ania. Je vous avoue que je n'ai pas revu mon père depuis ma majorité. Elle était pensive. Elle ne savait quelles questions poser. Elle ne savait quoi réveler. - Si je vous dit grotte, ça vous parle? Elle le fixait, ne sachant trop s'il allait comprendre ne serait ce que la question. Dans le doute elle enchaina: - Connaissez vous l'existence d'une grotte dans les parages? Que la vie siffle dans vos viscères comme un ruisseau ardent
Re: SC:On ira...:Chap 4: Le massacre de Wounded Knee - PachiMagnus avait été interloqué par la réaction de la jeune femme.
Il venait de lui apprendre qu’il y avait une vague de meurtres dans la région, qu’il y avait une forte possibilité pour que les coupables de ses actes soit aussi les meurtriers de son propre père, et elle n’avait eu aucune réaction sur le sujet. C’était pour le moins étonnant et inattendu, mais comme a son habitude il ne laissait rien paraitre extérieurement. - J’ai effectivement entendu parler d’une grotte ce matin. Je suppose que vous n’êtes pas sans savoir qu’il y a un projet gouvernemental dans la région mener par la société World Construct. ? Hé bien, il semblerait que lors des travaux, les ouvriers du chantier ai découvert des grottes et que plusieurs d’entre eux ai été blessés à cette occasion. Je tiens cette information d’une source sûre, de plus c’est arrivé récemment et rien de tous ceci n’est paru dans la presse. L’écrivain fait quelques pas en s’éloignant de la bais vitré et se rapproche à nouveau de Lamezia. - Je me demande donc, comment vous avez appris l’existence de cette grotte ? Et en quoi elle peu bien vous intéresser ? ----------------
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Re: SC:On ira...:Chap 4: Le massacre de Wounded Knee - PachiLamezia devenait maintenant méfiante.
L'homme paraissait en savoir beaucoup mais ne divulguait pas grand chose. Il restait très superficiel dans ses confessions. - Nous recherchons apparemment la même chose. Je vous propose un deal. Dites moi tout ce que vous savez sur les meurtres, sur wowoka, sur cette société et sur les résultats de vos recherches pour le moment et je vous dirai tout ce que mon père m'a légué comme information. Je peux vous dire pour l'instant que la grotte est liée à Wowoka. A s'entendre parler elle se croyait encore dans un de ses nombreux thrillers dont elle rafolait tant. L'avaient ils rendu insensible? On parlait là de meurtres, de scalpes, de créatures démoniaques, de prophéties indiennes ou autre et elle résonnait comme un flic. Les faits ne la touchaient pas, seul comptait le résultat. Trop de lectures sanglantes l'avaient donc probablement rendu insensible à la mort, au sang, à la compassion
Re: SC:On ira...:Chap 4: Le massacre de Wounded Knee - PachiMagnus regarda la jeune femme des pieds à la tête, il trouvait qu’elle avait vraiment une drôle d’attitude, elle avait changer depuis se matin au restaurant.
Elle lui avait paru si sympathique lors de leur première rencontre, alors que là il devenait de plus en plus évident qu’elle essayait de lui soutirer des informations, comme si elle faisait parti des forces de l’ordre et lui un vulgaire indic. Dans qu’elle but ? Ca il l’ignorait totalement, mais ca l’intriguais. *Elle est peut être flic ! Merde, c’est bien ma veine ça…comme si je n’avais pas déjà assez à faire avec le Clint Eastwood local…* -Vous n’avez pas répondu à mes questions alors que j’ai fait du mieux que j’ai pu pour répondre aux vôtres. Je vous ai dit pourquoi je voulais parler à votre père, avant d’apprendre son décès. Je vous ai également révéler comment j’avais été mêlé à cette histoire, ce que je savais sur les meurtres, j’ai même essayé de vous mettre en garde contre eux ce matin au restaurant alors que j’ignorais totalement que vous étiez mêler à cette affaire. L’écrivain compte sur ses doigts tandis qu’il énumère les points. -Donc, puisque qu’apparemment nous sommes en train de marchander, que m’avez-vous révélez vous ? Ha oui, que la grotte était lié à Wowoka... Je ne crois pas que le "deal" soit équitable dans ses conditions mademoiselle Erba, vous en savez bien plus sur moi, que moi de vous. Veuillez avoir l’amabilité d’égaliser la balance, et là nous pourrons peut être marchandé comme vous dite, puisque c’est comme cela que vous semblez vouloir que notre entretien se déroule. L’homme originaire de Boston a toujours l’air aussi calme et ne montre aucun signe d’agressivité, ni de mauvaises intentions. Cependant son regard à quelque peu changer, il a l’air lassé par la tournure que prennent les événements. ----------------
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Re: SC:On ira...:Chap 4: Le massacre de Wounded Knee - PachiCette fois elle le savait, elle avait merdé, pour changer ...
