Re: SC:On ira...:Chap 3: Mauvais Esprits
Posté: Sam 26 Juin 2010 15:59:39
L’écrivain regarde les trois personnes qui entourent la veille dame avec méfiance, avec tous les évènements qui s’étaient passé aujourd’hui, il avait tendance a se méfié de tous le monde maintenant.
-Bonsoir madame, je me présente je m’appelle Magnus Jenkins, votre petite-fille ma un peu parler de vous.
Vous n’avez pas à me remercier, j’ai agi comme n’importe qui l’aurait fait à ma place. Je tiens cependant à ajouter que Norman et Blade on contribués autant que moi au sauvetage de cette pauvre Elyséa, sans eux je n’aurais rien pu faire.
Magnus ne sait pas pourquoi mais il se sent en confiance face a cette vielle femme indienne, et il éprouve du chagrin pour elle, avoir un membre de sa famille qui frôle la mort est une épreuve difficile à surmonté, aussi bien pour le principal intéresser que pour ceux qui tienne a lui.
-Je vais vous raconter comment tous cela s’est produit, j’étais sur la national qui rejoins la ville quand j’ai aperçue Elyséa sur le bas-côté de la route, elle avait apparemment crevé un pneu et n’arrivait pas à joindre une dépanneuse, à cause de l’orage. J’ai voulu l’aider à mettre sa roue de secours, mais celle qu’elle avait dans son coffre était inutilisable, apparemment elle ma dit que vous aviez eu un petit souci avec la voiture quelque temps auparavant, je lui ai donc proposé de l’emmener et pour me remercier, elle ma inviter à diner avec des amis qui n’était autre que Norman et Blade, les deux hommes qui sont également blessés dans cette hôpital.
Nous les avons croisé sur la route qui menait à son domicile, et peu de temps après nous nous sommes fait attaquer par un groupe de cavaliers indiens, nous avons fait ce que nous avons pu pour nous défendre, et avons réussi à fuir dans ma voiture, j’ai emmené tous le monde à l’hôpital, afin que des soins puissent leurs être donner.
Je n’avais jamais croisé des gens de votre peuples vêtu de telle manière a part dans les livres d’histoires, ils avaient des plumes sur la tête, des peintures de guerre et étaient armés de haches, d’arcs et de lances. C’est ce que j’ai dit au shérif mais il semble ne pas me croire, et donne l’impression de vouloir absolument trouver des coupables, sans se soucier de savoir si ceux-ci sont innocents ou pas, toutefois…
Magnus, se passe la main nerveusement sur le visage, en revivant intérieurement ce qui s’était passé sur cette route, et regarde à nouveau avec méfiance les trois individus qui entourent la vielle femme
- Ses personnes sont elle avec vous Grand-mère Sia ?
-Bonsoir madame, je me présente je m’appelle Magnus Jenkins, votre petite-fille ma un peu parler de vous.
Vous n’avez pas à me remercier, j’ai agi comme n’importe qui l’aurait fait à ma place. Je tiens cependant à ajouter que Norman et Blade on contribués autant que moi au sauvetage de cette pauvre Elyséa, sans eux je n’aurais rien pu faire.
Magnus ne sait pas pourquoi mais il se sent en confiance face a cette vielle femme indienne, et il éprouve du chagrin pour elle, avoir un membre de sa famille qui frôle la mort est une épreuve difficile à surmonté, aussi bien pour le principal intéresser que pour ceux qui tienne a lui.
-Je vais vous raconter comment tous cela s’est produit, j’étais sur la national qui rejoins la ville quand j’ai aperçue Elyséa sur le bas-côté de la route, elle avait apparemment crevé un pneu et n’arrivait pas à joindre une dépanneuse, à cause de l’orage. J’ai voulu l’aider à mettre sa roue de secours, mais celle qu’elle avait dans son coffre était inutilisable, apparemment elle ma dit que vous aviez eu un petit souci avec la voiture quelque temps auparavant, je lui ai donc proposé de l’emmener et pour me remercier, elle ma inviter à diner avec des amis qui n’était autre que Norman et Blade, les deux hommes qui sont également blessés dans cette hôpital.
Nous les avons croisé sur la route qui menait à son domicile, et peu de temps après nous nous sommes fait attaquer par un groupe de cavaliers indiens, nous avons fait ce que nous avons pu pour nous défendre, et avons réussi à fuir dans ma voiture, j’ai emmené tous le monde à l’hôpital, afin que des soins puissent leurs être donner.
Je n’avais jamais croisé des gens de votre peuples vêtu de telle manière a part dans les livres d’histoires, ils avaient des plumes sur la tête, des peintures de guerre et étaient armés de haches, d’arcs et de lances. C’est ce que j’ai dit au shérif mais il semble ne pas me croire, et donne l’impression de vouloir absolument trouver des coupables, sans se soucier de savoir si ceux-ci sont innocents ou pas, toutefois…
Magnus, se passe la main nerveusement sur le visage, en revivant intérieurement ce qui s’était passé sur cette route, et regarde à nouveau avec méfiance les trois individus qui entourent la vielle femme
- Ses personnes sont elle avec vous Grand-mère Sia ?