Trop méfiante, incapable d'avoir une conversation "normal" avec les gens, elle ne savait pas s'y prendre et ça allait encore lui jouer des tours. Cette difficulté à s'exprimer devenait presque un handicape pour elle. Il fallait qu'elle se reprenne, ne pas fuir, elle ne pouvait pas régler ces difficultés en s'isolant à chaque fois, il fallait qu'elle apprenne à communiquer. Elle se lança: - Ecoutez Magnus, je suis désolée si je vous ai donné l'impression d'un interrogatoire. Je suis perdue en ce moment, je ne sais pas ce qui se passe, ce que je fais là. L'impression que tout me tombe dessus et qu'on aurait oublié de me prévenir. Je vais tenter de laisser ma méfiance limite parano de coté et recommencer une conversation à peu près normal si vous voulez bien. Et si on repartait du début? Mon nom est Lamezia, Lamezia ERBA. Je suis ici suite au décès de mon père ... assassinat, scalpe, comme vous voulez. Il a laissé une lettre à mon attention que je viens de récupérer. Ce matin je n'étais pas encore mélée à cette affaire, c'est pour ça que je n'ai pas compris. Elle soupira. Elle sentait qu'elle n'avait plus le choix, il lui faudrait lui montrer cette lettre. Elle ne sait rien sur cet homme et elle va devoir lui faire confiance, entièrement confiance. Elle n'aimait pas ça, mais il pourrait probablement l'aider Elle lui tendit alors la lettre de son père.
- Voilà tout ce que je sais pour le moment. De plus la société world construct veut racheter cette maison, et le directeur n'a vraiment pas l'air aimable. Je ne sais pas quoi faire, je suis paumée. Elle était au bord des larmes, elle sentait qu'elle allait craquer, elle ne supportait pas la pression et elle venait d'énerver la seule personne susceptible de l'aider pour le moment. Elle était épuisée, venait de perdre son père scalpé, rencontrer sa belle mère, devait prendre la decision de vendre ou non la maison de son père sous peine de represaille probablement. *Pff ... une pause ... il me faut une pause.* - Je vous ressert un café? Que la vie siffle dans vos viscères comme un ruisseau ardent
Re: SC:On ira...:Chap 4: Le massacre de Wounded Knee - PachiMagnus saisi la lettre que lui tendait la jeune femme et commença à la lire.
Au fur et à mesure que sa lecture progressait, il devenait évident que l’écrivain avait l’air fasciné par ce qu’il apprenait. Une fois qu’il eu fini, il posa son regard sur Lamezia et puis à nouveau sur la lettre, avant de la lui rendre avec une pointe de regret, tellement ses informations était précieuses, mais la lettre ne lui appartenait pas et la rendit à sa propriétaire. - Je me suis sans doute montrer trop méfiant à votre égard également, toute cette histoire est des plus étrange, on fini par se méfier de tous le monde. Magnus afficha un sourire franc, voyant que la jeune femme était sur le point de craquer et posa sa main sur son épaule afin de la réconforté. - Vous avez eu raison de me faire confiance Lamezia, plus de secret entre nous. Ce que vous venez de m’apprendre change tous, vous pourrez désormais compter sur moi pour vous aidez, rassurez vous vous n’êtes plus seule. Asseyons nous voulez vous ? L’écrivain recula une des chaises qui était autour de la table afin d’invité la jeune femme à s’assoir, et pris place à son tour de l’autre côté de la table. -Avant tous je tiens à être honnête avec vous et effectivement tous ce que je vous ai dit étaient vrai, mais j’ai juste "oublié" de dire certaines informations moi aussi. Magnus fait un clin d’œil complice avant de poursuivre. - Comme je vous l’ai dit, j’ai été mêlé à cette histoire suite a un incident hier après-midi, deux des personnes qui était présente lors de cette incident, on enquêter bien avant moi sur le sujet et ils ont découvert pas mal de choses sur la société World Construct. Il s’agit du Capitaine Blade et de Norman Lackey. Ils sont aux urgences pour l’instant et les heures de visites sont assez restreintes. Nous irons les voir demain matin si vous le souhaitez, et vous pourrez discutez avec eux, et leur demander plus d’informations sur le sujet, vous pouvez avoir confiance en eux, nous sommes tous les trois comme qui dirait en équipe. Il pose son regard à nouveau sur Lamezia, un petit sourire en coin. - Enfin tous les quatre dorénavant. Sachez déjà ceci, vous avez raison de vous méfiez de World Construct. Toutes les personnes qui on été retrouver assassiner avait un lien avec cette société, ils gênaient d’une façon ou d’une autre leur implantation dans la région. Je vous recommande donc la plus grande prudence lorsque vous aurez affaire à eux, d’ailleurs je serais vous j’éviterais les endroits un peu trop isoler comme celui-ci surtout lorsqu’on connait la nature des agresseurs... Lors de se fameux incident sur la route qui mène à la réserve, nous avons été attaqués par un groupe d’Indiens cela est vrai, mais ca n’était pas des êtres humains comme vous et moi. Une voiture lancé a pleine vitesse les transperçaient de part en part, j’ai moi-même ouvert le feu sur ses créatures et les balles ne leur font rien. De plus une image d’un guerrier Indien est apparue dans le ciel, je n’ai appris que plus tard grâce aux connaissances de grand-mère Sia que ce colosse aux airs menaçant n’était autre que Wowoka. Ses Esprits Vengeurs sont très dangereux mais ils ne sont pas arriver là par hasard, quelqu’un les a invoqués, d’après les informations contenue dans la lettre que votre père vous a léguer, tous porte à croire que quelqu’un travaillant pour World Contruct. ou tous du moi étant en relation avec eux, utilise se grimoire afin de rayer de la carte ceux qui se mette en travers de son chemin. Je dois me rendre chez grand-mère Sia ce soir elle compte faire une cérémonie d’invocation des Esprits de la Nature qui selon elle, sont les seules à pouvoir nous aider à lutter contre ce Wowoka et ses Esprits Vengeurs, vous êtes bien-sûr la bienvenue également. Elle avait l’air d’avoir beaucoup de respect vis-à-vis de votre père, je pense donc que votre présence ce soir ne la dérangera pas. J’ai surement oublié certain détail donc si vous avez des questions n’hésitez pas. Mais pour résumer, je crois que nous devrions allez ce soir à cette cérémonie afin de voir ce que nous pourrons apprendre de plus. Demain matin, nous devrions également nous rendre à l’hôpital afin de montrer cette lettre à Norman et Blade, ensemble nous déciderons de la meilleur façon de procéder ensuite. Ha, et je serais vous je dormirais à l’hôtel ce soir, on ne sait jamais deux précautions valent mieux qu’une... L’écrivain pose ses deux mains à plat sur la table semblant attendre que la jeune femme assimile toutes ses informations. Son attitude a totalement changé, il semble dorénavant porter un regard bienveillant sur elle et attendre patiemment sa réaction. ----------------
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Re: SC:On ira...:Chap 4: Le massacre de Wounded Knee - PachiLamezia repris la lettre et s'assit à la table, croisa les jambes et s'appuya contre le dossier de sa chaise. Elle se détendit doucement en écoutant le récit de Magnus.
Elle semblait calmée, plus sereine à mesure que Magnus déroulait son récit. Ils étaient dans le même panier, ils pourraient compter l'un sur l'autre. Elle n'était plus seule. Magnus avait cessé de parlé depuis peut être 30 secondes quand Lamezia s'en rendit compte. Elle était plongée dans ses pensées, assimilant ce flot d'information. Elle songeait qu'il lui faudrait probablement se dégoter un bloc note afin de noter les points clefs de ses découvertes et ne rien oublier. Et s'avança sur sa chaise, portant la tasse à café à ses lèvres, bu l'unique goutte qu'elle contenait avant de la reposer, frustrée de ne pas avoir sa dose de café. Elle paraissait à présent totalement décontractée, toute forme de tristesse, panique ou affolement envolé. Puis, s'adressant à l'homme: -Je serai ravie de vous accompagner chez grand mère Sia. Peut être pourra t elle à l'occasion m'en dire plus sur mon père. Mais ... Elle paraissait de nouveau soucieuse Vous êtes en train de me dire que le grimoire n'est peut être plus dans la grotte? Pas bon ça ... Les yeux dans le vide elle se souvint, chuchotant presque mon père me l'a demandé. La seule chose qu'il m'a demandé en 10 ans.... Elle semblait de nouveau plongée dans ses pensées. Se ressaisissant d'un coup, elle secoua vivement la tête comme pour dégager des pensées peu heureuses, et, augmentant légèrement le timbre de sa voix: - Si j'ai bien compris, vous seriez prêt à faire un bout de chemin avec moi pour résoudre cette affaire. Ce soir Grand mère Sia, demain l'hosto afin de présenter les nouvelles à vos deux amis et en suivant nous tacherons de retrouver ce fichu grimoire! Elle se mit gentiment à rire entre ses lèvres en regardant le plafond, elle paraissait amusée par ce qu'elle venait de dire. Elle semblait à présent rayonner, elle semblait plus forte, revigorée. - Évidemment, sur le papier ça parait simple, je sens pourtant qu'on va en voir de toutes les couleurs ces prochains jours. Elle remis en place ses lunettes de soleil posées sur son crane, tentant de réunir sa masse de bouclettes brunes derrière ses épaules et souriait. En cet instant on pouvait bien imaginer quel gamine elle avait été, elle n'avait pas perdu son air ingénue, petite fille modèle, heureuse de vivre, naïve, à appliquer la théorie du "tout le monde il est beau tout le monde il est gentil". En même temps on pouvait bien imaginer que ce bout de femme, du haut de son mètre 72 avait du être profondément déçue en grandissant. On pouvait lire la froideur dans son regard, la froideur du regard qu'elle porte sur le monde et sur la race humaine en général. Son regard porte les désillusions de son enfance, elle ne croit plus en l'Homme mais garde néanmoins un espoir. A l'instant ou elle parle à Magnus, elle semble se dévoiler, ses peurs semblent disparaitre, l'espoir parait la gagner, elle est présente, son charisme se ressent à présent. Elle pense, elle désire, elle veut! Elle désire la fierté de son père! Elle veut ce grimoire! A cette pensée elle se redresse sur sa chaise, gonfle subtilement le torse et relève la tête, la confiance revenue dans ses yeux.
Re: SC:On ira...:Chap 4: Le massacre de Wounded Knee - Pachi[hrp]bon je vais écrire un ti qq chose car si le syndic des MJ passe par là, il va vite voir que vous avez pas besoin de MJ tous les deux [/hrp]
La jeune indienne revient dans la pièce, un plateau en main avec, dessus, différents biscuits soigneusement posés sur des assiettes. Elle marche d'un pas si discret qu'on pourrait presque croire qu'elle vole au dessus du plancher. Elle s'abaisse et dépose le plateau sur la table basse du salon puis regarde par la fenêtre du salon à l'approche de gros nuages noirs qui obscurcissent la foret et plongent les arbres dans une pénombre ennuyeuse. Elle fait une moue énervée, sans doute à la suite de ce climat changeant et persistant, puis se dirige vers le mur ou se trouve un interrupteur qu'elle allume. Une lumière blanche douce se diffuse de spots encastrés un peu partout dans le plafond et apporte une sorte de confort magique à ce lieu de bois. La jeune fille quitte alors la pièce pour ne pas déranger...
Re: SC:On ira...:Chap 4: Le massacre de Wounded Knee - PachiMagnus regardais la jeune femme qu’il avait devant lui rayonner comme lorsqu’il l’avait croisé se matin au restaurant, un léger sourire s’afficha sur le visage de l’écrivain sans même qu’il s’en rende compte, qui voulait sans doute dire que cette homme originaire de Boston appréciait la femme qu’il était en train de regarder.
- Je peu déjà vous dire ce que grand-mère Sia ma dit sur votre père. Elle ma dit que s’était une personne qui s’était toujours montré bienveillant avec les indiens de la région et qu’il s’était beaucoup impliquer à la réserve. Il sourit à Ania lorsque celle-ci rentre dans la pièce pour leur apporter le plateau de biscuits et hoche la tête afin de la remercier. -Pour en revenir au grimoire en fait je ne sais pas vraiment, mais Grand-mère Sia semblait croire que ses Esprits Vengeurs avaient été invoqué par quelqu’un, et dans la lettre de votre père il est question d’un grimoire. Je crois donc que quelqu’un a du mettre la main dessus et s’en sert afin d’invoquer ses Esprits. Peut être qu’il ne la pas sorti de la grotte, ou peu être que si, de toute façon nous serons fixés, car à un moment ou à un autre, nous devrons utiliser les coordonnés GPS que vous a légué votre père afin de nous y rendre. Ce que je trouve étrange c’est cette histoire de sifflet et de créatures ailées, je n’ai rien vue de tel lors de la manifestation des Esprits hier après-midi, mais cela ne me dit rien de bon, vraiment rien de bon. Je suppose que vous n’avez pas en votre possession ce fameux sifflet ? Jenckins regarda par la fenêtre les gros nuages noirs qui assombrissaient le ciel et on pouvait clairement voir sur son visage qu’il avait l’air inquiet. Il regarda sa montre afin de savoir l’heure qu’il était, puis reporta son regard à nouveau vers la fenêtre. Depuis l’incident d’hier, il serait toujours inquiet lorsqu’il verrait des nuages sombres dans le ciel, du moins tant qu’il serait encore à Wounded Knee. ----------------
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Re: SC:On ira...:Chap 4: Le massacre de Wounded Knee - Pachi- Effectivement, je n'ai pas le sifflet, il est surement avec le grimoire.
Lamezia prit un biscuit et s'amusa à le grignoter sur tout son contour. - Avez vous un gps dans votre ... hum ... superbe voiture? Elle fit un clin d'oeil complice en faisant mine de regarder dehors, espérant détendre l'atmosphère et dérider cet homme inquiet - Peut etre qu'on pourrait se rendre à cette grotte en rentrant? Vous dormez au motel ce soir? je vous invite à diner avant d'aller chez grand mère sia. A quelle heure commence la cérémonie? Que la vie siffle dans vos viscères comme un ruisseau ardent
Re: SC:On ira...:Chap 4: Le massacre de Wounded Knee - PachiL’écrivain sourit à la remarque de Lamezia à propos de sa voiture.
-Oui j’en ai un, et c’est vrai qu’elle à plus l’air d’être une voiture de rallye que d’une berline depuis l’incident d’hier. Cependant, avec le sheriff du coin, je préfère ne pas y toucher. Il serait encore bien capable d’interprété ca comme si j’avais voulu effacer des preuves. Il faut vous en méfier également de celui-là, c’est un sacré spécimen et on le soupçonne d’être de mèche avec World Construct. mais on en ai pas sûr, ce que je peu vous dire, c’est qu’à partir du moment ou vous n’êtes pas natif de cette ville vous devenez automatiquement suspect à ses yeux dans ses affaires de meurtre... Il hausse les épaules l’air dépité. -Oui je sais s’est assez bizarre, mais c’est clairement l’impression qu’il nous a donnera tous les trois. Magnus pousse un long soupir lourd de conséquence, en pensant au Clint Eastwood local avant de reporter son attention sur la jeune femme. - La cérémonie commence à 20h. Et j’accepte votre invitation avec plaisir. Quand au fait de se rendre au coordonnés gps, j’avoue que j’en meurs d’envie moi aussi, mais je n’oublie pas qu’hier face à ses Esprits, trois hommes armés non rien pu faire face à eux. Je pense donc qu’il serait judicieux de prévenir les autres avant, au moins si quelque chose nous arrive, on saura ou nous trouver... Magnus avait la bouche de plus en plus sèche, il boirait bien une petite rasade de sa flasque argenté qu’il porte toujours contre sa poitrine, mais après tous ce qu’il venait d’apprendre a cette femme, il perdrait sans doute toute crédibilité à ses yeux. - J’ai envie de fumer, je pense que je vais sortir sur le devant fumer un cigarillo si ca ne vous dérange pas. L’écrivain se lève et remet en place la chaise. Il est vrai qu’il avait envie de fumer, mais c’était surtout une bonne excuse pour pouvoir jeter un œil autour de la maison. Il sentait un malaise envahir son esprit depuis qu’il avait aperçu ses nuages, et il voulait s’assurer que tous allait pour le mieux à l’extérieur. Peut être était ce son instinct de survie qui le poussait à faire ca, ou peut être qu’il avait les nerfs à vifs depuis hier. ----------------
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Re: SC:On ira...:Chap 4: Le massacre de Wounded Knee - Pachi- Non bien sur, faites donc.
Lamezia suivit l'homme des yeux qui lui apparu bien pressé de sortir. * Un fumeur ... normal * songea t elle Mais quelque chose n'allait pas. Elle sentait qu'elle passait encore à coté d'un détail important mais quoi ... Elle avait entamé des études de psycho espérant comprendre l'esprit torturé des tueurs violents. Pas assez concret pour elle, elle avait quitté la fac dès la deuxième année d'étude. Elle était donc sensibilisé aux différents comportements humains mais pas assez calé pour les comprendre. Elle sentait souvent quand quelque chose lui échappé sans parvenir à mettre le doigt dessus. Ce moment était un des moments qui la "dérangeait". Elle pouvait voir le parking de là ou elle se trouvait, elle garda donc un oeil alerte au cas ou l'homme se décalerai de la porte d'entrée. Il lui semblait soucieux depuis quelques minutes mais elle ne souhaitait pas le brusquer en lui posant trop de questions. Elle attendis donc patiemment, regardant dehors et grignotant les petits gâteaux. Toutes ces histoires que racontait Magnus lui paraissait bien étrange. Mais que signifie étrange dans une ville ou une hache disparait, des mecs sont retrouvés scalpés, un père écrit à sa fille une lettre mentionnant un grimoire magique, un sifflet à oiseau de malheur qui enlèvent et terrorisent les gens, une société qui probablement tue pour n'accaparer des terrains. Boh ... si on rajoute à cela des indiens qui passent à travers les voitures et blessent des gens et un chef indien apparaissant dans le ciel ça ne change pas grand chose à l'histoire. Elle se sentait légèrement dépassé par les évenements et ne semblait plus s'etonner de rien. Elle attendrai de voir, elle sentait qu'elle n'était pas au bout de ses surprises, si des apparitions d'indiens existaient bel et bien, elle en verrai probablement les jours prochains. En attendant, elle écoutait patiemment Magnus, retenait et tenter de ne pas juger fou un homme qui avait l'air sincère. Le ciel paraissait toujours aussi sombre dehors, la veillée chez grand mère sia risquait d'être orageuse. Que la vie siffle dans vos viscères comme un ruisseau ardent
Re: SC:On ira...:Chap 4: Le massacre de Wounded Knee - PachiIl était là… Sur les hauteurs, callé entre deux branches d’un arbre de plusieurs mètre de haut, invisible de tous et à l’affut du moindre bruit. Les jumelles sur le nez pointée en direction de la maison en bois, il regardait avec attention le remue ménage qui avait lieu à l'intérieur... Depuis son arrivée, il y avait d’abord aperçu la jeune indienne qui derrière ses allures si timides avaient l'air d'etre tout sauf une "sainte ni touche", puis il avait aperçu cette fille typé africaine aux corps extrêmement sensuel avec qui il se serait bien vu passer des nuits torrides. Il la voyait bien solidement attachée sur la table, victime de ses dépravations les plus perverses qui, malgré les plaintes et supplications incessante de sa victime, n'aurait de cesse qu'à l'apparition d'une fatigue insupportable ou d'une mort fulgurante. Puis était arrivé une voiture à la vitre brisé de laquelle était descendu un homme aux allures de citadin. Et depuis, il s’était installé dans le fauteuil et ils avaient discuté pendant presque une heure… Jenckins si sa mémoire était bonne ! D’où sortait il celui là et que venait il faire ici ???? C’était un véritable mystère mais ce lieu commençait à attirer les foules de toute évidence…Allait il sauter sur ce corps sombre aux rondeurs à réveiller un mort? Il secoua la tete et chassa ses idées perverses qui le hantait depuis plusieurs jours et se dit que tout cela n’arrangeait pas ses affaires… Il regarda sa montre et vit qu’il était 17h20 Une lueur de démence dans le regard, il se dit qu’il était temps d’agir de façon radical et le plus vite serait le mieux bien sur Tentant de ne pas perdre son équilibre, il s’agrippa et se mit à descendre aussi souplement qu’un éléphant gravissant le mont Everest et sauta en bas lorsque il ne resta qu’un ou deux mètres. Ses pieds atterrirent sur un amas de feuille morte et immédiatement, une volée d’oiseau s’envola à la hâte, perturbés par ce bruit incohérent au murmure de la foret. Il se dirigea d’un pas rapide et ouvrit le coffre arrière d’où il tira un sac en toile sombre. Sans l’enlever du coffre, il ouvrit la tirette et en sorti un grimoire ancien qu’il déposa sur le fond du coffre avant de l’ouvrir en grand. Son index tourna les pages prudement, de peur d’en déchirer les pages jaunies puis il s’arrétat sur une page spécifique remplie de dessins griffonnés à la hâte, d’annotation écrite dans tous les sens avec des caractères des plus illisibles ressemblant parfois plus à des pattes de mouches qu’à de véritable lettre. Son index parcouru les lignes du haut vers le bas et s’arreta à la moitiée de la page. Son visage se dessina d’un rictus malveillant et il ria silencieusement dans sa barbe, amusé par la tournure qu’allait prendre les évenements. Il leva les mains vers le ciel et se contentât de lire à haute voix le texte Mchiiii Tak ‘lmol Partaaaa Wowokaaaaaaaaaaaaa Him’shelf doka’ tak pot….Jenkins…. Mchiiii Tak ‘lmol Partaaaa Wowokaaaaaaaaaaaaa Him’shelf doka’ tak pot….Erba Mchiiii Tak ‘lmol Partaaaa Wowokaaaaaaaaaaaaa Him’shelf doka’ tak pot….Ania Le sorcier sentit une énergie puiser des forces au sein même de son corps. Il s’avait que cela allait l’affaiblir quelque temps mais le jeu en valait la chandelle… Le ciel commença alors à s’assombrir… *************************************************************************** Jenkins était dehors, occupé à regarder le ciel noircit par de gros nuages noirs annonçant une pluie qui ne devait tarder. De sa position il aperçu Lamezia à la fenêtre qui semblait afficher une inquiétude sur le visage ou une intrigue certaine. Du moins c’est ce qu’il déduisit de ses maigres connaissances en psychologie féminine... Une bourrasque de vent le décoiffa et une étrange sensation s’empara de lui. Ce n’est que lorsqu’un éclair rouge déchira le ciel pour s’abbatre à 10m de sa position que sa crainte se justifia. L’éclair disparu aussitôt apres avoir frappé le sol, dégageant du même coup une volute de fumée. A l’endroit ou il venait de frapper, on pouvait désormais apercevoir un groupe d’indien monté sur de fier destriers et armés de hachette et de lance Un bruit de tam tam résonna alors dans la vallée, surgissant de nul part et de partout en même temps. les cavaliers firent lever leur chevaux sur leur pattes arrière avant de se lancer vers la maison...
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